"Les agriculteurs jettent ou brûlent la paille". Il faut vraiment ne jamais avoir vu la campagne, les ballots de paille, pour oser dire une bêtise pareille. @France2tv , vous faites honte à la profession. pic.twitter.com/dU5aFjnm0C
— Hervé Grandchamp (@hervegg) September 18, 2022
«L'hygiène, avant la microbiologie, n'est hygiénique que dans ses intentions. C'est la science des apparences qui repose entre des mains d'aveugles : est sain ce qui est beau, bon, et ne sent pas mauvais.» Pierre Darmon, L'homme et les microbes, Fayard, 1999.
lundi 19 septembre 2022
Agribashing à la télévision, as usual ?
mardi 13 septembre 2022
L’été a été chaud. Agribashing, passer les bornes, il n'y a plus de limites !
«L’été a été chaud», source article d’Olivier Masbou paru le 12 septembre 2022dans son blog-notes.
Sécheresse, canicules, épisodes de chaleur, l’été 2022 (qui n’est pas tout a fait terminé) a été très chaud. Le niveau de bêtises dites ou faites a lui aussi connu des records.
Il ne s’agit pas de minimiser la gravité de la situation. Mais ce n’est pas en exagérant, en faisant peur, en culpabilisant, en délivrant des demis vérités, des rumeurs, des fausses informations, des statistiques tronquées que l’on va responsabiliser les Français.
Il y a eu, ici où là, quelques articles, rappelant l’histoire des grandes sécheresses au Moyen-Age, ou dans les siècles plus récents, qui ont permis de relativiser. La situation est grave, mais loin d’être exceptionnelle. Dans mon village de l’Aveyron, les plus anciens se rappellent de l’été 1948 où, jusqu’à la mi-septembre au moins, on coupait les branches des arbres pour donner de la nourriture (et de la verdure) aux vaches ou aux moutons.
Mais, une analyse historique et raisonnable ne pouvait convenir aux oiseaux de malheur, de couleur verte de préférence. Alors on a sorti la grosse artillerie, les chiffres les plus farfelus sur la consommation de l’eau par l’agriculture, pointée du doigt tout au long de l’été. «Pour peser véritablement sur la gestion de l’eau en France, il convient de s’interroger sur les pratiques de l’agriculture, qui représente près de la moitié de la consommation en moyenne annuelle, et même les quatre cinquièmes en été.» écrit Le Monde (28 août).
Autre poncif répété à l’envie : «Il faut 15 000 litres d’eau pour produire 1 kilo de viande bovine». Bon, selon l’Institut de l’élevage, cette consommation se situe autour de 50 à 70 litres d’eau par kilo de viande vive (cf. DecodAgri, 12 décembre 2019). Soit un écart de 1 à 300 : plus c’est gros, plus ça passe.
Une fois que l’ambiance est bien installée, les esprits bien formatés, comment s’étonner que certains décident de passer à l’acte : en Vendée, des bassines ont été saccagées ; un peu partout, des installations d’irrigation ont été sabotées ; ailleurs, ce sont les abreuvoirs pour les vaches qui ont été vidés.
«J’en ai assez de l’agribashing, j’en ai assez de l’esprit de calomnies et de raccourcis. Il faut que l’on ait un discours public qui assume l’importance de notre agriculture (…) On a besoin de l’agriculture française. Il faut le dire haut et fort, il faut le dire à la télévision, dans les écoles, et partout (…). Il n’y a aucun progrès écologique possible, s’il se fait au dépend de notre souveraineté» a déclaré Emmanuel Macron, le 9 septembre aux Terres de Jim. Après vous Mr le Président.
mercredi 10 août 2022
Le vandalisme des réserves d'eau, encore et encore ...
Je vous ai parlé récemment de Qui sont les vandales qui en ont après le bûcherons, les retenues d'eau et les wagons de blé ?
