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lundi 31 octobre 2022

De l'utilité des bassines ...

Le blog a publié plusieurs articles sur les bassines que vous pouvez retrouver ici.
Voici quelques messages pour vous aider à vous faire votre avis ...

Validée par une décision de justice et un rapport scientifique, les bassines ne devraient donc pas poser de problème ... 

Enfin, les bêtises, pour ne pas dire plus, se suivent se ressemblent  chez nos pseudo-écologistes, voir l'article du blog

dimanche 5 mars 2023

Destruction de ‘bassines’, justice laxiste !

Le blog vous avait proposé plusieurs articles sur un sujet d’actualité les réserves d'eau ou «bassines» que vous pourrez retrouver ici.

Après les actes de délinquances contre des réserves d’eau (‘bassines’), on pouvait légitiment s’attendre à des peines sévères par la justice. Deux personnes étaient poursuivis pour avoir participé, le 6 novembre 2021 à Cram-Chaban, en Charente-Maritime, à la destruction d’une des cinq réserves d’eau appartenant à l’Association syndicale d’irrigation des Roches.

Et bien, pas du tout, un vrai scandale !

Ce jeudi 2 mars 2023, le tribunal correctionnel de La Rochelle a condamné deux trentenaires à 500 euros d’amende et 200 euros d’amende avec sursis après les avoir jugés coupables de «dégradation du bien d’autrui avec circonstances aggravées.»

Mise à jour du 7 mars 2023
Après la série des crétins qui détruisent des bassines, voici d’autres crétins qui sont tout aussi ignorants, La France Agricole nous informe «Amende avec sursis pour six faucheurs volontaires».

Six faucheurs d’OGM ont été condamnés, lundi à Dijon, à une amende avec sursis de 800 euros chacun, pour destruction de colza, a-t-on appris auprès de leur avocat. 

Détruit car le colza était supposé OGM, c’est tout simplement démoralisant !

samedi 19 août 2023

Convoi de l'eau, bienvenue en absurdisthan !

Pour mémoire,

Le tribunal administratif de Poitiers a validé mardi 11 avril la construction de chacune des 16 retenues d'eau pour l'irrigation agricole sur le bassin de la Sèvre Niortaise, indique France Bleu Poitou. Sept ouvrages sur 16 avaient déjà été validés en mai 2021, permettant le début des travaux, notamment sur les bassines de Mauzé-sur-le-Mignon et de Sainte-Soline, théâtre de manifestations parfois violentes ces dernières années. Au total, ces retenues doivent permettre de stocker plusieurs centaines de milliers de mètres cubes d'eau. L’État accueille avec satisfaction le jugement rendu par le Tribunal administratif de Poitiers en ce qu'il procède au rejet des trois recours exercés à l'encontre de l'autorisation environnementale délivrée à la Société coopérative anonyme de l'eau des Deux-Sèvres pour l'exploitation de 16 réserves de substitution. La légalité de cette autorisation n'a donc pas été remise en cause par le Tribunal.

Et pourtant,

Benoît Biteau, agronome-paysan et député européen au sein du groupe Les Verts, participera au «Convoi de l’eau», une nouvelle mobilisation contre les bassines entre Sainte-Soline et Orléans. Il appelle sur franceinfo vendredi 19 août à «rouvrir ce débat» et entendre les scientifiques et les citoyens.

Bienvenue en Absurdisthan !

lundi 27 mars 2023

A propos des manifestations à Sainte-Soline (Deux-Sèvres)

Selon Mme Géraldine Woessner, «La couverture média des violences contre les bassines pose problème, car elle embrasse totalement le narratif des casseurs, qui ont ORGANISÉ l'évènement - et ne l'ont pas «pollué» ! Ils en sont à l'origine - et les «modérés», raliés à la cause, sont leurs idiots utiles.»

dimanche 7 novembre 2021

Les retenues d'eau en agriculture, un enjeu essentiel, mais pas pour des pseudo-écolos ...

Mise à jour du 8 novembre 2021Le blog-notes d’Olivier Masbou rapporte à propos des «Bassines : la manifestation dégénère»

