L’Anses traite d’un sujet dont je me sens totalement étranger, il s’agit de la «Vente en vrac : recommandations et produits à exclure».
Pourtant, il m’arrive sur les marchés de pein air de Paris de choisir des produits vendus en vrac, pommes de terre et carottes ainsi que des fruits, pommes et poires par exemple, mais ce n'est pas de cette vente dont nous parle l'Anses ...
Je ne dois pas être le seul à être étranger à cette culture de la vente en vrac puisque l’Anses rapporte à propos du consommateur, «acteur incontournable de la sécurité sanitaire»,
Lors de l’achat des produits préemballés ou non,vle consommateur doit respecter certaines règles pour éviter les intoxications au moment de la préparation, de la cuisson ou de la conservation des aliments.
La vente en vrac renforce la nécessité que le consommateur prenne une part accrue en tant qu’acteur de la sécurité sanitaire. Pour être pratiqué en toute sécurité, ce mode de consommation nécessite une phase d’acculturation.
Je ne traduirais pas acculturation, qui est un terme américain, par «Processus par lequel une personne ou un groupe assimile une culture étrangère à la sienne», ça me démange, mais plutôt par «Adaptation d'un individu ou d'un groupe à la culture environnante.»
Comme je ne souhaite pas m’adapter à cette nouvelle pratique, je préfère ne pas aller plus loin dans la rédaction de ce court article, et je vous renvoie à la Note d’appui scientifique et technique relative à un projet de décret prévoyant une liste d’exceptions à l’obligation de vente en vrac prévue à l’art. L. 120-1 du Code de la consommation pour des raisons de santé publique.
Je vous préviens à l’avance, la note comprend 71 pages, et cerise sur le gâteau, mais migraines en perspectives, L’Anses encourage fortement la rédaction par les professionnels de la distribution d’un Guide de bonnes pratiques d’hygiène spécifique à cette activité.
Mise à jour du 25 novembre 2021. Quand la com de l'Anses nous demande d'apporter notre contenant pour la vente en vrac ...
🛒Apporter un contenant propre, choisir un contenant adapté au produit acheté… les consommateurs ont aussi un rôle à jouer pour éviter d’éventuelles intoxications pour eux, comme pour leur entourage.
— Anses (@Anses_fr) November 25, 2021
(6/7)
Mise à jour du 25 mars 2022. On lira sans obligation l’avis du Conseil National de l’Alimentation, Sobriété en emballagesalimentaires – Développement du vrac et autres pistes d’action.
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