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mercredi 29 novembre 2023

L'agribashing ou l'écoterrorisme au quotidien en France

Voilà le résultat de l'idéologie pseudo écologiste, de l'écoterrorisme à l'état pur : on peut y lire "assassins" et "paysans pollueurs crève", sans oublier les dégradations ... c'est incensé !

dimanche 11 juin 2023

Des soit disant militants en action en France en toute impunité pour arracher des tuyaux d'irigation !

Autre action vis-à-vis d'un maraicher... 

mercredi 22 mars 2023

Jusqu’où iront les écolos radicaux?

«Jusqu’où iront les écolos radicaux?» article de Ronan Planchon dans FigaroVox.

Fruit d’une enquête fouillée, le livre d’Anthony Cortes et de Sébastien Leurquin met en évidence la fracture qui existe désormais entre la nouvelle constellation écologiste et les pouvoirs publics.

L’affrontement qui vient de l’éco-résistance à l’éco-terrorisme?, d’Anthony Cortes, Sébastien Leurquin, éditions du Rocher, 252 pages, 18,90 euros.

Le scénario est écrit d’avance. Et à chaque fois, la pièce de théâtre se déroule comme prévu. Les images font le tour des réseaux sociaux, avant d’être reprises sur les chaînes d’information traditionnelles. Le bon sens s’indigne («Une honte!») ou se tait, par crainte de passer au mieux pour le réactionnaire de service, au pire pour le pourfendeur de la cause climatique.

La suite est réservée aux abonnés.

Sur le site de l’éditeur du livre, éditions du Rocher, on peut lire ce qui suit,

D'un côté, la nouvelle constellation écologiste. Portée par des groupes comme Extinction Rebellion, Dernière Rénovation, les Soulèvements de la Terre ou encore Deep Green Resistance, elle multiplie les opérations coup de poing pour dénoncer l'urgence climatique. Quitte à basculer dans la radicalité : jets de peinture, blocages routiers, mais aussi sabotages, destructions et actions clandestines...De l'autre, la machine étatique, tout aussi déterminée : surveillance, répression, condamnations et criminalisation... N'hésitant plus à durcir sa doctrine, à parler d'éco-terrorisme et à s'engager dans un jeu trouble avec la mise sous cloche d'associations historiques garantes de l'intérêt général, le détricotage du droit de l'environnement, ou l'accélération de grands projets controversés.Chez les activistes, on envisage la violence. En face, on redoute l'attentat. Comment tout cela va-t-il finir ?

Anthony Cortes et Sébastien Leurquin ont enquêté pendant plus d'un an, mené 80 entretiens avec des militants, des parlementaires, des femmes et des hommes d'État, des sources ministérielles et différents services de renseignement. Ils ont effectué une dizaine de reportages dans les lieux où cette tension se cristallise.

Dans L’affrontement qui vient, ils ont notamment rencontré une militante de Deep Green Résistance qui annonce clairement la couleur : «La peur ça change pas mal de choses dans le rapport de force, puis ça te permet d’attirer des gens déterminés. Nous, on veut prendre petit à petit la place des mignons écolos pour amener l’idée d’actions violente comme l’axe central, voire le seul.»

dimanche 5 mars 2023

Destruction de ‘bassines’, justice laxiste !

Le blog vous avait proposé plusieurs articles sur un sujet d’actualité les réserves d'eau ou «bassines» que vous pourrez retrouver ici.

Après les actes de délinquances contre des réserves d’eau (‘bassines’), on pouvait légitiment s’attendre à des peines sévères par la justice. Deux personnes étaient poursuivis pour avoir participé, le 6 novembre 2021 à Cram-Chaban, en Charente-Maritime, à la destruction d’une des cinq réserves d’eau appartenant à l’Association syndicale d’irrigation des Roches.

Et bien, pas du tout, un vrai scandale !

Ce jeudi 2 mars 2023, le tribunal correctionnel de La Rochelle a condamné deux trentenaires à 500 euros d’amende et 200 euros d’amende avec sursis après les avoir jugés coupables de «dégradation du bien d’autrui avec circonstances aggravées.»

Mise à jour du 7 mars 2023
Après la série des crétins qui détruisent des bassines, voici d’autres crétins qui sont tout aussi ignorants, La France Agricole nous informe «Amende avec sursis pour six faucheurs volontaires».