D’après certaiens informations, il y aurait parmi ces vandales, cause aggravante, des soit disant syndicalistes agricoles complètement dévoyés par une idéologie mortifère, c’est dire ...
L’ouverture d’une enquête judiciaire permettra d’identifier rapidement, je l’espère, les auteurs pour qu’ils soient lourdement sanctionnés au vu des conséquences sur la biodiversité et des préjudices pour les agriculteurs et notre alimentation. #ToléranceZéro 2/2
— Pierre Henriet (@HenrietPierre) August 9, 2022
Qui sont ces éco-terroristes qui sabotent les abreuvoirs des animaux ?
Selon La France Agricole du 10 août 2022, «Ils trouvent leurs abreuvoirs sabotés en pleine sécheresse».
À la frontière de la Haute-Marne et de l’Aube, en quinze jours, quatre installations d’arrivée d’eau pour les animaux ont été sabotées dans un rayon de trente kilomètres. Des animaux sont morts.
C’est qui les crétins qui sabotent les abreuvoirs, ce qui fait mourir les vaches de soif? Et c’est qui les assocs qui tapent H24 sur les éleveurs..? https://t.co/YbfcJvjsMi
— François Momboisse (@fmomboisse) July 31, 2022
On (re)lira l’article «L’impact des « bassines » sur les cours d’eau et les nappes phréatiques serait positif !».
lundi 8 août 2022
Qui sont les vandales qui en ont après le bûcherons, les retenues d'eau et les wagons de blé ?
Qui leur en veut? L’enquête cherche s’il y a un lien entre les crétins qui attaquent des bûcherons en Haute-Loire et les vandales qui percent des retenues d’eau dans les Deux-Sèvres. Voire ceux qui saccagent des wagons de blé dans le Finistère.. https://t.co/fQMOMy9Ppf
— François Momboisse (@fmomboisse) August 8, 2022
mardi 29 mars 2022
Agribashing XXL et justice XS en France
Je reproduits ci-dessous des extraits d’un article de l‘excellent blog-notes d’Olivier Masbou,
Et voici de nouveaux des exemples de dégradation sans aucun fondement, ni connaissance,
L'agriculteur en question est éleveur d'une race de vache maraichine en BIO et vente principalement en direct producteur. Et malgré le tag laissé par les demeurés BNM, pas de soja, pas de maïs dans l'alimentation de ses soixante vaches. https://t.co/BCQ3vnUXoD pic.twitter.com/2e0QopXPmA
— Max🇺🇦 (@Max__lib) March 28, 2022
BNM: Bassines non merci.
"il y a eu des dégradations qui ne semblent pas avoir été faites sur la bonne cible, sur les bonnes tuyauteries" (Sic!). Les militants de la @confpaysanne admettent eux-mêmes qu'ils n'étaient pas là pour manifester mais pour détruire ! https://t.co/YdDJsxPkzx
— GRW (@AEGRW) March 29, 2022
Je suis en conflit depuis plusieurs années avec la revue PROCESS Alimentaire pour une triste question d’argent qui permettrait de récupérer et de diffuser correctement les 10 052 articles initialement publiés gracieusement par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors qu’elle a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. Le départ du blog de la revue a été strictement motivé par un manque de réactivité dans la maintenance du blog, la visibilité de celui-ci devenant quasi nulle. J’accuse la direction de la revue de fuir ses responsabilités et le but de ce message est de leur dire toute ma colère. Elle ne veut pas céder, moi non plus, et je lui offre ainsi une publicité gratuite.
jeudi 24 mars 2022
Activisme écologique: la frustration des enfants gâtés, par Jean-Paul Pelras,
L’activisme écologiste qui vient encore de frapper avec le déversement d’un train de céréales dans le Morbihan est révélateur d’un clivage qui puise ses racines dans la frustration. Un travail de sape que les syndicats agricoles, à l’exception de la Confédération paysanne, qualifient de terrorisme, avec le saccage des retenues d’eau dans le Lot et Garonne, les destructions de cultures dont sont coutumiers les faucheurs volontaires ou, plus globalement, la stigmatisation que les environnementalistes alimentent à l’égard du monde agricole.