Plus de 2 000 anti-bassines ont manifesté le 6 novembre, sur la commune de Mauzé-sur-le-Mignon, près de Niort. Ils répondaient à l’appel du collectif « Bassines non merci ! », de la Confédération paysanne, et du mouvement «Les Soulèvements de la terre». 500 agriculteurs étaient par ailleurs rassemblés sur le même territoire pour défendre le projet de construction des bassines dans la région. En fin de journée, les «anti» se sont dirigés vers une autre bassine, celle de Cramchaban en Charente-Maritime. «Des dégradations ont été commises sur les bâches. Elles ont été découpées puis incendiées» rapporte le site de Ouest-France (6 novembre). Dans un communiqué, cité par le quotidien, la préfecture des Deux-Sèvres indique «que les manifestants présents sur le secteur de Mauzé-sur-Le Mignon ont procédé à des actes violents sur les forces de l’ordre, afin de contourner les dispositifs mis en place, occasionnant trois blessés chez les gendarmes, avant de dégrader une retenue de substitution située dans la commune de Cranchaban». Le préfet des Deux-Sèvres «condamne ce recours unilatéral à la violence et souhaite un retour rapide au calme». «Je crois profondément au dialogue avec tous et au rôle des syndicats. Mais un leader syndical ne peut pas appeler ou justifier une action illégale ; ce n’est pas acceptable dans une démocratie, et ne le sera jamais. Soutien aux agriculteurs victimes et aux forces de l’ordre» a pour sa part écrit le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie sur son compte Twitter.

Mise à jour du 12 novembre 2021. On lira aussi cet article sur le blog Alerte EnvironnementLa bassine respectueuse de l’environnement rend chèvres les écolos des Deux-Sèvres.

Mise à jour du 19 novembre 2021On lira la tribune libre de Gil Rivière-Wekstein dans l'Opinion du 19 novembre 2021, «Le vandalisme néo-luddite de la Confédération paysanne». 

Aux lecteurs du blog
Grâce à la revue PROCESS Alimentaire, vous n'avez plus accès aux 10 052 articles initialement publiés par mes soins de 2009 à 2017 sur le lien suivanthttp://amgar.blog.processalimentaire.com/. Triste histoire de sous ...

mercredi 10 novembre 2021

Il faut d’urgence confier l’agriculture française aux écologistes ! [par Jean-Paul Pelras]

Suite à de l'information publiée sur le blog dans Les retenues d'eau en agriculture, un enjeu essentiel, mais pas pour des pseudo-écolos ..., il n’y a pas que la sécurité des aliments dans la vie, défendre l’Agriculture française de ses fléaux est un objectif à part entière, d’où, cet article «Il faut d’urgence confier l’agriculture française aux écologistes ! [par Jean-Paul Pelras]». 
Texte paru le 9 novembre dans l’agri.

Et si la manifestation organisée le 6 novembre dernier à Mauzé sur le Mignon dans les Deux Sèvres était la goutte de trop ?

Non pas celle qui fit déborder les «Bassines» à l’origine de ce rassemblement, mais celle qui fait définitivement basculer la Confédération paysanne du syndicalisme agricole vers l’activisme sociétal. Très proche de certaines ONG auprès desquelles la Conf’ s’affiche presque systématiquement depuis des années dès qu’il s’agit de défendre les causes humanitaires ou environnementales, ce mouvement vient de s’associer avec les associations «Bassines, non merci» et «Les soulèvements de la terre» afin de dénoncer la mise en place de retenues collinaires désormais appelées “bassines”. Lesquelles, destinées à être alimentées par les eaux pluviales, le seraient également, toujours selon ces associations, par pompage dans la nappe phréatique. Pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme étant un accaparement de l’eau par certains agriculteurs soutenus à quelques encablures de là par la FDSEA, les JA et la Coordination Rurale, d’autres agriculteurs, ceux de la Conf’, ont donc, entre deux altercations avec les forces de l’ordre, débranché la pompe et retiré les bâches recouvrant la retenue.

À l’heure où la France va devenir, pour la première fois de son histoire agricole, dépendante des importations, n’y a-t-il pas d’autres combats à mener que celui consistant à se tirer une balle dans le pied ? À l’heure où les défis alimentaires sont au cœur des enjeux démographiques, géopolitiques et planétaires, pourquoi, si ce n’est pour répondre à certaines idéologies politiciennes, entraver, comme ce fut le cas pour le lac de Caussade dans le Lot et Garonne, l’irrigation des cultures et, de facto, limiter le potentiel de production ?

À l’instar de ce qui se passa dans l’Aude au printemps dernier, quand des ONG se sont opposées au décollage de l’hélicoptère destiné à traiter les vignes contre le mildiou là où, sols détrempés obligent, les tracteurs ne pouvaient pas entrer, les écologistes ont clairement choisi leur camp. Celui qui entend réduire de façon drastique tout ce qui permet à notre agriculture de demeurer compétitive que ce soit avec l’utilisation d’intrants, l’apport de nouvelles technologies ou, en l’occurrence, l’irrigation. À ce titre, la responsabilité de celles et ceux qui, au-delà des discours inclusifs et démagogiques, encouragent une limitation des productions est ici clairement engagée.