Six faucheurs d’OGM ont été condamnés, lundi à Dijon, à une amende avec sursis de 800 euros chacun, pour destruction de colza, a-t-on appris auprès de leur avocat. 

Détruit car le colza était supposé OGM, c’est tout simplement démoralisant !

lundi 12 décembre 2022

Écosabotage ou terrorisme en France ...

mardi 22 novembre 2022

Des producteurs de fruits portent plainte contre Julien Bayou

Plusieurs organisations syndicales représentant des producteurs de fruits et légumes déposent une plainte contre Julien Bayou pour incitation à la désobéissance civile. 

Mise à jour du 26 novembre 2022
«Stupéfaits et dépités», les producteurs de fruits et légumes déplorent ce vendredi 25 novembre 2022, le classement sans suite de leur plainte déposée contre le député écologiste Julien Bayou pour «incitation à la dégradation de propriétés privées». Ils annoncent se tourner vers le Garde des Sceaux. Source La France Agricole.

Mise à jour du 28 novembre 2022
«La justice est parfois rapide», source blog-notes d’Olivier Masbou.
Qui a dit que la justice française était lente ? Le 18 novembre, l’Association Nationale Pommes Poires (ANPP), la Fédération Française de la Coopération Fruitière, Légumière et Horticole (FELCOOP), la Fédération Nationale des Producteurs de Fruits (FNPF) et l’Association d’Organisation de Producteurs «Tomates et Concombres de France» ont annoncé porter plainte contre Julien Bayou, député (EELV, Paris) pour «provocation suivie ou non d’effet à commettre un délit, infractions réprimées par la loi sur la presse du 29 juillet 1881». Etaient visés des propos du député, sur BFM-TV le 23 août qui a «explicitement encouragé les actes de destruction contre les réserves d’eau agricoles, et assuré qu’il soutiendrait devant les tribunaux toute personne commettant de tels actes» selon les plaignants. Ils estiment que «en appelant à la destruction de ces réserves d’eau, Monsieur Julien Bayou a directement encouragé et provoqué, mais aussi légitimé la commission des évènements de Sainte-Soline». Selon nos informations, la plainte a été envoyée le 18 novembre par LRAR au Procureur de la République de Poitiers. Le 25 novembre, la plainte était classée sans suite par le magistrat. Moins d’une semaine entre le dépôt de plainte et la décision, pas mal !
Devant cette célérité, l’ANPP, FELCOOP, la FNPF et l’AOP « Tomates et Concombres de France » ont décidé de saisir le ministre de la Justice, Éric Dupont-Moretti.

mardi 23 août 2022

Être aux côtés des agriculteurs, c'est bien, mais il faut systématiquement traîner devant les tribunaux les destructeurs de biens agricoles et ceux qui les encourgent

Bravo M. Fesneau, ministre de l'Agriculture pour vos propos ...
Mais que pensez de ceux qui prônent la désobéissage civile et qui disent, c'est assumé devant les tribunaux ? 
Pourquoi face à de tels propos, ne saissez-vous pas la justice ?
Aux lecteurs du blog
La revue PROCESS Alimentaire censure pour une triste question d’argent les 10 052 articles initialement publiés gracieusement par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors que la revue a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. La revue PROCESS Alimentaire a fermé le blog et refuse tout assouplissement. Derrière cette revue, il faut que vous le sachiez, il y a une direction aux éditions du Boisbaudry, pleine de mépris, et un rédacteur en chef complice !

dimanche 10 juillet 2022

Vols et dégradation de silos de céréales en France

Aux lecteurs du blog
La revue PROCESS Alimentaire censure pour une triste question d’argent les 10 052 articles initialement publiés gracieusement par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors que la revue a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. La revue PROCESS Alimentaire a censuré le blog et refuse tout assouplissement. Derrière cette revue, il faut que vous le sachiez, il y a une direction aux éditions du Boisbaudry, pleine de mépris, et un rédacteur en chef complice !

mardi 29 mars 2022

Agribashing XXL et justice XS en France

Je reproduits ci-dessous des extraits d’un article de l‘excellent blog-notes d’Olivier Masbou,