Une stigmatisation qui fait son chemin et récolte une adhésion de plus en plus significative auprès de la population. Cette population à qui l’on montre des superficies cultivées par des «rentiers», des fermes immenses qu’ils ne pourront jamais se payer, des pulvérisateurs qui empoisonnent leurs enfants, des tracteurs qui n’en finissent plus, à perte de vue, d’épandre des engrais ou de labourer leurs champs. Et ce, alors que la plupart de ceux qui les observent doivent se contenter d’une tondeuse à gazon et d’un carré de jardin, le dimanche matin, dans leurs lotissements.
«La jalousie des petites différences» développée par Freud n’est pas étrangère à ces rivalités qui opposent ceux qui possèdent, qui ont investi ou qui ont hérité, à ceux qui doivent trimer toute une vie pour rembourser quelques mètres carrés après avoir pu enfin accéder à la propriété. La notion de capital est toujours sous-jacente et bien sûr souvent fantasmée depuis 1968 et le retour à la terre de ceux qui, bien souvent, n’y avaient jamais mis les pieds. Il fallait alors inventer une autre agriculture, revenir aux fondamentaux et rejeter en bloc le productivisme, le gaspillage, la pollution, l’usufruit, les limites, le servage…
Pire, il est devenu celui qui gêne sur la route, qui dérange quand il démarre le tracteur un peu trop tôt, qui gaspille l’eau, qui attire les mouches avec son troupeau. Il dérange moins, en revanche, quand il s’agit d’aller se servir à la nuit tombée dans le verger ou quand il faut aller faire pisser le chien dans le pré d’à côté. Ce qui ne pose d’ailleurs plus aucun problème là où les friches ont fini par remplacer les terres autrefois cultivées, là où l’on vient jeter le bidet cassé et la vieille machine à laver, les capotes et les seringues usagées. Combien de fois entendons-nous dans nos campagnes : “Ils font chier ces paysans à mettre des barbelés partout, à tout clôturer, à creuser des fossés pour nous empêcher de traverser leurs propriétés…”
La propriété, voilà le problème. Surtout quand il s’agit de celle des autres et que, progressivement, ceux qui ont idéalisé la campagne tentent de se l’accaparer. Soit en devenant majoritaire au sein des conseils municipaux, soit en monopolisant le débat par le biais des associations. Les saccages, les intimidations exercées par les mouvements activistes sont, à ce titre, indirectement cautionnés par les pouvoirs publics qui ont démissionné, souvent pour des raisons électoralistes, à l’heure où le vote paysan représente moins d’un électeur sur cent.
L’indignation suscitée par le déversement de ce train de céréales sera ainsi très vite relayée par le prochain reportage télévisé à charge contre les agriculteurs. Dans le Morbihan, à Caussade, à Sivens comme ailleurs, les enfants gâtés qui cassent pour des idées, sans se soucier du jour où ils viendront à manquer, ont avec eux, qu’on le veuille ou non, toutes celles et ceux qui, en ouvrant leurs fenêtres, ne supportent plus, depuis les villes ou dans la ruralité, ni la notion de rentabilité, ni celle de propriété.
Mise à jour du 26 mars 2022. On lira cet article de seppi sur son blog, Allons-nous connaître une vague d'écoterrorisme ?
dimanche 20 mars 2022
De l'agribashing au quotidien en France, entre des abrutis et des apprentis terroristes !
On ne sait plus quels mots il faut prononcer, entre crétins et abrutis, mais surtout terrorisme agricole, h'hésitons à employer le terme qu'il faut pour qualifier des actes qui sont inqualifiables ..., mais où est la justice, l'Etat de droit ?
Gâcher des céréales... En plus quand le monde – enfin la partie raisonnable – se demande si nous n'allons pas vers des pénuries, des disettes et des famines...
