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mardi 7 décembre 2021

Allergènes: La Food Standards Agency recherche des informations sur la mention 'peut contenir'

«La Food Standards Agency recherche des informations sur la mention 'peut contenir' sur les emballages alimentaires», source Food Standards Agency du 7 décembre 2021.

Consultation et série d'ateliers pour informer des prochaines étapes de la création d'un système d'étiquetage et d'information sur les allergènes à titre de précaution pour les entreprises et les consommateurs.

Des études récentes de la FSA ont montré que les consommateurs hypersensibles aux aliments, les personnes souffrant d'allergies alimentaires, d'intolérances ou de maladie cœliaque, apprécient les informations ou l'étiquetage de précaution sur les allergènes lorsqu'ils les informent clairement d'un risque inévitable de contamination croisée allergène.

Mais les consommateurs peuvent également être déroutés par l'éventail de mises en garde sur l'étiquetage des aliments préemballés, tels que les barres chocolatées, les biscuits et autres produits vendus dans les supermarchés, où le libellé peut différer d'un produit à l'autre et il peut ne pas être clair de savoir quel est le risque.

Des études ont révélé que la majorité des entreprises alimentaires utilisent ces étiquetages pour essayer de protéger les consommateurs, mais ne savent pas quand et comment elles doivent le faire. Il est prouvé que les entreprises ont besoin de clarté sur les mesures qu'elles doivent prendre pour contrôler le risque de contamination croisée avce des allergènes, ce qui éclaire ensuite leur décision d'étiquetage.

Pour aider à développer nos travaux sur cette question, la FSA souhaite entendre les entreprises, les équipes alimentaires des collectivités locales, les professionnels de santé, les associations caritatives contre les allergies, les consommateurs et toute autre partie intéressée à travers une consultation et une série d'ateliers en ligne.

La FSA sollicite également des avis sur la fourniture d'informations de précaution sur les allergènes concernant les aliments non préemballés, tels que les repas servis dans les restaurants, où les informations de précaution peuvent être données verbalement, mais parfois ne sont pas fournies du tout.

La directrice des politiques de la Food Standards Agency , Rebecca Sudworth, a déclaré:

«Les consommateurs nous ont dit que l'incohérence dans la façon dont l'étiquetage et les informations de précaution sur les allergènes sont données peut entraîner un manque de confiance dans les étiquetages et les empêcher de profiter de certains aliments.

«Nous savons que les informations de précaution sur les allergènes sont difficiles pour les entreprises et les autorités locales chargées de faire respecter la loi, et nous sommes très désireux de les entendre sur la façon de rendre la loi plus claire et plus facile à suivre.»

«Les réponses que nous obtenons aideront à éclairer nos prochaines étapes pour créer un système fonctionnel que les entreprises pourront mettre en pratique que les consommateurs comprennent et en qui ils font confiance.»

La consultation sur l'information de précaution sur les allergènes s'ouvre le 6 décembre et se poursuit jusqu'au 14 mars 2022, et la FSA recueillera également les avis des entreprises, des équipes alimentaires des collectivités locales chargées de l'application de la loi, des organismes de l'industrie et des consommateurs à travers une série d'ateliers approfondis.

Vous pouvez vous impliquer en partageant votre point de vue ici, Precautionary Allergen Labelling (PAL): The ‘may contain’ Consultation | Food Standards Agency.


Aux lecteurs du blog
Grâce à la revue PROCESS Alimentaire, vous n'avez plus accès aux 10 052 articles initialement publiés par mes soins de 2009 à 2017 sur le lien suivanthttp://amgar.blog.processalimentaire.com/. Triste histoire de sous ...

lundi 4 octobre 2021

A quoi servent les consultations sur les évaluations scientifiques du glyphosate ? Apparement à rien selon la ministre de l'écologie en France !

On sait par un communiqué du 26 septembre 2021, «L'EFSA et l'ECHA lancent des consultations sur le glyphosate».

