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vendredi 10 février 2023

De la présence de Listeria au niveau de la production primaire et la transformation d'aliments d'origine non animale en Bavière

Il va s’agir ici de la p
résence de Listeria au niveau de la production primaire et la transformation d'aliments d'origine non animale en Bavière. Ce second volet faisait initialement partie d’un article de Joe Whitworth paru le 10 février 2023 dans Food safety News. Le blog vous proposé la première partie de l’article ici.

Faits saillants
- Listeria spp. a détecté dans 12,53 % des échantillons.
- Au total, 1,72% des échantillons provenant de producteurs de produits ’origine non animale étaient positifs pour L. monocytogenes.
- Aucun des échantillons d'aliments n'était positif pour L. monocytogenes.
- Les siphons de sol et les eauxservant à la transformation ont montré des résultats positifs pour L. monocytogenes.
- L’environnement et le système d'irrigation sont cruciaux pour prévenir la contamination par Listeria.

De juillet 2020 à juin 2021 en Bavière, 39 producteurs de fruits rouges, de légumes et de fruits et légumes crus prêts à consommer ont été contrôlés. Les inspections se sont déroulées aux stades de la ferme, de la production primaire et de la transformation.

Des prélèvements environnementaux et alimentaires ainsi que des analyses de l'eau d'irrigation et de l’eau servant à la transformation ont été effectués pour étudier la prévalence des espèces de Listeria, y compris Listeria monocytogenes.

Au total, 407 échantillons ont été prélevés, dont 229 écouvillons provenant de matériaux en contact avec les aliments et de l'environnement, 59 échantillons d'aliments et 119 échantillons d'eau d'irrigation et servant à la transformation.

Dans 51 échantillons, Listeria spp. a été détecté. Listeria seeligeri était l'espèce la plus identifiée, suivie de Listeria innocua, Listeria monocytogenes et Listeria ivanovii, selon l'étude publiée dans le Journal of Food Protection, «Presence of Listeria at primary production and processing of food of non-animal origin (FNAO) in Bavaria, Germany». L’articl est disponible en intégralité.

Résultats de Listeria monocytogenes
Listeria monocytogenes a été identifié dans sept échantillons d'eau environnementale et servant à la transformation, mais pas dans les aliments. Ces isolats ont été détectés dans six installations différentes, trois au niveau de la production primaire et quatre dans des usines de transformation.

La zone d'isolement courante de Listeria monocytogenes était l'environnement de l'installation, en particulier dans les différents caniveaux et siphons. Un échantillon d'eau servant au lavage de laitues était positif au niveau de la production primaire.

Des Listeria monocytogenes ont été retrouvées dans un siphon de sol où étaient transformées des salades prêtes à consommer avec des produits d'origine animale (POAO), soulignant la nécessité de respecter les bonnes pratiques de fabrication et d'hygiène, notamment lorsque les deux types de produits sont transformés dans le même local.

Des écouvillons ont montré la prévalence la plus élevée de Listeria. Des échantillons d'eau d'irrigation et servant à la transformation ainsi que des aliments avaient une prévalence plus faible. Plus d'un type de Listeria a été retrouvé dans 12 échantillons.

La détection de différentes espèces de Listeria au sein d'une même entreprise suggère que l'agent pathogène peut devenir un problème si l'environnement et la manipulation hygiénique est négligée, ont it les chercheurs.

«En plus des sources et de la qualité de l'eau, cette étude démontre que le système d'irrigation, la culture, la manipulation hygiénique et les protocoles d'entretien sont très importants pour réduire la contamination potentielle des fruits et légumes prêts à consommer avec Listeria», ont-ils ajouté.