Et il y a encore des abrutis pour approuver ces méthodes. Caprices d'enfants repus qui viendront pleurer dans nos campagnes le jour où l'assiette sonnera creux ! Agriculture : un train de céréales arrêté par des manifestants en Bretagne https://t.co/eCNYvPm4JE
— Pelras Jean Paul (@JeanPelras) March 19, 2022
Pour @intercereales il s’agit d’une « quarantaine de membres du groupe @xrFrance ».. pic.twitter.com/O6LGbsbHig
— François Momboisse (@fmomboisse) March 19, 2022
Action impardonnable d'un groupuscule qui se dit contre les #FermesUsines. Ces personnes sont des egoistes irresponsables au ventre plein #honte. @MaLuherne56 @FranckPellerin @ChLambert_FNSEA. En 🇫🇷 nous avons la chance d'avoir encore bcp de #Fermes qui nous nourrissent!!!! pic.twitter.com/wGVTWcZTcR
— Laurence Le Bouille (@l_lebouille) March 19, 2022
Sinistre article de @sfoucart dans @lemonde_planete. La réalité : vouloir produire moins au nom de l’écologisme, c’est comme affamer des populations en leur disant que c’est bon pour leur santé. #agribashing https://t.co/5I0wiVPOeo
— Mac Lesggy 💉💉💉 (@MacLesggy) March 19, 2022
Mise à jour du 22 mars 2022. On lira l'article d'Olivier Babeau dans FigaroVox, «Les activistes d'Extinction Rebellion saccagent le travail de nos agriculteurs»
Mise à jour du 26 mars 2022. On lira cet article de seppi sur son blog, Allons-nous connaître une vague d'écoterrorisme ?
samedi 5 mars 2022
Choses lues sur l'agribashing
Finalement tout n'est que propagande. Les agriculteurs conventionnels apprécieront ! pic.twitter.com/UGcJeVKPmO
— Pelras Jean Paul (@JeanPelras) March 5, 2022
Monsieur le ministre @J_Denormandie, une réaction sur cette nouvelle campagne de dénigrement de nos agriculteurs lancée par @Biocoop ? Vous cautionnez, @LaureVerdeau @Agencebio ? pic.twitter.com/2queZfCxVS
— GRW (@AEGRW) March 4, 2022
Le monde se prépare à des famines.
— Emmanuelle Ducros (@emma_ducros) March 4, 2022
Biocoop continue sa comm dégueulasse de dénigrement de l'agriculture conventionnelle.
Ça en dit long sur les priorités. Détruire les autres pour des parts de marché, en manipulant par la peur, passe avant l'humanisme. pic.twitter.com/7j4k1gQCLl
Est-ce parce que le marché du bio stagne voire régresse, que le lobby du bio réactive la trouille des pesticides?.:) pic.twitter.com/d608GtSFdg
— François Momboisse (@fmomboisse) March 4, 2022
Publicité mensongère. On rappellera à @Biocoop et à son lobbyiste en chef @gruffat_claude m, député européen, 2 vérités :
— Mac Lesggy 💉💉💉 (@MacLesggy) March 4, 2022
- conventionnel ou #bio, TOUTES les agricultures utilisent des pesticides
- ceux-ci sont ss risques pour la santé des consommateurs. #agribashing pic.twitter.com/OpzCLMWQ08
Mise à jour du 26 mars 2022. On lira cet article de seppi sur son blog, Allons-nous connaître une vague d'écoterrorisme ?
vendredi 11 février 2022
Protégeons ceux qui nous nourrissent
«Des éleveurs témoignent de leur souffrance dans une vidéo», source agri-mutuel.
Si les associations animalistes qui s’introduisent dans les élevages défrayent régulièrement la chronique médiatique, Les Z’Homnivores, collectif d’acteurs de la production alimentaire, n’entendent pas leur laisser le monopole du registre dramatique. L’organisation a recueilli, dans une vidéo, les témoignages d’éleveurs victimes de ces intrusions et dénonce les conséquences psychologiques importantes de ces actions sur les éleveurs.
