Tejaswini Petkar dans ASM news explique comment une telle multifonctionnalité affecte les microbes individuels et leurs consortiums environnants dans l'intestin.
Vous retrouvez cela dans son article How Protein Moonlighting Impacts the Gut Microbiome (Comment le travail au noir des protéines affecte le microbiome intestinal).
En 1999, Constance J. Jeffery, aujourd’hui professeure agrégée à l’Université de l’Illinois, écrivait que «l’idée d’un gène – 1 protéine – 1 fonction est devenue trop simple car un nombre croissant de protéines ont 2 fonctions différentes ou plus.» Jeffery faisait référence aux protéines moonlighting (MP pour Moonlighting Proteins) ou des protéines travaillant au noir, un sous-ensemble omniprésent de protéines qui ont fait leurs débuts bien avant le début de ce siècle. À mesure que ces biomolécules apparaissent, on peut comprendre l’enthousiasme de Jeffery. Ces protéines sont en effet particulières.
DYK that proteins can moonlight—performing more than 1 job at a time without any change to their amino acids. @TejaswiniPetkar shares how such multifunctionality impacts individual microbes & their surrounding consortia in the gut. https://t.co/h7TgLn3nWP
— ASM (@ASMicrobiology) October 2, 2023
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