Que les agriculteurs tenants du modèle conventionnel cessent de produire et d’alimenter les marchés

Imaginons du jour au lendemain une agriculture convertie en bio à 100 % avec, ça et là, un peu de permaculture, un retour comme le prônent certains à la traction animale, une irrigation limitée, l’interdiction d’utiliser produits phytosanitaires et fertilisants, un arrêt des productions dites agro-industrielles… Pourquoi pas ? Il faudra alors en finir avec l’hypocrisie des débats d’idées et confier, sans délai, l’agriculture française aux écologistes qui devront, in petto, garnir sans trembler nos garde-manger.

C’est ce pari qu’il faut engager. Que les agriculteurs tenants du modèle conventionnel cessent de produire et d’alimenter les marchés pendant quatre ou cinq jours et nous verrons ce qu’il adviendra des grandes intentions pseudos-environnementales. Quatre ou cinq jours seulement, sans pâtes, sans pain, sans viande, sans vin, sans fruits, sans légumes, sans aucun approvisionnement au cœur des villes et dans les circuits de distribution… À défaut de pouvoir s’avitailler en quantité suffisante auprès de ceux qui dénoncent la malbouffe française, c’est d’une autre malbouffe, beaucoup moins vertueuse et contrôlable, dont nous devrons nous contenter : celle qui, inévitablement, envahira les étals avec de la marchandise importée.

Oui, allons-y, messieurs Benoît Biteau, député européen, Nicolas Girod, porte-parole de la Conf’, Yannick Jadot, candidat au pouvoir suprême qui prétend que les écologistes sont les défenseurs de l’agriculture, Sandrine Rousseau qui dit qu’il faut «accepter une baisse de rendement agricole»… Prenez les commandes, produisez et nourrissez la population française, remplissez les assiettes du pays sans tricher, en respectant vos engagements.

Nourrissez à partir de maintenant 67 millions d’individus 3 fois par jour, du premier janvier au 31 décembre ! Trouvez cette main d’œuvre, devenue si rare dans nos champs, qui acceptera d’arracher l’herbe sur des centaines de milliers d’hectares, qui acceptera de planter, de semer, de tailler, de faucher, de traire, de récolter… Sans rechigner, en tenant la cadence, en maintenant le rendement, malgré les prédateurs (que vous protégez), la conjoncture, les normes, les contraintes administratives, le caprice des éléments… Là, de Perpignan à Lille, sur presque 27 millions d’hectares !

Sachant que l’agriculture bio représente 10 % des surfaces exploitées, comment ferez-vous pour vous occuper des 24,5 millions d’hectares restants, cultivés jusqu’ici par environ 425 000 agriculteurs stigmatisés ? Un défi de taille à relever qui vous fera peut-être oublier le temps où vous démontiez les pompes à eau de ceux que la société française au bout de cinq jours, cinq jours seulement, commencera à regretter.


Aux lecteurs du blog
Grâce à la revue PROCESS Alimentaire, vous n'avez plus accès aux 10 052 articles initialement publiés par mes soins de 2009 à 2017 sur le lien suivanthttp://amgar.blog.processalimentaire.com/. Triste histoire de sous ...

mercredi 2 août 2023

Eté pluvieux : Plébiscite pour les bassines ?

mardi 12 juillet 2022

L’impact des « bassines » sur les cours d’eau et les nappes phréatiques serait positif !

Mise à jour du 23 juillet 2022. On lira le communiqué commun, FNSEA, Jeunes Agriculteurs, Chambre d’Agriculture France, La Coopération Agricole et Irrigants de France, Stockage de l’eau : un enjeu d’intérêt général !

Aux lecteurs du blog
La revue PROCESS Alimentaire censure pour une triste question d’argent les 10 052 articles initialement publiés gracieusement par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors que la revue a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. La revue PROCESS Alimentaire a censuré le blog et refuse tout assouplissement. Derrière cette revue, il faut que vous le sachiez, il y a une direction aux éditions du Boisbaudry, pleine de mépris, et un rédacteur en chef complice !

mardi 29 mars 2022

Agribashing XXL et justice XS en France

Je reproduits ci-dessous des extraits d’un article de l‘excellent blog-notes d’Olivier Masbou,