Depuis quelques années, des associations qui ont pour but de mettre fin à l’élevage s’introduisent régulièrement dans les exploitations et multiplient les actions de dégradation, de harcèlement et de «name and shame» sur les éleveurs. Avec des conséquences psychologiques non négligeables pour ces derniers. Dans une vidéo, le collectif les Z’Homnivores dénonce la violence des actions menées par les militants de ces associations, en donnant la parole aux éleveurs.
En 2020, une trentaine d’actes de violence animaliste ont été commis dans des fermes à des fins idéologiques, rappelle l’organisation. «Une tendance qui ne cesse de progresser et dont les chiffres ne révèlent qu’une infime partie de la réalité au regard du peu de plaintes déposées par les victimes», ajoute le collectif.
Témoignant à visage caché, les éleveurs émus relatent le sentiment de peur suite à ces attaques. Philippe (le prénom a été changé) avoue avoir été «complètement choqué» par l’intrusion. D’autres dénoncent l’humiliation qui a suivi, la honte vis-à-vis des voisins. «On a eu peur des représailles, peur pour les enfants», explique un éleveur. «Je n’osais plus sortir», ajoute un autre.
mercredi 2 février 2022
A propos du dispositif Demeter
#Demeter : le débat c’est est-ce que s’introduire la nuit chez des agriculteurs pour écrire ça sur leurs murs relève de la “liberté d’expression”.. https://t.co/FNBhPmxBuU pic.twitter.com/MhdmTvYY42
— François Momboisse (@fmomboisse) February 2, 2022
Qu'il me soit permis de dire que ce tribunal a une fois de plus marché sur la tête ...
Un communiqué du ministère de l’Agriculture précise ce qu’il en est à propos de la «Décision du tribunal administratif relative au dispositif DEMETER»
Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, et Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, ont pris acte de la décision du tribunal administratif de Paris, qui enjoint le ministère de l’Intérieur à mettre fin aux activités de la cellule DEMETER de la gendarmerie qui se rattachent à l’objectif de prévention et de suivi des «actions de nature idéologique».
Les deux ministres confirment l’efficacité de la cellule DEMETER pour lutter contre les atteintes au monde agricole. Elle a en effet permis d’obtenir de très bons résultats : les vols de véhicules dans les exploitations agricoles en 2021 ont ainsi reculé de 8% et les dégradations de 7% par rapport à 2020. Par ailleurs, des enquêtes judiciaires d’importance ont été couronnées de succès, en particulier à l’encontre d’un réseau criminel international spécialisé dans les vols de GPS agricoles ou des auteurs présumés d’un incendie volontaire d’un hangar agricole dans l’Ain. Cette activité n’est donc pas remise en question.
La mission de DEMETER sera néanmoins précisée et cadrée dans un nouveau texte d’organisation interne qui prendra en compte les termes de la décision du tribunal administratif de Paris.
Mise à jour du 22 février 2022. Une suite ...
La cellule Demeter a démontré son efficacité pour lutter contre les atteintes au monde agricole.
— Julien Denormandie (@J_Denormandie) February 21, 2022
Avec @GDarmanin, nous faisons appel de la décision du tribunal administratif de Paris du 31 janvier dernier ⤵️ pic.twitter.com/M70cyMbOT2
mercredi 26 janvier 2022
Elections présidentielles: peurs, manipulations et pesticides
Flagrant délit de mesonges sur les agriculteurs ...