En conclusion, les auteurs notent que l’étude montre que Listeria spp. et L. monocytogenes sont régulièrement présents au niveau de la production primaire et de la transformation de produits d’origine non animale. Les sources d'eau, la qualité de l'eau, le système d'irrigation, la culture, la manipulation hygiénique et les protocoles d'entretien sont très importants pour réduire l'exposition potentielle aux fruits et légumes prêts à consommer.

samedi 9 juillet 2022

Eaux usées récupérées : prévention des agents pathogènes viraux sur les végétaux, selon le BfR

«Eaux usées récupérées : prévention des agents pathogènes viraux sur les végétaux», source avis du BfR n°019/2022 publié le 8 juillet 2022. Document de 24 pages.

Les changements climatiques augmentent la pression sur les ressources en eau en Allemagne et en Europe. Pour contrer cette pression, l'utilisation des eaux usées récupérées pour l'irrigation agricole a été légalement rendue possible au niveau européen. Différentes méthodes de traitement des eaux usées sont disponibles. Des exigences minimales uniformes pour la réutilisation de l'eau visent à garantir la santé humaine et animale ainsi que la protection de l'environnement. La présence de pathogènes viraux dans les eaux usées pose un défi majeur dans ce contexte. Dans ce contexte, l'Institut fédéral allemand d'évaluation des risques (BfR) a évalué la littérature scientifique sur le risque pour la santé de l'utilisation des eaux usées récupérées pour l'irrigation des végétaux utilisées comme aliments en ce qui concerne les agents pathogènes viraux. L'accent est mis en particulier sur les fruits et les légumes consommés crus, où les agents pathogènes potentiels ne sont pas réduits ou tués par le chauffage.

En particulier, le norovirus humain, qui provoque des maladies gastro-intestinales, et le virus de l'hépatite A, qui peut entraîner une inflammation du foie, sont des virus qui peuvent être transmis via les aliments végétaux. Pour les deux virus, de nombreuses épidémies ont été décrites, qui peuvent être attribuées à la consommation d'aliments végétaux tels que les baies surgelées et des légumes à feuilles. De plus, d'autres virus tels que le virus de l'hépatite E, le rotavirus, le sapovirus, l'astrovirus et l'adénovirus jouent également un rôle. En général, la gravité de la maladie déclenchée peut varier en fonction du virus et de l'état de santé de la personne atteinte.

Une situation actuelle des données insuffisantes rend difficile une évaluation concluante des risques de l'utilisation des eaux usées récupérées pour l'irrigation des fruits et des légumes en ce qui concerne les virus pathogènes. Il existe actuellement peu de données sur la stabilité et l'inactivation du norovirus humain et du virus de l'hépatite A, y compris leur comportement lors du traitement des eaux usées, dans le sol, sur les aliments végétaux et sur l'absorption de ces virus dans les végétaux via la racine. Cependant, les données disponibles et les études avec des virus étroitement apparentés montrent que dans la plupart des cas, les virus ont une très grande stabilité aux influences environnementales, dans le sol et sur la arial;">, et peuvent être absorbés par les racines. De plus, la plupart des virus concernés ont une dose infectieuse minimale très faible, ce qui signifie que même de petites quantités de virus peuvent entraîner des maladies. En revanche, de grandes quantités de virus sont excrétées dans les selles, ce qui suggère à son tour une charge élevée dans les eaux usées.

Outre les lacunes identifiées dans les données, il est également nécessaire de rechercher des méthodes pour étudier l'efficacité de l'inactivation des virus pertinents par différents systèmes de traitement des eaux usées et la qualité des eaux usées récupérées en ce qui concerne la présence de virus infectieux.

Même si la situation actuelle des données est encore insuffisante, il est recommandé, dans l'intérêt de la protection de la santé des consommateurs, de s'abstenir d'irriguer les végétaux avec des eaux usées récupérées, dont les parties poussant à proximité ou dans le sol sont généralement consommées crues. Cette recommandation s'applique jusqu'à ce que des procédures de traitement et des contrôles appropriés garantissent qu'aucun virus pathogène n'est présent dans l'eau d'irrigation. Dans le cas des végétaux qui ne sont pas consommées crues, les effets néfastes sur la santé de l'irrigation avec des eaux usées récupérées ne sont pas attendus selon les connaissances actuelles, tant que les aliments sont suffisamment chauffés avant consommation.

