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mardi 19 novembre 2019

Ce qu'on dit du ministre de l'agriculture c'est zéro ou c'est nul ?


Annonce : S’agissant de l’information à propos des rappels de produits alimentaires, pour le moment, il ne faut pas faire confiance à nos autorités sanitaires (Ministère de l’agriculture et DGCCRF). Ces deux entités ont fait et font toujours preuve d’une incroyable légèreté et d’un manque d’informations fiables vis-à-vis des consommateurs avec comme corollaire une absence de transparence en matière de sécurité des aliments.

On savait que notre ministre de l’agriculture, avant de devenir ministre, voulait abandonner la politique, mais que diable n’a-t’il pas mis en accord ses propos avec ses actes ?

Ce sera sans doute à méditer quand il ne fera enfin plus de politique …

En tout état de cause, selon le blog-notes d’Olivier Masbou, c'est Double zéro pour le ministre de l’agriculture.

Notre gouvernement veut aller, même s’il ne sait pas comment, vers le zéro pesticide.

Et à la tête de cette croisade vers le zéro pesticide se trouve, comme de bien entendu, notre ministre de l’agriculture ...

Depuis ce dimanche, nous savons qu’il veut aussi, c’est notre ministre de l’Agriculture qui le dit, le zéro gramme d’alcool dans le sang (pour les conducteurs). Comme on dit dans les cours de récré : 0+0 = la tête à Toto !!!

Wikipédia nous indique « Tête à Toto » est aussi une périphrase pour dire zéro, dans le langage famillier.

On apprend aussi que quand vous dites que « c’est nul ». « Nul », ça veut dire « zéro ». Quand on a le chiffre 0 quelque part, c’est nul. Donc, quand on dit que quelque chose est nulle, ça veut dire que cette chose est égale à zéro, elle n’a aucune valeur, elle est de mauvaise qualité et elle n’a aucun intérêt.

A méditer ...


Complément du 21 novembre 2019. Dans un article, seppi nous disait « M. le ministre Didier Guillaume, faites-nous plaisir : arrêtez de parler ! » et ce conseil n’a pas été suivi, pour preuve ce communiqué de précisions du ministère de l’agriculture du 19 novembre 2019, concernant la sortie du ministre sur le « zéro alcool au volant » ...

Sur RTL,
À la question « pour ou contre zéro gramme d’alcool au volant ? », le ministre a répondu : « Pour. Lorsqu’on conduit on ne doit pas boire ». 

On apprend donc, rétropédalage en vue,
Le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Didier Guillaume, pense qu’il vaut mieux ne pas boire d’alcool quand on sait que l’on va prendre le volant de sa voiture.
Il n’a jamais exprimé le fait de vouloir changer la législation actuelle qui précise un taux autorisant 0,5g/l de sang.
Le Gouvernement n’a d’ailleurs aucun projet de modification de décret en ce sens.

Il ne l’a jamais dit mais nous l’avons bien entendu ...

Complément du 25 novembre 2019. Lu sur le blog d'Olivier MasbouTaux d’alcoolémie : nous n’avons rien compris:

Dans un communiqué, le ministre de l’Agriculture tient à préciser qu’il « n’a jamais exprimé le fait de vouloir changer la législation actuelle qui précise un taux autorisant 0,5g/l de sang ». 
Reprenons ses propos sur RTL le 17 novembre. 
Question du journaliste : « Pour ou contre zéro gramme d’alcool au volant ? ». Réponse du ministre : « Pour. Lorsqu’on conduit on ne doit pas boire ». Nous n’avons vraiment rien compris.

jeudi 17 janvier 2019

Cinq pistes pour manger sainement en cette nouvelle année, selon l'OMS

L'OMS a publié le 20 décembre 2018 « 5 pistes pour manger sainement cette nouvelle année ».

Quelle que soit votre résolution pour la nouvelle année, une alimentation saine et équilibrée aura de nombreux avantages en 2019 … et au-delà. Ce que nous mangeons et buvons peut affecter notre capacité à lutter contre les infections et le risque de problèmes de santé à un âge plus avancé – obésité, cardiopathies, diabète et différents types de cancer.

