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jeudi 16 novembre 2023

Découvrez Oreillette, de race Normande, l'égérie du Salon International de l’Agriculture 2024

Du 24 février au 3 mars 2024, ce sera Oreillette, vache de race Normande âgée de 5 ans qui en sera le symbole.

Avec sa robe aux trois couleurs et ses lunettes bien dessinées, Oreillette est une belle ambassadrice de la race Normande.

Âgée de 5 ans et mère de 3 veaux, elle nous vient de Briouze, commune située dans le département de l'Orne en Normandie. C’est au GAEC Foucault, une exploitation familiale de 155 hectares dont 80 en herbe qu’Oreillette vie et pâture parmi un troupeau 100% Normand de 110 vaches laitières et 24 bœufs. Le lait produit est livré en laiterie et transformé en camembert et pont Lévêque AOP, assurance de savoir-faire et de qualité. En moyenne, la production laitière d’Oreillette représente 10,5 camemberts par jour de vie. Elle est une digne descendante de Ramette, son arrière-grand-mère, l’une des plus grandes productrices de lait de la race à ce jour.

Avec son tempérament calme et sa capacité d’adaptation, Oreillette portera fièrement les couleurs de la race Normande lors du Salon International de l’Agriculture 2024

mardi 28 février 2023

Echos du salon de l'Agriculture

Madame Ducros précise que le graphique vient de la FAO, données 2016, les consommations françaises ont encore baissé depuis.

mercredi 16 novembre 2022

Connaissez-vous Ovalie, la nouvelle égérie du Salon de l'agriculture de Paris 2023 ? Bravo le Puy-de-Dôme !

Le blog dit bonjour à Ovalie, la vache salers du Puy-de-Dôme égérie du Salon de l'agriculture de Paris 2023, l’heureuse élue de Marine et Michel Van Simmertier. Source La Montagne.

Ovalie regroupe toutes les caractéristiques de la race : une robe acajou, un poil frisé, des cornes blanches en forme de lyre, un mufle assez gros, de bons aplombs et elle a le bassin bien carré. Surtout, elle est assez calme.

L'affiche du Salon de l'agriculture de Paris 2023 a été dévoilée ce mardi 15 novembre (crédit photo PPARCHET/SIA23)

lundi 28 février 2022

Bref retour du Salon International de l’Agriculture

Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Aujourd'hui, c''était le jour du Salon International de l’Agriculture et voici un bref retour.

C’était le salon des retrouvailles après deux ans d’absence et quelle convivialité, quelle ambiance, tous les contacts étaient très sympathiques et chaleureux, merci à tous les exposants, les éleveurs et les agriculteurs.

Neige
Le plus avec ce salon des retrouvailles, aujourd'hui, c’était bas les masques !

Ce lundi 28 février il y avait beaucoup de monde et j’ai même été interpellé par d'anciens stagiaires que j’avais eu en formation et qui m'avaient reconnu, quelle mémoire !

Bref, comme tout un chacun, j’ai admiré Neige, une vache d’Abondance de 4ans, l'icône du SIA.

J’ai échangé ave des Mayennais (j’ai passé 21 ans en Mayenne et cela ne s’oublie pas) et j’ai vu leur nouveau produit et ça ne s’invente pas, il s’agit de la Mayennette, une baguette 100% mayennaise et m’a-t’on dit, 100% naturelle …

Le SIA ne plaît pas à tout le monde, ainsi en est-il de M Mélenchon (La France Insoumise), qui comme les années précédentes, ne visitera pas le salon. Sa dernière visite remonterait à 2014. Il n’a peut-être plus trop les pieds sur terre, me semble-t-il ?

Autre anecdote qui n’a pas valeur de sondage pour la présidentielle, j’ai apercu un gros attroupement d’une centaine de personnes et des dizaines de micros et caméras, ils’agissait la visite de Mme Pécresse. Plus loin au pavillon 4, tout près du stand de l’Anses, j’ai aperçu Mme Hidalgo. Pas de caméra, pas de micro et une toute petite dizaine de personnes l’accompagnait. Bien triste pour elle, mais cela ne réflète-t'il pas ce qu’en disent les sondages auxquels personne ne croit, nous étions quelques uns à le penser ... 