L'EFSA et l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) ont entamé des consultations en parallèle sur les évaluations scientifiques initiales du glyphosate. Les consultations dureront 60 jours et toutes les parties intéressées sont encouragées à y contribuer.

Lors des consultations parallèles, l’EFSA recueillera des commentaires sur le rapport d'évaluation portant sur le renouvellement du glyphosate. La consultation de l'ECHA portera quant à elle sur le rapport relatif à la classification harmonisée et à l’étiquetage du glyphosate.

Les évaluations scientifiques initiales faisant l’objet d'une consultation ont toutes deux été préparées par le Groupe d'évaluation sur le glyphosate (GEG), composé des autorités nationales compétentes en France, en Hongrie, aux Pays-Bas et en Suède.

Faut-il vraimment apporter son commentaire à cette évaluation du glyphosate, quand on sait que celle qui entend aussi devenir ministre de l’agriculture nous dit que la France s’y opposera. Très étonnante et inquiétante cette personne qui n’écoute pas ce que dit la Science ?

Avis aux lecteurs du blog
L’ancien site Internet du blog qui était hébergé par la revue PROCESS Alimentaire n'est plus opérationnel avec ce lien https://amgar.blog.processalimentaire.com/ 

dimanche 8 novembre 2020

Consultation au Canada à propos de la présence de Listeria monocytogenes dans les aliments prêts à consommer

Nous sollicitons des commentaires afin d'éclairer la révision périodique de la «Politique sur la présence de Listeria monocytogenes dans les aliments prêts-à-manger » (2011) de Santé Canada.
Dans le cadre du processus de révision, Santé Canada examinera les dernières données scientifiques et l'évolution de l'environnement alimentaire canadien. Santé Canada cherchera également à fournir des orientations claires à l'industrie et aux autorités réglementaires.
Nous sollicitons des commentaires afin d'éclairer la révision périodique de la « Politique sur la présence de Listeria monocytogenes dans les aliments prêts-à-manger » (2011) de Santé Canada. Dans le cadre du processus de révision, Santé Canada examinera les dernières données scientifiques et l'évolution de l'environnement alimentaire canadien. Santé Canada cherchera également à fournir des orientations claires à l'industrie et aux autorités réglementaires.
Utilisez l'outil « questionnaire » pour répondre aux questions et soumettre vos commentaires.
Prochaines étapes
À la suite de cette consultation, les réponses seront regroupées et analysées par thèmes. Un résumé de la consultation sera publié.
A suivre ... 

Mise à jour du 10 novembre 2020. En Europe, aussi, ça bouge comme en témoigne cet article de Food Holland du 9 novembre 2020,
Lutter contre l'absence de Listeria dans les aliments transformés. Les éclosions récentes et les nouvelles techniques d'analyse bousculent les critères européens ...

vendredi 6 novembre 2020

Les similis produits de viande et de volaille: Le Canada lance une consultation

Alors que selon Le Figaro.fr, « Les eurodéputés valident les «burgers» végétariens mais pas les yaourts végétaux ». Les États pourront choisir eux-mêmes la dénomination des produits imitant la texture de la viande.

C'est vraiment consternant ce que fait cette Europe-là, ont-ils les yeux en face des trous ?

Par ailleurs, « Le gouvernement du Canada lance une consultation sur les lignes directrices pour les similis produits de viande et de volaille », source communiqué de presse de ll'Agence canadienne d’inspection des aliments du 3 novembre 2020.

À mesure que croît l'industrie canadienne des aliments à base de plantes, le gouvernement du Canada s'efforce d'apporter plus de clarté à l'industrie et aux consommateurs sur les règlements qui s'appliquent à ces produits.

L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) entreprend aujourd'hui une consultation sur les mises à jour proposées aux lignes directrices à l'intention de l'industrie sur les similis produits de viande et de volaille et certains aliments protéinés d'origine végétale, et encourage l'industrie et les consommateurs à faire connaître leur point de vue d'ici le 3 décembre 2020.