Agribashing XXL
Il semble qu’il n’y ait plus de limites dans les attaques contre le monde agricole. Cela prend des proportions inédites. Le week-end dernier, les ‘anti bassines’ ont saccagé une station d’irrigation et déterré une canalisation sur la commune d’Epannes dans les Deux-Sèvres. Ce «nouvel acte de vandalisme (.) est d’autant plus scandaleux que les auteurs de ces faits aveugles et inqualifiables ont pris pour cible l’exploitation de deux jeunes agriculteurs récemment installés en agriculture biologique et en élevage d’une race locale de vaches, la Maraichine» écrit la Coop de l’eau 79. Le week-end d’avant, des militants d’Extinction Rebellion ont attaqué (il n’y a pas d’autres mots) un train de céréales en rase campagne en Bretagne. Ils ont déversé leur ‘butin’ (environ 1 400 tonnes de blé) sur les voies et sont repartis tranquillement. Ils pensaient ainsi dénoncer ‘l’agro-industrie’, ce blé étant destiné à l’alimentation animale. On pourrait aussi citer la dernière ‘enquête’ de Que Choisir sur les pesticides dans les fruits et légumes…

Bashing: les forêts aussi
L’agriculture n’est pas la seule concernée par les attaques des extrémistes de l’écologie. La forêt aussi. Dans un communiqué daté du 24 mars, l’Union de la Coopération Forestière Française (UCFF) dénonce «l’incendie criminel d’un engin forestier dont a été victime la Coopérative forestière CFBL dans la nuit du 17 mars 2022 sur la commune de Brassy dans la Nièvre». «L’incendie a été perpétré au lendemain de la diffusion d’une vidéo à charge d’une association qui appelle à la désobéissance civile et d’une communication dénonçant les chantiers de reboisement des Coopératives Forestières financés par le Plan de relance. Cet événement intervient après que la Gendarmerie ait enregistré des menaces de mort à l’encontre des forestiers de la coopérative CFBL».

Justice taille XS
Ce qui frappe dans certaines opérations (lire ci-dessus), c’est l’absence d’intervention des forces de l’ordre. Ainsi, la vidéo postée par Extinction Rebellion sur l’attaque du train en Bretagne dure 20 minutes. On peut au moins multiplier par 2 pour avoir une idée du temps de cette agression. Ainsi, en France, en 2022, on peut stopper un train, vider son chargement, et repartir tranquillement… Oui mais la justice fera son travail. Hum ! Selon Ouest France (24 mars), le parquet de Lorient a ouvert une information judiciaire pour «entrave à la mise en marche ou à la circulation de trains, entrée irrégulière dans l’enceinte du chemin de fer, dépôt de matériau ou objets quelconques dans l’enceinte du chemin de fer, dégradations de biens d’autrui, en réunion». La fessée n’est pas loin.

Et voici de nouveaux des exemples de dégradation sans aucun fondement, ni connaissance,

BNM: Bassines non merci.

Aux lecteurs du blog

Je suis en conflit depuis plusieurs années avec la revue PROCESS Alimentaire pour une triste question d’argent qui permettrait de récupérer et de diffuser correctement les 10 052 articles initialement publiés gracieusement par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors qu’elle a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. Le départ du blog de la revue a été strictement motivé par un manque de réactivité dans la maintenance du blog, la visibilité de celui-ci devenant quasi nulle. J’accuse la direction de la revue de fuir ses responsabilités et le but de ce message est de leur dire toute ma colère. Elle ne veut pas céder, moi non plus, et je lui offre ainsi une publicité gratuite.

jeudi 14 décembre 2023

Météo et bassines en France

Vendredi 15 décembre 2023, le blog fera paraître le Top 10 de l’année 2023 de la sécurité des aliments en France. Il s’gait d’une mise en perspective de quelques faits saillants, mais aussi avec des absents …

lundi 31 juillet 2023

La crainte d’Europe Écologie Les Verts

Je reproduits ci-après l’éditorial de la revue Paysans & société mai et juin 2023 (N° 399) de Pierre Pagesse, «La crainte d’Europe Écologie Les Verts».

L’obstination dogmatique des dirigeants Verts allemands les a conduits à décider la suppression des trois dernières centrales nucléaires présentes sur leur territoire. Cette décision prend sa source chez Greenpeace qui milite dans le monde contre l’atome. Cette organisation est très implantée outre-Rhin : l’ancienne patronne de Greenpeace International, Jennifer Morgan, intégrée au gouvernement, a désormais le titre d’Ambassadrice du climat. Le ministre allemand de l’Économie et du Climat, Robert Habeck (Grünen), rêve d’imposer son modèle à l’Europe et pourquoi pas au monde entier. Siemens, notre partenaire dans la centrale de Flamanville, s’est retiré du projet et s’est converti dans la production de turbines à gaz et d’éoliennes. Ces orientations vont à l’encontre des réductions des émissions de CO2, objectif pourtant affiché par le Giec, nécessaires à la transition énergétique.