Aux lecteurs du blog
La revue PROCESS Alimentaire censure pour une triste question d’argent les 10 052 articles initialement publiés gracieusement par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors que la revue a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. La revue PROCESS Alimentaire a censuré le blog et refuse tout assouplissement. Derrière cette revue, il faut que vous le sachiez, il y a une direction aux éditions du Boisbaudry, pleine de mépris, et un rédacteur en chef complice !

lundi 4 octobre 2021

Choses lues: Agribashing en France

Avis aux lecteurs du blog
L’ancien site Internet du blog qui était hébergé par la revue PROCESS Alimentaire n'est plus opérationnel avec ce lien https://amgar.blog.processalimentaire.com/  

mardi 18 mai 2021

Investigations aux Etats-Unis, Listeria dans du queso fresco et oignons rouges et Salmonella

Deux investigations sur la contamination de produits alimentaires sont proposées ci-après, épidémie à Listeria liée à du queso fresco, c’est loin d’être la première fois, et des oignons contaminés par Salmonella via l’eau d’irrigation. Source CIDRAP News.

Le CDC clôture la dernière investigation sur l'épidémie
à Listeria par du queso fresco
Une investigation sur une épidémie à Listeria moncytogenes liée au fromage queso fresco d'une entreprise du New Jersey a pris fin, avec 14 cas signalés dans quatre États, a annoncé le 14 mai le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis dans une dernière mise à jour.

Le total final reflète l'ajout de deux autres cas depuis la dernière mise à jour du CDC le 1er mars. L'apparition la plus récente de la maladie était le 17 mars. Douze personnes ont été hospitalisées et une personne est décédée. La plupart des patients étaient hispaniques et la moitié étaient des femmes. Quatre étaient malades pendant leur grossesse; deux ont perdu leur bébé, un bébé est né prématurément et une femme est toujours enceinte après s'être rétablie de son infection.

Sur 11 personnes interrogées, 8 avaient mangé du queso fresco, dont 4 qui nommaient des marques fabriquées par El Abuelito, basé dans le New Jersey. Des analyses sur des échantillons de fromage d'un magasin du Connecticut ont identifié une souche qui ressemble étroitement à celle qui a rendu les gens malades. La société a rappelé tous les produits queso fresco le 17 février, puis une semaine plus tard, tous les produits fabriqués ou conditionnés dans le même établissement.
Le CDC a exhorté les gens - en particulier ceux à haut risque de complications, comme les femmes enceintes - à éviter de manger des fromages à pâte molle comme le queso fresco à moins qu'ils ne soient étiquetés comme fabriqués avec du lait pasteurisé. Il a toutefois averti que même les fromages frais et à pâte molle hispaniques à base de lait pasteurisé peuvent être contaminés par Listeria s'ils sont produits dans des conditions non-sanitaires.

L'eau d'irrigation mise en évidence comme une source probable de l'épidémie à Salmonella liée à des oignons rouges

Une investigation de la Food and Drug Administration (FDA) sur une importante épidémie à Salmonella Newport liée à des oignons rouges des régions de culture du sud de San Joaquin et de l'Imperial Valley en Californie a révélé plusieurs facteurs contributifs, l'hypothèse principale étant que l'eau d'irrigation contaminée pourrait en être la source.

L'épidémie était inhabituelle, car elle était la plus importante du pays depuis plus d'une décennie, avec des centaines de cas connexes signalés au Canada, et elle impliquait des oignons rouges, qui n'avaient pas été liés à des épidémies antérieures de maladies d'origine alimentaire.

L'événement qui s'est déroulé en 2020 a rendu malade 1 127 personnes aux États-Unis et 515 au Canada.