Yannick Jadot, tranquillement, assène de violentes contre-vérités pour insinuer que les agriculteurs seraient responsables d'une flambée des cancers pédiatriques en France. Hallucinant de cynisme et de violence... #ManipulonsLesPeurs DONC, reprenons... https://t.co/BskvQ6Kj13
— Géraldine Woessner (@GeWoessner) January 26, 2022
"On devient plus con avec la peur", dixit l’eurodéputée @EELV @MicheleRivasi
— GRW (@AEGRW) February 2, 2022
Peur du nucléaire
Peur des pesticides
Peur des OGM
Peur des ondes
Peur des vaccins
Peur des produits chimiques
Etc. pic.twitter.com/hiAx0jiJoG
dimanche 23 janvier 2022
«Lettre à Barbara Pompili qui incite à surveiller les paysans». La tribune Jean-Paul Pelras
Plus on sera nombreux à citer cet article de M. Jean-Paul Pelras paru dans l'Opinion, plus on montrera le flicage organisé par plusieurs adminisrations des agriculteurs en France ...
«Sachant que nous venons de perdre plus de 100 000 paysans en vingt ans, continuez à serrer la bride autour des pratiques agricoles françaises, et vous pourrez bientôt mettre vos contrôleurs au chômage car il ne restera plus un seul agriculteur à contrôler»
Pour ceux qui ne pourront pas lire l’article de l’Opinion, réservé aux abonnés, ils pourront utilement lire l’excellent article d’André Heitz sur son blog, «Lettre à Barbara Pompili qui incite à surveiller les paysans», une tribune de M. Jean-Paul Pelras dans l'Opinion.
Quelle autre profession accepterait pareil flicage ? «Lettre à Barbara Pompili qui incite à surveiller les paysans». La tribune Jean-Paul Pelras https://t.co/SVKRIPT7BL via @lopinion_fr @barbarapompili Merci @emma_ducros pour ton relais.
— Pelras Jean Paul (@JeanPelras) January 20, 2022
samedi 22 janvier 2022
Elevage des porcs et agribashing
Surprise en plein vol de bêtises et d'anneries, voici Madame Barbara Lefebvre que l'on a connu plus inspirée, finir ainsi est bien triste ...
🚨 Personne - ni vous, ni moi - ne consomme de produits animaux contenant des #antibiotiques. Personne. C'est interdit par la loi. Les éleveurs gèrent des délais d'attente quand ils en utilisent pour soigner leurs animaux.
— Benoît Rouillé (@B_Rouille_Idele) January 21, 2022
Étaler sa méconnaissance sur un sujet. Exemple ⤵️ https://t.co/7bv0FIIsDQ
mercredi 19 janvier 2022
Les attaques répétées contre les éleveurs mettent en danger la diversité de notre agriculture
«Les attaques répétées contre les éleveurs mettent en danger la diversité de notre agriculture», article d’Anne-Cécile Suzanne aru le 19 janvier 2022 dans FigaroVox.
Pour répondre aux critiques accusant les éleveurs de maltraitance à l'égard de leurs animaux, l'agricultrice Anne-Cécile Suzanne témoigne de son quotidien, en décrivant un métier au contact du vivant, qui engage les éleveurs jour et nuit.
Il est certainement aussi nécessaire que les décideurs politiques décident enfin. En l'occurrence, chaque ferme cherche aujourd'hui la direction, la vision, pour l'agriculture française. Il y a urgence à désigner un objectif collectif pour les éleveurs comme pour les céréaliers, les viticulteurs, les arboriculteurs… car à force d'injonctions paradoxales, c'est tout l'écosystème qui faiblit, ce sont les élevages qui ferment, les prairies qui disparaissent et avec elles la diversité d'espèces qui y naissent.
Ce sont nos assiettes qui se fragilisent à mesure que les vaches françaises disparaissent, que les vergers quittent la France, que le blé français perd en compétitivité.
Anne-Cécile Suzanne
mercredi 12 janvier 2022
Agribashing et ministre de l'écologie, un oxymore ?
Ce qui étonnant, mis à part Jean-Paul Pelras qu'aucun candidat à l'élection présidentel ait dans son programme la fermeture du ministère de l'écologie ... et pourtant y'a de quoi, jugez plutôt ...