La France, dont le budget de l’État ressemble au «tonneau des Danaïdes», saura-t-elle se redonner les moyens de réagir ? Notre pays, avec sa production électrique assurée à 70% par nos centrales nucléaires, est considéré comme vertueux. La totalité de ses émissions représente 0, 9% de celles de la planète. Si la France était à l’arrêt, nous effacerions un peu moins de six mois des augmentations de CO2 de la Chine et de l’Inde. L’influence des Verts est aussi européenne. Le numéro deux de la Commission Frans Timmermans, un Néerlandais, a pour chef de cabinet un ancien de Greenpeace…. Et ce n’est qu’une infime partie visible de l’iceberg. Dans ce contexte, pas de quoi s’étonner des fondements de la nouvelle Pac qui par ses nouvelles contraintes et sa limitation des ressources ne manquera pas, si elle est appliquée en l’état, de faire régresser la production au détriment de notre indépendance alimentaire.

Les violences des manifestations à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres procèdent de la même démarche. Personnellement cela me choque. Je voudrais saluer les efforts d’organisation des agriculteurs de ce secteur. Ils se sont constitués en coopérative et ont fait preuve d’une grande patience. Douze ans d’études et de démarches pour obtenir enfin une validation de leur projet, y compris par la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement et par le Bureau de recherches géologiques et minières. Au fil du temps, leur prélèvement d’eau a diminué de moitié, passant de 24 à 12 millions de m3, notamment en raison de la disparition d’un certain nombre d’agriculteurs irrigants. Pour les douze millions de m3 restants, le projet consiste à faire des réserves appelées « bassines » ou « méga-bassines » afin de stocker la moitié de l’eau nécessaire lorsque la hauteur de la nappe phréatique, mesurée par des piézomètres, le permet. Ceci est fait pour diminuer de moitié les pompages pendant la période estivale. Un projet vertueux s’il en est, très peu souvent présenté comme tel.

Membre du Comité de Bassin Loire Bretagne, j’ai expliqué une fois de plus la nécessité de faire des retenues supplémentaires pendant la période d’abondance dans nos cours d’eau afin de pouvoir satisfaire l’ensemble des usages y compris pendant les périodes critiques de faible pluviométrie. Ce serait beaucoup plus efficace que la sobriété mise en avant pour l’économie de notre pays.

L’accès à l’énergie et à l’eau à un coût raisonnable est indispensable aux activités de toute nature, y compris agricoles et industrielles. Seulement 4,7% de l’eau disponible dans nos rivières sont stockées, barrages EDF compris. C’est 20% en Espagne et 50% au Maroc. Ne vous étonnez pas si 40% de nos légumes viennent de ces régions-là, pourtant plus pauvres en ressources que notre beau pays.

À ce même Comité de Bassin, et pour la première fois de ma vie, un des participants présents appartenant à la fonction publique m’a indiqué en aparté qu’il ne partageait pas mes préconisations parce qu’il était favorable à la décroissance ! Un comble pour quelqu’un qui vit de nos impôts…

Cette décroissance ne manquera pas d’appauvrir notre pays et de provoquer la révolte de nos concitoyens. Nous en percevons les premiers signes. La Française, Valérie Masson-Delmotte, directrice de recherche au Commissariat énergie atomique et co-présidente de l’un des groupes du Giec, a soutenu publiquement le collectif «des Soulèvements de la terre», acteur principal des émeutes de Sainte-Soline, les mêmes zadistes de Sivens et de Notre-Dame-des-Landes.

Je voudrais réaffirmer qu’il y a un lien étroit entre le carbone du gaz carbonique de l’air et l’eau disponible dans le sol en ce qui concerne l’efficacité de la photosynthèse. Cette efficacité pourrait, à elle toute seule, neutraliser l’augmentation des émissions de CO2 à l’échelle de la planète. Cette augmentation représente aujourd’hui environ 9 gigatonnes par an (1 gigatonne = 1 milliard de tonnes) : cinq sont recyclées à travers les océans et les forêts, les quatre restantes pourraient être stockées dans nos sols par une simple évolution de nos pratiques culturales grâce à l’Agriculture de conservation des sols. Cette évolution doit, bien entendu, prendre en compte l’environnement agro-pédo-climatique de chacun de nos territoires. Ce fameux 4 pour 1000 de la COP 21, présidée par la France, pourrait nous permettre, à lui tout seul, d’atteindre a minima la stabilité carbone tant recherchée et les objectifs qui lui sont liés.