Merci aux organisateurs pour cette journée.

Aux lecteurs du blog
Pour une triste question d’argent, 500 euros, la revue PROCESS Alimentaire prive les lecteurs de 10 052 articles initialement publiés par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors qu’elle a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles, étant donné le nombre important de lecteurs. Le départ du blog de la revue a été uniquement motivé par un manque de réactivité dans la maintenance du blog.

dimanche 27 février 2022

Pourquoi il faut aller au Salon International de l'Agriculture !

Il faut aller au Salon Internation de Agriculture (SIA), non pas pour faire des tribunes de décoissance dans des médias complaisants, mais pour simplement soutenir nos agriiculteurs, le reste n'est que médiocrité ...

Et d'ailleurs, je serai lundi 28 février au SIA ...

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Pour une triste question d’argent, 500 euros, la revue PROCESS Alimentaire prive les lecteurs de 10 052 articles initialement publiés par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors qu’elle a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles, étant donné le nombre important de lecteurs. Le départ du blog de la revue a été uniquement motivé par un manque de réactivité dans la maintenance du blog. 

jeudi 27 janvier 2022

Il était une fois l'Anses au salon de l'Agriculture

Avec «La science pour une alimentation sûre et saine», l’Anses sera au Salon internaltional de l’agriculture 2022 !

En nous exposant à des bactéries, virus et parasites, ou encore à des substances nocives, notre alimentation peut nous rendre malade. Une alimentation déséquilibrée ou mal adaptée à notre style de vie nous fait également courir des risques à court ou moyen terme.

Quels sont ces risques ? Comment évoluent-ils avec les pratiques de production et de préparation, ou avec nos attentes comme consommateurs et citoyens ? Comment prévenir ou se protéger des contaminations fortuites tout au long de la chaîne alimentaire ? Quelles sont les clés de l’équilibre nutritionnel ? Autant de questions auxquelles l’Anses répondra sur son stand cette année.

Du 26 février au 6 mars 2022, venez découvrir sur un stand adapté au contexte sanitaire :

Chouette,il y aura des animations ...

  • mener une enquête pour identifier, avec l’aide de la PCR, la bactérie responsable d’une intoxication alimentaire collective lors d’un goûter d’anniversaire ;

Tout en sachant qu’on ne trouve pas toujours; ainsi selon les données de Santé publique de France, «pour 276 TIAC (27% de l’ensemble des TIAC déclarées), un agent pathogène a pu être confirmé sur le plan microbiologique dans l’aliment incriminé ou chez au moins une personne malade. Un agent pathogène a été suspecté sans confirmation microbiologique pour 555 TIAC (55%). Pour 179 TIAC (18%), aucun agent n’a pu être ni confirmé, ni suspecté.»

  • mieux connaître les bactéries et les contaminants qui se cachent dans nos assiettes, et adopter les bons comportements d’achat, de conservation et de préparation pour s’en prémunir ;

On va enfin nous parler de la présence d el’oxyde d’éthylène dans les produits alimentaires depuis désormais un an et demi, contaminant pour lequel l’Anses a brillé par son absence de communication ...

  • découvrir comment les scientifiques de l’Anses agissent et répondent aux inquiétudes posées par l’alimentation d’aujourd’hui.

J’ai des questions sur la baisse des contrôles et des inspections, l’absence de communication et de transparence sur les alertes alimentaires et aussi sur l’‘augmentation fulgurante des rappels de produits alimentaires, comment ne pas être inquiet ?

  • Une exposition illustrant, autour de huit thèmes, comment l’Agence contribue au quotidien à une alimentation plus sûre et plus saine pour la santé de chacun.

J’aimerais bien savoir «comment l’Agence contribue au quotidien à une alimentation plus sûre et plus saine pour la santé de chacun», sachant que l’agence ne fait pas de contrôles ?

J’ai prévu d’aller au Salon de l’Agriculture, surtout pour aller voir Neige (photo en haut et à droite), l'égérie du salon, et peut-être, irais-je faire un détour par le stand de l’Anses, mais rien n'est sûr ...