Les lignes directrices actuelles de l'ACIA sur les similis produits de viande et de volaille s'appliquent aux produits qui sont fabriqués pour ressembler à des produits de viande ou de volaille. Les hambourgeois à base de plantes qui ressemblent à un hambourgeois de bœuf en utilisant des ingrédients qui simulent la couleur rouge ou l'effet de marbrure de la graisse de la viande d'origine animale en sont un exemple. L'Agence reconnaît également qu'il est nécessaire d'actualiser les lignes directrices pour inclure les produits alimentaires qui sont des protéines végétales qui ne sont pas destinées à ressembler ou à remplacer un produit à base de viande ou de volaille. Il s'agit par exemple de hambourgeois au tofu, de pains de lentilles ou de galettes de soja correctement identifiés.

Les mises à jour proposées des lignes directrices visent à clarifier ce qui constitue des similis produits de viande ou de volaille conformément au Règlement sur les aliments et drogues et au Règlement sur la salubrité des aliments au Canada. Les lignes directrices énoncent les règles relatives à l'étiquetage, à la publicité, à la composition et à l'enrichissement de ces produits. Des lignes directrices plus claires aideront l'industrie à mieux comprendre et à appliquer les exigences réglementaires.

En complétant le sondage en ligne, les consommateurs peuvent communiquer à l'ACIA leur connaissance de ces produits et indiquer quels renseignements sur l'étiquette sont importants pour eux. La perception qu'ont les consommateurs de ces aliments permettra de conseiller l'industrie sur la manière de mieux positionner ses produits de manière véridique et non trompeuse, comme l'exige la réglementation, et de fournir des informations qui aideront les consommateurs à prendre des décisions d'achat éclairées.

lundi 11 mai 2020

Evaluation du cadre réglementaire de l'UE pour l'irradiation des aliments



Objectif de la consultation
L’irradiation des denrées alimentaires est un processus décontaminant pouvant être utilisé pour tuer les bactéries pathogènes qui provoquent des intoxications alimentaires, telles que les salmonelles ou Campylobacter.

L'irradiation des aliments ne peut pas remplacer une manipulation appropriée des aliments et les aliments irradiés nécessitent toujours une réfrigération appropriée et doivent être cuits avant d'être consommés si nécessaire
peut également retarder la maturation des fruits et empêcher la germination des légumes tels que les pommes de terre et les oignons. 

La présente consultation publique vise à recueillir des informations factuelles, des points de vue, des avis et des expériences sur l’application de la législation de l’UE en matière d’irradiation des denrées et ingrédients alimentaires. La Commission utilisera les informations recueillies au moyen de cette consultation publique, ainsi que d’autres données, pour évaluer le cadre réglementaire de l’UE régissant l’irradiation des denrées alimentaires.

La date limite pour participer à cette consultation publique est le 6 juillet.  

dimanche 8 décembre 2019

L’EFSA ouvre une consultation publique sur l’ochratoxine A


Annonce : S’agissant de l’information à propos des rappels de produits alimentaires, pour le moment, il ne faut pas faire confiance à nos autorités sanitaires (Ministère de l’agriculture et DGCCRF). Ces deux entités ont fait et font toujours preuve d’une incroyable légèreté et d’un manque d’informations fiables vis-à-vis des consommateurs avec comme corollaire une absence de transparence en matière de sécurité des aliments.