Oui l’agriculture, loin d’être un problème, fait partie des solutions. À condition de ne pas la conduire dans une impasse et de lui laisser jouer son rôle, y compris, bien sûr, alimentaire. Il est grand temps, comme l’a écrit Jean-Paul Oury dans Atlanticoque tous les grands courants politiques, et pas seulement les idéologues écologistes, s’occupent de politique scientifique pour réfléchir aux justes usages de la science et de la technologie, porteurs d’avenir. Lorsque l’idéologie veut, sous couvert de progressisme, ignorer les faits - la science, la technologie et les lois de la physique - ce sont toujours la technique et la physique qui l’emportent à la fin. Serons-nous dans le wagon ?

jeudi 3 novembre 2022

Sainte-Soline : Heureusement que M. Claude Malhuret est là !

 Heureusement que M. Claude Malhuret est là !

Mise à jour du 9 novembre 2022
On lira l'article d'André Heitz sur son blogLa « bassine » de Sainte-Soline : les factieux à la manœuvre. 

Selon un ancien ministre de l’écologie, un texte clair, précis et factuel sur le sujet des «bassines» - en fait des réserves d’eau constituées en hiver pour arroser les cultures agricoles en été. Et c’est une agricultrice de Vendée récemment passée au bio qui le dit. C’est à lire, La réserve de substitution : kesako ?

mercredi 22 mars 2023

La souffrance du monde agricole aujourd'hui en France

Mais, malheureusement, même le journal La France Agricole contribue à diffuser des informations partiales sur ce qui va se passer dans les Deux-Sèvres ce week-end à propos des réserves d'eau appelées improprement bassines ... Lire l’article Anti-bassines : manif ou pas manif ? d’Olivier Masbou sur son blog-notes.

jeudi 18 août 2022

Les maraîchers réclament de pouvoir arroser !

La position de la Confédération Paysanne sur l’eau est de mon point de vie plus qu’ambiguë, ainsi, on apprend déjà qu’en mars 2021, «A l’appel du collectif Bassines Non Merci et de la Confédération Paysanne près de 6 000 opposants aux retenues d’eau sur le bassin de la Sèvre niortaise ont convergé à La Rochénard les 26 et 27 mars. A cette occasion, des outils de travail agricole ont été à nouveau détruits.»

Vous lirez ici les positions de ce syndicat ‘agricole’ qui veut désormais «socialiser l’utilisation de l’eau» ...

Comme nous le verrons ci-dessous, ce ‘syndicat’ n’en est pas une contradiction près, appelle cela désormais 'l'irrigation citoynne' ...

Aux lecteurs du blog
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lundi 8 août 2022

Qui sont les vandales qui en ont après le bûcherons, les retenues d'eau et les wagons de blé ?

Mais qui sont ces gens-là ?
On lira aussi sur le blog d’André Heitz , France, sais-tu encore que tes agriculteurs te nourrissent ?  

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mardi 9 février 2021

La transition écologique voulee par le gouvernement, c'est trop d'eau en hiver et pas d'eau en été. On marche sur le tête !

Le blog notes d'Olivier Masbou du 8 février 2021traite d'un sujet d'actualité, « Que d’eau, que d’eau ! », mais lisez attentivement pour voir les conséquence de ce trop plein d'eau …

Les inondations dans le Sud-Ouest reposent la question des retenues d’eau. Le Premier ministre a été, un peu, chahuté par des agriculteurs à son arrivée à Marmande. Et des acteurs économiques du Lot-et-Garonne de premiers plans prennent la parole.

«Il n’a fallut que 5h30 aujourd’hui pour que passe dans la Garonne à Tonneins l’équivalent des volumes nécessaires pour irriguer la totalité de l’Agriculture du département de Lot et Garonne pendant un an. On s’adapte?» écrit Jean-Luc Reigne, directeur de la coopérative Unicoque (noix et noisettes à la marque Koki), le 3 février sur son compte twitter. Que ce soit dans le Lot-et-Garonne, dans les deux Charente, dans d’autres départements du Sud-Ouest, les agriculteurs ont posté de nombreux messages qui ont tous le même sens. L’eau tombe en abondance, les rivières et les fleuves débordent, les inondations font de nombreux dégâts, et parfois des victimes. Puis c’est la décrue, l’eau s’écoule, s’en va, rejoint l’Océan ou la Mer, laissant derrière elle des traînées de boues. Et l’été prochain, il faudra restreindre, voire interdire, certains usages de l’eau. Les conflits sur l’usage de l’eau sont nombreux de Sivens dans le Tarn au lac de Caussade en Lot-et-Garonne, en passant par les Deux-Sèvres ou la Vienne, avec les projets de bassines, etc…

Dans le Lot-et-Garonne justement, le Premier ministre a failli avoir un accueil mouvementé. La Coordination rurale (CR), puissante dans ce département, a tenté d’empêcher son hélicoptère d’atterrir le 5 février à Marmande. La CR a obtenu un rendez-vous avec un conseiller pour évoquer notamment le dialogue difficile dans ce département avec l’Office français de la biodiversité sur le curage, ou plutôt le non-curage, des fossés et des ruisseaux. Toujours dans ce département, un groupe de 20 acteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire de premiers plans* ont publié une tribune dans la presse locale (La Dépêche du 7 février).