Agribashing XXL
Il semble qu’il n’y ait plus de limites dans les attaques contre le monde agricole. Cela prend des proportions inédites. Le week-end dernier, les ‘anti bassines’ ont saccagé une station d’irrigation et déterré une canalisation sur la commune d’Epannes dans les Deux-Sèvres. Ce «nouvel acte de vandalisme (.) est d’autant plus scandaleux que les auteurs de ces faits aveugles et inqualifiables ont pris pour cible l’exploitation de deux jeunes agriculteurs récemment installés en agriculture biologique et en élevage d’une race locale de vaches, la Maraichine» écrit la Coop de l’eau 79. Le week-end d’avant, des militants d’Extinction Rebellion ont attaqué (il n’y a pas d’autres mots) un train de céréales en rase campagne en Bretagne. Ils ont déversé leur ‘butin’ (environ 1 400 tonnes de blé) sur les voies et sont repartis tranquillement. Ils pensaient ainsi dénoncer ‘l’agro-industrie’, ce blé étant destiné à l’alimentation animale. On pourrait aussi citer la dernière ‘enquête’ de Que Choisir sur les pesticides dans les fruits et légumes…

Bashing: les forêts aussi
L’agriculture n’est pas la seule concernée par les attaques des extrémistes de l’écologie. La forêt aussi. Dans un communiqué daté du 24 mars, l’Union de la Coopération Forestière Française (UCFF) dénonce «l’incendie criminel d’un engin forestier dont a été victime la Coopérative forestière CFBL dans la nuit du 17 mars 2022 sur la commune de Brassy dans la Nièvre». «L’incendie a été perpétré au lendemain de la diffusion d’une vidéo à charge d’une association qui appelle à la désobéissance civile et d’une communication dénonçant les chantiers de reboisement des Coopératives Forestières financés par le Plan de relance. Cet événement intervient après que la Gendarmerie ait enregistré des menaces de mort à l’encontre des forestiers de la coopérative CFBL».

Justice taille XS
Ce qui frappe dans certaines opérations (lire ci-dessus), c’est l’absence d’intervention des forces de l’ordre. Ainsi, la vidéo postée par Extinction Rebellion sur l’attaque du train en Bretagne dure 20 minutes. On peut au moins multiplier par 2 pour avoir une idée du temps de cette agression. Ainsi, en France, en 2022, on peut stopper un train, vider son chargement, et repartir tranquillement… Oui mais la justice fera son travail. Hum ! Selon Ouest France (24 mars), le parquet de Lorient a ouvert une information judiciaire pour «entrave à la mise en marche ou à la circulation de trains, entrée irrégulière dans l’enceinte du chemin de fer, dépôt de matériau ou objets quelconques dans l’enceinte du chemin de fer, dégradations de biens d’autrui, en réunion». La fessée n’est pas loin.

Et voici de nouveaux des exemples de dégradation sans aucun fondement, ni connaissance,

BNM: Bassines non merci.

Aux lecteurs du blog

Je suis en conflit depuis plusieurs années avec la revue PROCESS Alimentaire pour une triste question d’argent qui permettrait de récupérer et de diffuser correctement les 10 052 articles initialement publiés gracieusement par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors qu’elle a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. Le départ du blog de la revue a été strictement motivé par un manque de réactivité dans la maintenance du blog, la visibilité de celui-ci devenant quasi nulle. J’accuse la direction de la revue de fuir ses responsabilités et le but de ce message est de leur dire toute ma colère. Elle ne veut pas céder, moi non plus, et je lui offre ainsi une publicité gratuite.

jeudi 24 mars 2022

Activisme écologique: la frustration des enfants gâtés, par Jean-Paul Pelras,

«Activisme écologique: la frustration des enfants gâtés», par Jean-Paul Pelras, article paru dans l’agri le 24 mars 2022.

L’activisme écologiste qui vient encore de frapper avec le déversement d’un train de céréales dans le Morbihan est révélateur d’un clivage qui puise ses racines dans la frustration. Un travail de sape que les syndicats agricoles, à l’exception de la Confédération paysanne, qualifient de terrorisme, avec le saccage des retenues d’eau dans le Lot et Garonne, les destructions de cultures dont sont coutumiers les faucheurs volontaires ou, plus globalement, la stigmatisation que les environnementalistes alimentent à l’égard du monde agricole.

Une stigmatisation qui fait son chemin et récolte une adhésion de plus en plus significative auprès de la population. Cette population à qui l’on montre des superficies cultivées par des «rentiers», des fermes immenses qu’ils ne pourront jamais se payer, des pulvérisateurs qui empoisonnent leurs enfants, des tracteurs qui n’en finissent plus, à perte de vue, d’épandre des engrais ou de labourer leurs champs. Et ce, alors que la plupart de ceux qui les observent doivent se contenter d’une tondeuse à gazon et d’un carré de jardin, le dimanche matin, dans leurs lotissements.