De quoi exactement doit être composé un régime alimentaire sain?

Cela dépend de différents facteurs, par exemple de l’âge et du niveau d’activité ou des produits qui sont disponibles dans la communauté. Mais il y a partout des solutions communes contribuant à vivre plus sainement et plus longtemps.

Les pistes à privilégier
Varier les produits
Quelques pistes pour assurer une alimentation équilibrée:
  • Chercher à associer des aliments de base (blé, maïs, riz et pommes de terre) à des légumineuses (lentilles, haricots), avec beaucoup de fruits et de légumes frais et des produits d’origine animale (viande, poisson, œufs et lait par exemple).
  • Préférer les céréales complètes (maïs, millet, avoine, blé et riz brun) riches en fibres et plus rassasiants.
  • Choisir des viandes moins grasses ou enlever le gras s’il est visible.
  • Essayer de cuire à l’étuvée ou de bouillir en renonçant à frire les produits.
  • Pour les en-cas, opter pour les crudités, les noix non salées et les fruits frais en laissant de côté les produits à forte teneur en sucre, en graisses ou en sel.
Manger moins salé
Quelques pistes pour réduire l’apport de sel:
  • Éviter d’ajouter trop de sel en préparant les repas et réduire l’emploi de sauces et de condiments salés (de type sauce de poisson ou de soja).
  • Éviter de grignoter des produits salés et opter pour des produits frais au lieu de produits transformés.
  • Pour les légumes, fruits ou noix en conserve ou séchés, choisir des produits sans adjonction de sel ou de sucre.
  • S’abstenir de placer le sel et les condiments salés sur la table ou de les ajouter mécaniquement sur l’assiette. Les papilles gustatives vont rapidement s’habituer à des mets moins salés, … en réclamant des saveurs plus variées!
  • Lire soigneusement les étiquettes et choisir les produits à plus faible teneur en sodium.
Réduire la consommation de certaines graisses
Quelques pistes pour réduire la consommation de graisses :
  • Remplacer le beurre, le lard et le beurre clarifié (ghee) par des huiles plus saines – huile de soja, de colza, de maïs, de carthame ou de tournesol.
  • Préférer aux viandes rouges le poulet et le poisson généralement moins riches en graisses et limiter la consommation de charcuterie.
  • Lire attentivement les étiquettes et éviter systématiquement tous les produits transformés et frits et la restauration rapide contenant des acides gras trans d’origine industrielle – que l’on retrouve souvent dans la margarine et le beurre clarifié, les viennoiseries ou la pâtisserie.
Limiter l’apport de sucre
Quelques pistes pour réduire la consommation de sucre :
  • Limiter les friandises et les boissons sucrées (boissons gazeuses, jus de fruits, concentrés liquides ou en poudre, eau aromatisée, boissons énergisantes ou isotoniques, thé et café prêts à être consommés, boissons aromatisées à base de produits laitiers, par exemple).
  • Privilégier ce qui est frais plutôt que les produits transformés.
  • Éviter de donner des produits sucrés aux enfants. Ne pas ajouter de sel ou de sucre à alimentation complémentaire destinée aux enfants avant l’âge de deux ans, et très peu après.
Éviter une consommation dangereuse et néfaste d’alcool
La position de l’OMS est qu’il n’existe pas de niveau sans risque : dans bien des cas, même une faible consommation d’alcool peut être associée à des risques sanitaires significatifs.

Il est toujours préférable de boire moins d’alcool et on peut très bien s’en passer totalement.
La consommation d’alcool est à proscrire chez la femme enceinte ou allaitante, en cas de conduite d’un véhicule ou d’utilisation d’appareils ou d’activités comportant des risques, ou encore en cas de problèmes de santé que l’alcool est susceptible d’aggraver, de traitements médicamenteux ayant une interaction directe avec l’alcool, ou de difficulté à maîtriser les quantités absorbées.