Après avoir évoqué l’importance des débits de ces derniers jours, les signataires rappellent qu’«en 2020, pratiquement aucune autorisation de création de retenue n’a été délivrée sur le territoire du département. C’est la première année depuis 40 ans». Les auteurs veulent défendre «une irrigation efficiente sur le plan économique, environnemental et sociétal qui intègre une gestion pluriannuelle du stockage de l’eau permet de faire des variations du climat un atout pour nos territoires». «La forme du stockage n’est pas la question. Toutes les formes de stockage sont à étudier» du plus grand au plus petit ajoutent-ils. «Cultivons le pragmatisme, sortons des idéologies stériles et génératrices de conflits, prenons la responsabilité d’investir pour notre avenir régional, dans le développement équilibré de la ressource en eau» concluent les auteurs.

Avant de terminer, signalons que dans Le Figaro (4 février), l’ami Eric de la Chesnais rappelle utilement qu’à 200 kilomètres à l’est de Paris, dans la Marne, l’Aube, et la Nièvre, grâce aux agriculteurs, des terres agricoles servent de bassins de rétention pour limiter la montée de la Seine dans la capitale. Avec pour conséquences des pertes de rendements pour les prochaines récoltes. Et on ne leur dit pas toujours merci.

* les signataires de la tribune : Maître Prunille, Koki, Les Paysans de Rougeline – Valprim, Epi de Gascogne, Coufidou, Syngenta, Terres du Sud, Expalliance, Cadralbret, KWS, Terres du Sud, Vallée du Lot coopérative agricole, SES Vanderhave, CER France, VLDC Berticot et Graman, Interbio Nouvelle-Aquitaine, Crédit Agricole, Cuma de Lot-et-Garonne, Chambre d’agriculture de Lot-et-Garonne, La Coopération Agricole, ACMG.

Et pendant ce temps, selon une information du 7 février 2021, «Sécheresse : en colère, les agriculteurs du Lot privés d'indemnités».

À voir ses champs actuellement imbibés d’eau à Frayssinet-le-Gélat (Lot -aa), difficile de croire que Philippe Valet a connu la sécheresse, il y a sept mois de ça. Pourtant, «c’était le désert, tout était pelé, les bêtes n’avaient rien à manger», explique l’éleveur de vaches allaitantes. Ce n’est pas la première année que les paysans du Lot doivent faire face à la sécheresse pendant l’été. Mais ils en ont assez. La FDSEA et les JA ont déposé un dossier pour ,calamité agricole liée à cette sécheresse au ministère de l’Agriculture.

Je vous le dis, on marche sur la tête dans ce pays ... 

Et en complément, voici aussi un autre exemple en Charente,

mardi 14 novembre 2023

Et si l'on parlait des bassines ...

lundi 15 novembre 2021

Lettre au ministre de l’Agriculture : l’État doit choisir entre les agriculteurs et les écologistes [par Jean-Paul Pelras]

Lettre au ministre de l’Agriculture : l’État doit choisir entre les agriculteurs et les écologistes par Jean-Paul Pelras, parue dans l'agri le 12 novembre 2021.

Monsieur le ministre,
en tant que rédacteur en chef d’un journal agricole, en tant qu’auteur de plusieurs ouvrages sur la ruralité, mais aussi en tant qu’ancien agriculteur, je viens vous alerter solennellement et sans détours sur les dérives que suscite le discours environnementaliste ambiant. Dérives qui impactent le monde agricole, le commerce, l’artisanat, l’agro-industrie et les journalistes qui osent encore exercer leur métier sans céder aux pressions des tendances imposées.

Tout comme vous avez condamné le saccage des “bassines” dans les Deux Sèvres, vous n’êtes pas sans savoir que, régulièrement, d’autres pratiques tout aussi intimidantes sont à déplorer sur l’ensemble du territoire. Et ce, que ce soit directement sur les exploitations ou dans les entreprises comme par téléphone, par mail ou via les réseaux sociaux. Dernière en date, l’entreprise Ecomiam qui privilégie la production locale et défend l’éthique des filières agricoles françaises, a choisi, en s’exprimant par la voix de son directeur, de ne pas céder au chantage de l’association L214. Son courage, car il s’agit bien de courage au regard des menaces encourues, mérite d’être salué.