«La jalousie des petites différences» développée par Freud n’est pas étrangère à ces rivalités qui opposent ceux qui possèdent, qui ont investi ou qui ont hérité, à ceux qui doivent trimer toute une vie pour rembourser quelques mètres carrés après avoir pu enfin accéder à la propriété. La notion de capital est toujours sous-jacente et bien sûr souvent fantasmée depuis 1968 et le retour à la terre de ceux qui, bien souvent, n’y avaient jamais mis les pieds. Il fallait alors inventer une autre agriculture, revenir aux fondamentaux et rejeter en bloc le productivisme, le gaspillage, la pollution, l’usufruit, les limites, le servage…

La propriété, voilà le problème
Bové, qui délaissa la charrue pour la politique et troqua son pécule de berger contre celui de député européen, incarna, pipe au bec sur moustache de sapeur, l’image de ce paysan insoumis, pourfendeur d’une certaine malbouffe au pays de la gastronomie, intercesseur de ces idées que la société était prête à écouter pourvu qu’elle soit confortée, depuis son canapé, dans sa position d’insurgée. L’agriculteur plus que le paysan, car ce mot fait davantage rêver les gens, est donc devenu progressivement persona non grata là où, au lendemain de la guerre, chacun se pressait pour pouvoir acheter son sac de blé, son morceau de jambon ou sa caisse de pommes de terre.

Pire, il est devenu celui qui gêne sur la route, qui dérange quand il démarre le tracteur un peu trop tôt, qui gaspille l’eau, qui attire les mouches avec son troupeau. Il dérange moins, en revanche, quand il s’agit d’aller se servir à la nuit tombée dans le verger ou quand il faut aller faire pisser le chien dans le pré d’à côté. Ce qui ne pose d’ailleurs plus aucun problème là où les friches ont fini par remplacer les terres autrefois cultivées, là où l’on vient jeter le bidet cassé et la vieille machine à laver, les capotes et les seringues usagées. Combien de fois entendons-nous dans nos campagnes : “Ils font chier ces paysans à mettre des barbelés partout, à tout clôturer, à creuser des fossés pour nous empêcher de traverser leurs propriétés…”

La propriété, voilà le problème. Surtout quand il s’agit de celle des autres et que, progressivement, ceux qui ont idéalisé la campagne tentent de se l’accaparer. Soit en devenant majoritaire au sein des conseils municipaux, soit en monopolisant le débat par le biais des associations. Les saccages, les intimidations exercées par les mouvements activistes sont, à ce titre, indirectement cautionnés par les pouvoirs publics qui ont démissionné, souvent pour des raisons électoralistes, à l’heure où le vote paysan représente moins d’un électeur sur cent.

L’indignation suscitée par le déversement de ce train de céréales sera ainsi très vite relayée par le prochain reportage télévisé à charge contre les agriculteurs. Dans le Morbihan, à Caussade, à Sivens comme ailleurs, les enfants gâtés qui cassent pour des idées, sans se soucier du jour où ils viendront à manquer, ont avec eux, qu’on le veuille ou non, toutes celles et ceux qui, en ouvrant leurs fenêtres, ne supportent plus, depuis les villes ou dans la ruralité, ni la notion de rentabilité, ni celle de propriété.

Mise à jour du 26 mars 2022. On lira cet article de seppi sur son blog, Allons-nous connaître une vague d'écoterrorisme ?

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dimanche 20 mars 2022

De l'agribashing au quotidien en France, entre des abrutis et des apprentis terroristes !

On ne sait plus quels mots il faut prononcer, entre crétins et abrutis, mais surtout terrorisme agricole, h'hésitons à employer le terme qu'il faut pour qualifier des actes qui sont inqualifiables ..., mais où est la justice, l'Etat de droit ?

On lira cet excellent artilce de seppi, Délinquance abjecte : un communiqué de presse d'Intercéréales – des médias irresponsables.

Gâcher des céréales... En plus quand le monde – enfin la partie raisonnable – se demande si nous n'allons pas vers des pénuries, des disettes et des famines...