Dans un rapport d'investigation publié le 13 mai, la FDA a déclaré que la preuve génétique de la souche de l'épidémie n'a pas été trouvée dans un plan échantillonnage approfondi, mais des preuves de Salmonella Newport ont été retrouvées dans un petit nombre d'échantillons de sédiments et d'eau provenant de l'un des champs de culture, ce qui rend plausible l'hypothèse principale que l'eau d'irrigation contaminée peut avoir été la source.

Les observations visuelles ont révélé d'autres possibilités, notamment le pâturage des moutons sur des terres adjacentes, des signes d'intrusion animale et des facteurs liés à la station de conditionnement.

La FDA a dit que les découvertes génétiques dans certains des sédiments et de l'eau ont montré des liens avec des épidémies antérieures à Salmonella Muenchen et à Salmonella Montevideo liées aux germes, faisant allusion à la persistance d'agents pathogènes dans la région de culture qui pourrait poser un risque pour une gamme de produits.

dimanche 11 octobre 2020

Etats-Unis: Evaluation longitudinale de la dynamique de Escherichia coli, des coliformes totaux, de Enterococcus spp. et de Aeromonas spp. dans des sources d'eau d'irrigation alternatives

Voici un article, paru dans Applied and Envronmental Microbiology, qui s'intéresse à l'eau d'irrigation des fruits et des légumes aux Eats-Unis avec une évaluation longitudinale de la dynamique de Escherichia coli, des coliformes totaux, de Enterococcus spp. et de Aeromonas spp. dans des sources d'eau d'irrigation alternatives. Il s'agit d'une étude CONSERVE.

Résumé
Alors que le changement climatique continue de mettre à rude épreuve les ressources en eau douce, nous avons un besoin pressant d'identifier des sources alternatives (non traditionnelles) d'eau microbienne saine pour l'irrigation des produits frais.

Cette étude fait partie du centre CONSERVE, qui vise à faciliter l'adoption de sources d'eau agricoles adéquates. Une étude longitudinale de 26 mois a été menée dans 11 sites pour évaluer la prévalence des bactéries indiquant la qualité de l'eau, la contamination fécale et le risque de contamination des cultures (Escherichia coli, coliformes totaux [CT], Enterococcus et Aeromonas). 

Les sites comprenaient des rivières/ruisseaux d'eau douce sans marée (NF), une rivière saumâtre à marée (TB), des étangs d'irrigation (EI) et des sites d'eaux récupérées (ER). Les échantillons d'eau ont été filtrés pour la quantification bactérienne. E. coli, CT, les entérocoques (respectivement, ∼86%, 98% et 90% de positifs, n = 333) et Aeromonas (∼98% de positifs; n = 133) étaient répandus dans les échantillons d'eau testés. Les dénombrements les plus élevés de E. coli se trouvaient dans les rivières, les dénombrements de CT dans TB et les entérocoques dans les rivières et les étangs (P < 0,001 dans tous les cas) par rapport aux autres types d'eau.

Les dénombrements de Aeromonas étaient cohérents dans les sites. La dynamique saisonnière n'a été détectée que dans les échantillons de NF et de TB. Les dénombrements de E. coli étaient plus élevés pendant la saison de culture maraîchère (mai-octobre) que pendant la saison non cultivée (novembre-avril) dans tous les types d'eau (P < 0,05). Un seul site ER et deux sites EI espectaient les normes d'eau du Food Safety Modernization Act des États-Unis. 

Cependant, la mise en œuvre des mesures d'atténuation recommandées consistant à laisser du temps pour la mort microbienne entre l'irrigation et la récolte amènerait tous les autres sites en conformité dans les 2 jours. Cette étude fournit des données microbiennes complètes sur l'eau d'irrigation alternative et constitue une ressource importante pour la planification de la sécurité sanitaire des aliments et l'élaboration des politiques.