L’EFSA ouvre une « Consultation publique sur l’ochratoxine A ».
L'EFSA sollicite l'avis des parties intéressées sur son avis scientifique concernant les risques pour la santé publique liés à la présence d'ochratoxine A (OTA) dans les aliments – une mycotoxine naturellement produite par des champignons tels que les espèces Penicillium et Aspergillus.
Consultation publique: avis scientifique sur les risques pour la santé publique liés à la présence d'ochratoxine A dans les aliments
La date limite pour la soumission des commentaires est le 24 janvier 2020.
L'OTA est présente dans divers aliments, notamment dans certaines céréales et produits céréaliers, viandes en conserve et fruits frais ou secs. Elle peut également être présente dans le lait maternel.
L'EFSA avait déjà évalué les risques pour la santé publique liés à l'OTA en 2006. Les experts avaient conclu que l'OTA pouvait s’accumuler dans les reins et qu’elle était particulièrement toxique pour cet organe. À hautes doses, l'OTA provoque également des tumeurs du rein chez le rat. L’EFSA avait établi une dose hebdomadaire tolérable (DHT) de 120 nanogrammes par kilogramme de poids corporel.
Depuis, davantage d'informations ont été rendues disponibles et elles suggèrent que l'OTA pourrait être génotoxique et carcinogène. Dans un cas comme celui-ci, les experts calculent une marge d'exposition (ME) pour les consommateurs.
D’une façon générale, plus la ME est élevée, plus faible est le niveau de préoccupation pour les consommateurs. La ME estimée pour l'OTA est inférieure à 10.000 dans la plupart des groupes de consommateurs, ce qui suggère un risque sanitaire possible.
Qu’est-ce que la marge d’exposition (ME) ?

La ME est un outil utilisé par les évaluateurs du risque pour caractériser les risques associés à l’exposition à des substances génotoxiques et cancérogènes susceptibles d’être présentes dans l’alimentation humaine et animale. La ME fournit une indication sur le degré de préoccupation sanitaire associé à la présence d’une substance dans les aliments mais elle ne quantifie pas le risque en soi.
La ME est un rapport entre deux facteurs : la dose à laquelle on observe un effet indésirable faible mais mesurable et le niveau d’exposition effectif à une substance donnée.


Des teneurs maximales pour l'ochratoxine A sont établies au niveau de l'UE pour les céréales non transformées, les fruits secs de la vigne, une variété de café et des grains de café, le vin et le jus de raisin allant de 0,5 à 10 µg / kg, mais il a récemment été trouvé à des niveaux élevés dans les aliments pour aucun niveau maximum n'est établi.

L'OTA est rapidement absorbé et distribué mais lentement éliminé et excrété conduisant à une accumulation potentielle dans le corps.

Au total, 72 350 mesures des concentrations d'OTA dans les aliments, soumises au cours des 10 dernières années par 29 pays européens et une association industrielle, ont été utilisées pour évaluer les expositions alimentaires. Près de la moitié des données provenaient d'Allemagne et des Pays-Bas.

Problèmes possibles de santé
Les concentrations moyennes les plus élevées d'OTA se trouvaient dans les catégories formule d'extrait végétal, arômes ou essences contenant des extraits de réglisse et de piment. Les principaux contributeurs à l'exposition alimentaire chronique étaient la viande, le fromage et les céréales en conserve ainsi que les produits à base de céréales. Les fruits secs et frais tels que les raisins, les figues et les dattes étaient importants pour certains des tout-petits et d’autres groupes d’enfants. La confiserie non chocolatée était une source importante d'exposition dans les pays où les bonbons à base de réglisse sont couramment consommés.

Les marges d'exposition (ME) calculées pour les effets non néoplasiques étaient supérieures à 200 dans la plupart des enquêtes alimentaires pour les consommateurs moyens et élevés, donc peu préoccupantes pour la santé. Cependant, ils étaient inférieurs à 200 dans les groupes d'âge des nourrissons, des tout-petits et des autres enfants, ce qui indique un éventuel problème de santé pour ces groupes.

Les ME calculées pour les effets néoplasiques dans la plupart des enquêtes étaient inférieures à 10 000 et indiquent un problème de santé possible pour certains groupes de consommateurs.

Le groupe scientifique CONTAM a formulé six recommandations, y compris la nécessité de disposer de plus de données sur l'OTA dans la pâte de fromage par rapport à la croûte de fromage, de même que d'autres études sur la séquence des événements au niveau de la cible cancérigène dans le rein et des enquêtes fiables et représentatives des niveaux dans le lait maternel humain.

jeudi 10 janvier 2019

Etrange pays que le Royaume-Uni, voilà qu'on demande via une consultation votre avis sur les nouvelles lignes directrices sur les rappels. Quid en France ?

