Annonce : S’agissant de l’information à propos des rappels de
produits alimentaires, pour le moment, il ne faut pas faire confiance à
nos autorités sanitaires (Ministère de l’agriculture et DGCCRF). Ces deux
entités ont fait et font toujours preuve d’une incroyable légèreté et d’un
manque d’informations fiables vis-à-vis des consommateurs avec comme corollaire
une absence de transparence en matière de sécurité des aliments.
« Construire
un meilleur bactériophage pour lutter contre les bactéries
résistantes aux antibiotiques », source Mary
Ann Liebert, Inc. Éditeur.
Des
chercheurs étudient des bactériophages modifiés
comme solutions de rechange aux antibiotiques pour infecter et tuer
les bactéries multirésistantes. Un article publié
dans
la revue
PHAGE:
Therapy, Applications, and Research,
une nouvelle revue évaluée par des
pairs de Mary
Ann Liebert, Inc.,
traite du potentiel d'une approche innovante en biologie synthétique
pour améliorer les thérapies par phages et du rôle que peut jouer
une biofonderie pour rendre cette approche réalisable et efficace.
Cliquez
ici
pour lire l'article en intégralité
et
gratuitement sur le site Internet
de PHAGE jusqu'au 21 décembre 2019.
L’article
intitulé « Building
Better Bacteriophage with Biofoundries to Combat Antibiotic-Resistant
Bacteria » (Construire
de meilleurs bactériophages
avec des bases biologiques (biofoundry)
pour lutter contre les
bactéries résistantes aux antibiotiques)
a été co-écrit par Karen Weynberg, Université du Queensland
(Sainte-Lucie) et CSIRO Future Science Platform (Brisbane) et Paul
Jaschke, Macquarie University ( Sydney, Australie.
Les
auteurs discutent des promesses de la thérapie par des phages en
tant qu’alternative radicale aux antibiotiques et de l’utilisation
de la biologie synthétique pour concevoir de nouveaux phages aux
caractéristiques souhaitables.
Ils
décrivent également l'utilisation récente d'installations de
pointe appelées des biofoundries, dans lesquelles des processus de
laboratoire automatisés à haut débit peuvent accélérer la
bioingénierie, la modification et la sélection des bactériophages,
rendant ainsi leur développement plus efficace et plus économique.
« Cet
article résume bien l'état actuel des connaissances en matière
d'utilisation de la biologie moléculaire pour créer des ‘phages
de nouvelle génération’ », déclare Martha Clokie,
rédactrice en chef de PHAGE et professeur de microbiologie à
l'Université de Leicester. (Royaume-Uni). « Une fois que
nous avons compris la biologie de ces organismes, le ciel est
peut-être la limite en ce qui concerne la manière dont nous pouvons
les concevoir pour les rendre encore plus adaptés à des objectifs
spécifiques. »