Aux lecteurs du blog
A cause ou grâce à la revue PROCESS Alimentaire, vous n'avez plus accès aux 10 052 articles initialement publiés par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue. Triste histoire de sous car la revue estime qu’elle n’a pas les moyens de maintenir la diffusion de ces articles, alors qu’elle a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. Merci de leur faire part de cette anomalie.

mercredi 19 janvier 2022

Le salon de l'agriculture 2022 aura bien lieu !

Il se tiendra à Paris du 26 février au 6 mars 2022, pour une bonne nouvelle, c'est une bonne nouvelle !

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mardi 11 février 2020

L'agribashing et le Salon de l'agriculture, drôle d'ambiance ...


« Drôle d’ambiance avant le salon », source article d'Olivier Masbou paru le 11 février sur son blog-notes
Cela ressemble à une veillée d’armes. A quelques jours de l’ouverture du Salon de l’agriculture, c’est comme si chaque ‘camp’ se préparait à faire face à 9 jours difficiles, 9 jours où tout peut arriver.
Témoin de cette drôle d’ambiance, la « Lettre ouverte de Jean Luc Poulain ».
Extrait de la Lettre ouverte de Jean Luc Poulain
On pourra retrouver l'intégralité de la Lettre ouverte sur ce lien sur Twitter.
C’est une grande première que le président du SIA s’exprime ainsi. Entre les lignes d’un long texte, l’inquiétude, qui découle d’une dégradation réelle des relations entre les agriculteurs et le reste du pays, transparaît. Jean-Luc Poulain appelle à « un nouveau contrat moral entre les Français, le pays et leurs paysans ! (.) L’idée est bien plus que jamais de créer des ponts plutôt que des murs ! ».
Côté Etat, gouvernement, pouvoirs publics, on souffle le chaud et le froid, au risque de déboussoler davantage les agriculteurs. Pour le chaud, il y a pour l’instant plutôt des paroles que des actes. C’est Emmanuel Macron qui le 17 janvier déclare être décidé à « défendre, renforcer, célébrer » l’exception agricole française. Et le 24 janvier, il indique, à propos de l’interdiction du glyphosate « en trois ans on ne fera pas 100 %, on n’y arrivera, je pense, pas ».
Quant à Didier Guillaume, qui s’aperçoit qu’il doit rester, pour un certain temps au moins, ministre de l’Agriculture, il est allé plus loin. « Continuons à faire de l’agriculture de conservation, parce que c’est un bon modèle et continuons à mettre du glyphosate tant qu’on n’a pas trouvé autre chose » a-t-il déclaré le 4 février à l’occasion d’une réunion du Contrat de solutions.
Enfin, Emmanuel Macron devait recevoir, ce mardi 11 février, en entretien individuel, les présidents de tous les syndicats agricoles. Curiosité, contrairement à l’habitude, l’agenda officiel de la présidence ne mentionnait pas la présence du ministre de l’Agriculture. Et ces entretiens n’étaient pas inscrits à l’agenda de Didier Guillaume. Pour le froid, ce sont plutôt des décisions définitives : avis du Conseil d’Etat sur les mutagènes, réponse du Conseil constitutionnel sur les produits phytos, interdiction des plastiques pour les emballages de fruits et légumes de moins de 1,5 kg, ZNT. Tout cela en moins d’un mois et demi.
Côté société, c’est la minorité bruyante qui se fait entendre. ONG, associations anti-spécistes ne baissent pas les bras, loin de là. L’action la semaine dernière de France3 Pays de Loire*, accompagné d’un militant, sur l’exploitation de Christiane Lambert en est un des derniers exemples criants.
Pas étonnant que dans ce contexte, les agriculteurs soient ultra remontés. Les tensions sur le terrain sont réelles, l’exaspération est forte.
Difficile d’imaginer un salon pacifié dans ce contexte. Nous l’avons déjà écrit (cf. notre Blog du 28 mai 2018), mais cela reste, hélas, toujours d’actualité : le moment est venu de « réparer le lien entre l’agriculture et la société ». Il y a urgence.
* le communiqué officiel de France Télévisions pour le salon de l’Agriculture annonce que l’émission ‘Dimanche en politique’ du 23 février aura pour sujet « Agribashing,  comment renouer le lien entre les agriculteurs et les Français ». C’est le principe du circuit cours, voire de l’autarcie, appliqué à l’information.