En France, on peut toujours rêver ou râler à propos des rappels, rien ne change, mais ailleurs, on nous demande, Oh surprise, notre avis...

Ainsi, on nous demande de répondre à la question : « Dites-nous ce que vous pensez de nos nouvelles directives sur les rappels et les retraits ».

C'est la Food Standards Agency du Royaume-Uni qui pose cette question dans un document du 9 janvier 2019.

Nous demandons aux entreprises alimentaires, aux responsables de l'application de la loi et aux consommateurs de nous faire part de leurs commentaires sur notre nouveau 'Guide sur la traçabilité, les retraits et les rappels d'aliments dans l'industrie alimentaire britannique'.

Notre consultation est ouverte du 7 janvier au 4 février.

Ces lignes directrices définissent les rôles et les responsabilités des principales parties prenantes impliquées dans les retraits et rappels de la sécurité des aliments au Royaume-Uni. Il fournira des conseils sur les bonnes pratiques et aidera les entreprises alimentaires à se conformer aux exigences en matière de sécurité des aliments.
Les lignes directrices comprennent des conseils sur:
  • la traçabilité
  • prendre une décision de retirer ou de rappeler un aliment
  • les rôles et les responsabilités des personnes impliquées
  • comment planifier et gérer un retrait ou un rappel relatif à la sécurité des aliments
  • les principes clés pour informer efficacement les consommateurs d'un rappel d'aliments, y compris un modèle d'avis sur les point de vente à utiliser dans les magasins de vente au détail
Philip Randles, responsable des incidents et de la résilience à la Food Standards Agency, a déclaré:
« Ce guide a été créé pour les entreprises alimentaires, afin de les aider à effectuer des retraits et des rappels relatifs à la sécurité des aliments avec plus de facilité et d’efficacité. Il a été mis au point en partenariat avec des représentants de l’industrie alimentaire, des autorités de contrôle et des associations de consommateurs. Il s’agit d’un résultat clé de notre examen conjoint avec la Food Standards Scotland du système britannique actuel.
Nous serions heureux de recevoir vos commentaires. Les réponses que nous recevrons nous aideront à nous assurer que les lignes directrices soient bénéfiques et utiles aux entreprises en cas d’incident lié à la sécurité des aliments. »

En 2017, des recherches ont été menées pour comprendre les systèmes de retrait et de rappel d'aliments au Royaume-Uni. Cela comprenait certaines recommandations d'amélioration. La Food Standards Agency et la Food Standards Scotland, en partenariat avec les principales parties prenantes de l'industrie alimentaire, les autorités chargées de l'application des lois concernant les aliments, les organisations de consommateurs et les organisations professionnelles, ont fournies des recommandations, celles-ci comprennent le développement de lignes directrices afin de renforcer et d'améliorer l’efficacité et la résilience globales du système britannique de retrait et de rappel des produits alimentaires.

La réglementation, la science et la loi n'ont pas changé.

Les nouvelles lignes directrices a pour objectif :
  • clarifier les rôles et les responsabilités des principaux acteurs impliqués dans les retraits et les rappels relatifs à la sécurité sanitaire des aliments
  • fournir des conseils sur les meilleures pratiques pour aider les entreprises du secteur alimentaire à rendre les notifications de rappel aux consommateurs plus cohérentes et plus accessibles
  • aider l'industrie à rendre les communications commerciales cohérentes et efficaces
  • élaborer et mettre en œuvre des procédures systématiques d'analyse des causes premières pour l'industrie en cas d'incidents liés à la sécurité des aliments

Les lignes directrices ont été élaborées en utilisant une approche de groupe de travail multiparties. Nous avons déterminé qu'une consultation de quatre semaines est proportionnée pour obtenir un point de vue plus large des parties prenantes.
Nous aimerions connaître le point de vue des parties prenantes sur cette nouvelle orientation.

Bon, qu'est-ce qu'on attend pour oser entreprendre cela en France, il est vrai que demander l'avis aux gens ne fait pas trop en France, et parfois, c'est même utiliser pour faire l'inverse … alors espérons que cela évoluera un jour ...