Mise à jour du 22 mars 2022. On lira l'article d'Olivier Babeau dans FigaroVox«Les activistes d'Extinction Rebellion saccagent le travail de nos agriculteurs»

Mise à jour du 26 mars 2022. On lira cet article de seppi sur son blog, Allons-nous connaître une vague d'écoterrorisme ?

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vendredi 14 février 2020

La FDA publie un projet de directive finale pour aider les entreprises à trouver et à éliminer les fraudes alimentaires


« La FDA publie un projet de directive finale pour aider les entreprises à trouver et à éliminer les fraudes », source Food Safety News.

Les actes de terrorisme et autres fraudes intentionnelles de denrées alimentaires font l’objet de la troisième et dernière tranche des directives réglementaires de l’industrie sur la manière de faire face à la fraude intentionnelle (falsification, etc.) dans l’approvisionnement alimentaire.

Avec la publication du projet de directives, la Food and Drug Administration a achevé le mandat de l'agence d'élaborer des règlements pour prévenir, réagir et enquêter sur les actes de contamination intentionnelle des aliments, comme décrit dans la Food Safety Modernization Act (FSMA) de 2011.

« Contrairement aux autres règles du FSMA qui concernent des aliments ou des dangers spécifiques, la règle de l'Intentionnal Adulteration exige que l'industrie alimentaire mette en œuvre des stratégies de réduction des risques dans les processus des entreprises alimentaires qui sont considérablement vulnérables à la fraude et à la falsification intentionnelle », selon une mise à jour du Center for Food Safety and Applied Nutrition (CFSAN).

La dernière tranche du projet d'orientations sur l'Intentional Adulteration comprend des chapitres couvrant des sujets axés sur les mesures correctives de la défense alimentaire, la vérification de la défense alimentaire, la nouvelle analyse et la tenue de registres. Il explique également comment les entreprises peuvent déterminer si elles sont considérées comme de petites ou très petites entreprises, qui sont exemptées de la plupart des réglementations de la FSMA.

Les «installations » alimentaires couvertes par la règle sont tenues d'élaborer et de mettre en œuvre des plans de défense alimentaire qui identifient les vulnérabilités et comment y faire face. Les entreprises doivent également documenter que les stratégies d'atténuation fonctionnent. Les inspections devraient commencer en mars de cette année.

Pour plus d'informations, veuillez consulter:

Protéger l'approvisionnement alimentaire de la falsification ou fraude intentionnelle, comme les actes de terrorisme (Protecting the Food Supply from Intentional Adulteration, Such as Acts of Terrorism)
Règle finale du FSMA sur la fraude ou la falsification intentionnelle (SMA Final Rule on Intentional Adulteration)

jeudi 25 avril 2019

Danish Crown et d'autres fabricants européens de produits alimentaires ont reçu des menaces d'empoisonnement

« Danish Crown et d'autres fabricants européens de produits alimentaires ont reçu des menaces d'empoisonnement », source article de Susan Kelly du 25 avril 2019 dans Meatingplace.

Le groupe Danish Crown est le plus grand exportateur de porc au monde et le plus grand transformateur de porc d’Europe. Danish Crown est la plus grande entreprise de transformation de la viande en Europe et un acteur important sur le marché européen du bœuf

Le transformateur de viandes Danish Crown et d’autres grandes entreprises alimentaires en Europe ont reçu des lettres contenant une poudre non identifiée qui menaçait d’empoisonner des produits si la demande d’argent n’était pas satisfaite, selon des informations parues à la presse.

Danish Crown a dit avoir reçu une telle lettre, mais que son personnel et ses consommateurs n'étaient pas menacés, selon ABC News. La police danoise aurait déclaré que les lettres au Danemark contenaient une substance dangereuse et avaient été envoyées de Belgique.

Des lettres similaires ont été envoyées aux fabricants de café italiens, Lavazza et Caffe Vergnano et au producteur de Nutella, Ferrero, selon l’article, qui a cité des enquêteurs italiens. Les autorités ont indiqué que les lettres demandaient dans chaque cas 30 000 euros.

La chaîne danoise de télévision DR a dit que des lettres avaient également été envoyées à des entreprises de transformation alimentaires en Belgique, en Allemagne, en Autriche et en Grande-Bretagne, et la chaîne suédoise SVT a déclaré que le géant des aliments surgelés Findus avait reçu une lettre contenant de la poudre blanche et une menace, a rapporté ABC News.