Importance
La demande croissante de fruits et légumes frais, un climat variable affectant la disponibilité de l'eau agricole et les objectifs de sécurité microbienne des aliments font pression sur la nécessité d'identifier de nouvelles sources d'eau d'irrigation sûres et alternatives. Notre étude a généré des données microbiennes recueillies sur une période de deux ans à partir de sources potentielles d'irrigation (rivières, étangs et sites de récupération des eaux). L'eau des étangs s'est avérée conforme aux normes microbiennes de la loi sur la modernisation de la sécurité des aliments (FSMA) aux Etats-Unis pour l'irrigation des fruits et légumes.

Les dénombrements bactériens dans l'eau récupérée, une ressource qui n'est pas universellement autorisée sur les produits frais aux États-Unis, respectaient généralement les normes microbiennes ou nécessitaient une atténuation minimale.

Nous avons détecté le plus de saisonnalité et les charges microbiennes les plus élevées dans l'eau des rivières, qui est apparue comme le type d'eau qui nécessiterait le plus d'atténuation pour être conforme aux normes établies de la FSMA.

Cet ensemble de données représente l'une des analyses longitudinales les plus complètes des sources alternatives d'eau d'irrigation aux États-Unis.

vendredi 17 juillet 2020

Évaluation des risques pour la santé publique de la présence de Escherichia coli O157: H7 dans de la coriandre


Voici le résumé d'une étude sur l'évaluation des risques pour la santé publique de la présence de Escherichia coli O157: H7 dans de la coriandre.

Faits saillants
  • Une évaluation quantitative des risques microbiologiques pour la présence de E. coli O157:H7 sur de la coriandre de la ferme à l'assiette a été réalisée.
  • La probabilité d’être malade après avoir consommé de la coriandre fraîche a été estimée à très faible.
  • De nombreuses maladies à E. coli O157:H7 peuvent survenir sans contrôle de la chaîne d'approvisionnement de la coriandre.
  • Une eau d'irrigation de bonne qualité réduit le risque de maladie à E. coli avec de la coriandre.
  • Une température de transport élevée augmente le risque de maladie à E. coli avec de la coriandre. 
Résumé
Cette étude visait à modéliser la croissance et la mort de Escherichia coli O157:H7 tout au long de la chaîne d'approvisionnement de la coriandre, de la ferme à l'assiette, afin d'étudier son risque pour la santé publique.

Les facteurs contributifs inclus dans le modèle étaient la contamination des exploitations par l'eau d'irrigation et les souillures, le rayonnement solaire, la récolte et les temps et températures de transport et de stockage.

Le modèle de risque développé a estimé les risques microbiologiques associés à E. coli O157:H7 dans la coriandre et déterminé les paramètres ayant le plus d'effet sur la concentration finale par portion pour les futures stratégies de réduction.

Les résultats ont montré une diminution similaire des concentrations de E. coli O157:H7 (valeurs médianes) le long de la chaîne d'approvisionnement pour la coriandre cultivée en hiver et en été. Avec une prévalence estimée à 0,1% de la contamination par E. coli O157: H7 pour la coriandre après la récolte utilisée à des fins d'illustration, le modèle prédit la probabilité de maladie de consommer de la coriandre fraîche comme très faible avec moins de deux cas de maladie pour chaque milliard de portions de coriandre (1,6 x 10-9; 95e percentile). Bien que rares, 3,7% et 1,6% des scénarios réalisés dans ce modèle pour la coriandre cultivée respectivement en été et en hiver, entraînent plus de 10 cas par an aux États-Unis.

Cela se reflète dans la vie réelle où les maladies liée à de la coriandre sont rarement observées mais où des épidémies se sont produites. L'analyse de sensibilité et les analyses de scénarios ont démontré que la garantie d'une eau d'irrigation propre et de haute qualité et la prévention des abus de température pendant le transport de la ferme à la distribution sont essentielles pour réduire le risque global de maladie.