Aux lecteurs du blog“Informer” sur l’utilisation de produits autorisés. L’étape d’après, puisque nos concitoyens ont le droit de savoir, ça devrait être de donner les noms et adresses des agriculteurs?.. #agribashing https://t.co/Bbc4r9tFQT
— François Momboisse (@fmomboisse) January 12, 2022
vendredi 3 décembre 2021
Un nouvel exemple d'agribashing ...
Un tissu de conneries, @marieclaire_fr.
— Emmanuelle Ducros (@emma_ducros) December 3, 2021
Les bovins français sont nourris essentiellement à l'herbe et essentiellement de produits locaux, y compris pour le maïs.
Le soja importé représente 1,5% de leur alimentation.
Oui, vous désinformez. https://t.co/qawdoYJ6hJ
mercredi 10 novembre 2021
Nouvel épisode de l'agribashing en France
Après Choses lues: Agribashing en France du 4 octobre 2021, voici hélas un nouvel épisode des excités anti-agriculture en France ...
La fameuse "inspection citoyenne" des faucheurs volontaires.
— Emmanuelle Ducros (@emma_ducros) November 10, 2021
Une intrusion par effraction, un saccage. Et les professionnels qui savent que personne ne sera condamné pour ces déprédations.
Où est l'Etat de droit???? https://t.co/C3oOpjr1pw
OGM : des faucheurs volontaires mènent une "inspection citoyenne" chez RAGT à Calmont dans l'Aveyron https://t.co/CwKjAzPGfs pic.twitter.com/R1JNt1I3na
— France 3 Occitanie (@F3Occitanie) November 10, 2021
lundi 4 octobre 2021
Choses lues: Agribashing en France
Les excités anti-agriculture, qui ne supportent pas qu'on utilise de l'eau pour cultiver et donc saccagent les réserves, ne seront heureux que lorsque la totalité de notre alimentation sera produite ailleurs, loin de leurs yeux.Crétins et égoïstes. https://t.co/5OCp7iOAOr— Emmanuelle Ducros (@emma_ducros) October 2, 2021
lundi 20 septembre 2021
Faut-il laisser la clé des champs aux écologistes ?
Jadot/Rousseau : Faut-il laisser la clé des champs aux écologistes ? (article paru dans l’agri lu 20 septembre 2021 par Jean-Paul Pelras)
Le 28 novembre 2019, l’écologiste Yannick Jadot déclarait sur l’antenne de France Inter au micro de Léa Salamé et de Nicolas Demorand : «On sort des pesticides, on installe 200 000 paysans ou plus dans notre pays». (Notons qu’Eric Piolle devait tenir, quelques mois plus tard, un discours assez proche de celui-ci … ) Léa Salamé a alors demandé à celui qui est également député européen : «Est-ce que vous entendez la colère des paysans ? Ils sont fatigués du discours des écologistes, ils en ont assez qu’on les insulte …» Jadot répondit : «S’il y a une formation politique qui est depuis des années aux côtés des éleveurs, de l’ensemble des paysans, ce sont les écologistes. C’est nous qui les défendons»
Et puis, deux ans plus tard, arrive «la primaire» relayée par tous les médias de l’hexagone, comme si l’avenir du pays était suspendu au choix d’un parti politique et de ses 106 622 sympathisants votants. Une primaire qui augure un palpitant second tour fin septembre, avec Jadot qui tient la corde pour 2 petits points et Sandrine Rousseau qui créée la surprise avec son projet «écologiquement radical».
«Choc de productivité négatif …, baisse de rendement»
Comment peut-on en effet parler de «choc de productivité négatif ? Comment peut-on dire qu’il faut accepter une baisse des rendements» à l’heure où, plus que jamais, notre agriculture doit retrouver le chemin de la compétitivité, à l’heure où notre pays s’apprête à connaître le premier déficit agricole et agroalimentaire de son histoire ?
La question est posée. Et si elle n’est, pour l’instant, qu’entre les mains de 106 622 sympathisants, n’oublions pas qu’elle concerne aussi l’autosuffisance alimentaire de 67 millions de Français.