Reste à connaître, Julien De Normandie, votre position et celle du gouvernement concernant à la fois ces agissements et les choix que l’État compte adopter pour soutenir notre agriculture, à l’heure où se profile un Farm to fork dévastateur, à l’heure où le député européen Benoit Biteau et Europe Écologie Les Verts cautionnent impunément le saccage des retenues collinaires, à l’heure où Sandrine Rousseau déclare qu’il faut “accepter une baisse de rendement agricole”, à l’heure où France Télévision, par l’intermédiaire notamment de madame Lucet, stigmatise régulièrement les pratiques agricoles, à l’heure où la gestion du Grand débat sur l’agriculture a été confiée à des experts… en urbanisme, à l’heure où, de la maternelle au lycée, l’éducation se charge de diffuser des messages à charge contre l’agriculture conventionnelle, à l’heure où les administrations agricoles sont, sur le terrain comme dans les bureaux, de plus en plus sensibles aux discours environnementaux…

Mais aussi et surtout, monsieur le ministre de l’Agriculture, à l’heure où Barbara Pompili, ministre de l’Écologie, signait voici quelques mois le manifeste des Coquelicots, association qui dénigre systématiquement le modèle agricole français, seul capable de nourrir en temps et en heure, qualitativement et quantitativement, 67 millions de consommateurs, qui cultive 28 millions d’hectares, pèse 75 milliards d’euros et emploie 1,5 million de personnes.

Le “en même temps” ne fonctionnera pas sur ce coup-là, monsieur le ministre

Un “témoignage de solidarité” dont je me suis ému auprès du Premier ministre avec une tribune diffusée dans le Point et dans L’Agri. Car le monde agricole est en droit de se demander désormais quelles orientations vont être prises, qui sera écouté et dans quelles proportions le modèle qui permet de garantir notre sécurité alimentaire va-t-il être préservé ? Car si, comme le prédit le Sénat, la France risque de connaître son premier déficit agricole en 2023, notre pays va inexorablement basculer dans l’inconnu que suscite la géopolitique des dépendances alimentaires.

Au même titre que la santé, la défense ou l’enseignement, l’agriculture demeure un secteur incontournable dont le sort ne peut être confié à des comités Théodule irresponsables et aux promoteurs de la décroissance économique, de la déconstruction agronomique.

Le laxisme et parfois même la complaisance dont l’État fait preuve à l’égard des lobbies écologistes menace directement la compétitivité du monde paysan, déjà suffisamment malmené par le jeu des compétitions déloyales mondiales et intra européennes. Céder aux caprices des environnementalistes qui réclament, sans connaître de l’outil ni l’usage ni le prix, toujours plus de normes, toujours plus de contrôles, toujours plus de directives allant bien souvent à l’encontre du bon sens paysan, relève de la manipulation sociétale et équivaut à déstabiliser de façon irréversible l’ensemble des filières agricoles.

L’État français doit donc désormais clairement se positionner, soit en faveur des agriculteurs, soit en faveur des écologistes. Compte tenu du contexte et de la confusion, voire de la désinformation, qui chemine dans l’esprit des consommateurs, le “en même temps” ne fonctionnera pas sur ce coup-là, monsieur le ministre.

Vos services pourraient à ce titre et, bien sûr, en toute impartialité, estimer ce que pourrait réellement produire une agriculture dite “écologique” en tenant compte des règles que veulent imposer les ONG et autres activistes du moment. Nous saurions alors si vous pouvez vraiment leur confier la clé des champs !


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Grâce à la revue PROCESS Alimentaire, vous n'avez plus accès aux 10 052 articles initialement publiés par mes soins de 2009 à 2017 sur le lien suivanthttp://amgar.blog.processalimentaire.com/. Triste histoire de sous ... 

mercredi 10 août 2022

Le vandalisme des réserves d'eau, encore et encore ...

Je vous ai parlé récemment de Qui sont les vandales qui en ont après le bûcherons, les retenues d'eau et les wagons de blé ?

D’après certaiens informations, il y aurait parmi ces vandales, cause aggravante, des soit disant syndicalistes agricoles complètement dévoyés par une idéologie mortifère, c’est dire ...

Mise à jour du 11 août 2022. On apprend par un communiqué  du 10 août 2022 que «les ministres de l'Agriculture et de l'Écologie «condamnent avec fermeté ces faits de vandalisme. Au-delà des suites judiciaires qui seront réservées, ces dégradations sont inacceptables dans une période de sécheresse historique qui touche l’ensemble du territoire métropolitain.»
Pourquoi ne portent-ils pas plainte ?

On lira aussi sur le blog d’André Heitz , France, sais-tu encore que tes agriculteurs te nourrissent ?  

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