jeudi 16 novembre 2023

France : Un journal rapporte la fable des animaux «gavés d'antibiotiques pour la rentabilité»

mercredi 15 novembre 2023

Intoxication alimentaire mortelle dans un Ehpad d'Ille-et-Vilaine : des «seuils anormaux» de bactéries détectés dans les plats servis

Dans la série, ce n’est pas une probable intoxication alimentaire, voire une suspicion d’intoxication alimentaire, voici «Quatre morts dans un EHPAD breton: des «seuils anormaux» de bactéries détectés dans les plats servis», source La Charente Libre du 15 novembre 2023.

Des «seuils anormaux» de deux bactéries ont été retrouvés dans des plats servis dans un Ehpad de Pleine-Fougères (Ille-et-Vilaine) où quatre résidents sont morts vraisemblablement des suites d’une intoxication alimentaire intervenue fin octobre, a annoncé ce mercredi le parquet de Saint-Malo.

«[…] Saisie par voie de réquisition par le procureur de la République dans le cadre de l’enquête préliminaire en cours, la Direction départementale de la protection des populations a communiqué son rapport suite à l’inspection qu’elle a réalisée», a indiqué le procureur de la République de Saint-Malo Fabrice Tremel dans un communiqué. «Ce rapport conclut à des non-conformités et notamment à la contamination de plusieurs plats en raison de la présence de seuils anormaux de deux bactéries. Ces résultats ont été obtenus suite à des analyses effectuées sur des prélèvements réalisés sur des plats témoins au sein de l’Ehpad», a ajouté le magistrat, précisant que les investigations se poursuivaient.

Dans un autre communiqué, le magistrat avait évoqué une probable «intoxication alimentaire», ayant atteint quarante résidents et un personnel de l’établissement dans la nuit du 30 au 31 octobre. Dans un communiqué datant du 10 novembre, la direction de l’Ehpad Les Marais disait vivre «dans la tourmente du deuil et des cellules de crise». «Depuis mai 2020, la Résidence Les Marais fait appel au prestataire Medirest - Compass pour les repas. En date du 31 octobre 2023, plusieurs résidents ont été victimes de symptômes digestifs très violents», a indiqué l’Ehpad.

mardi 14 novembre 2023

Encore un rappel 'oublié par RappelConso ?

Le site Internet de Carrefour rapporte le rappel suivant :

La société Choucrouterie Meyer Wagner procède à un retrait de la vente et à un rappel de «La Choucroute cuisinée» barquette 600g de marque Les saveurs d’Alsace, suite à la mise en évidence de corps étranger en plastique mou bleu.

Il est donc recommandé aux personnes qui détiendraient ces produits appartenant au lot décrit ci-dessus de ne pas les consommer et de les détruire, ou de demander le remboursement auprès du point de vente.
DLC : 02/12/2023 N° lot : WA18 0809

Le courrier reçu par Carrefour est daté du 13 novembre 2023.

Inquiétude, car on est sans nouvelle de RappelConso au 14 novembre 2023

Dans un précédent article, je vous narrais le retard de RappelConso qui a diffusé l’information le 14 novembre 2023 concernant des steaks hachés surgelés halal 15% MG 10X80g Carrefour Sensation, initialement rappelés le 11 novembre 2023.

Voici pourquoi il peut y avoir un oubli momentané jusqu’à un retard important. Selon un article de Que Choisir, le fonctionnement de RappelConso serait le suivant :

«les professionnels doivent déclarer le rappel d’un produit dès sa mise en œuvre. Ensuite la demande de publication est validée par le service déconcentré en charge du rappel dès sa mise en œuvre. Ensuite la demande de publication est validée par le service déconcentrée en charge du rappel et le délai de publication est censé être très rapide, de quelques heures à quelques jours.»

Ce qui peut vouloir signifier que l'on aura une réponse de RappelConso peut-être demain ou alors après-demain ...

Complément

Pas de nouvelles du rappel le 14, ni le 15 novembre 2023, peut-être le 16, qui sait ?
Complément bis
Le 16 novembre 2023, pas d'information de RappelConso. On attendra donc un jour de plus, le 17 peut-être ...
Le 17 novembre semble être finalement le bon jour pour ce rappel ... il a simplement fallu attendre quatre jours !

Les agriculteurs du Tarn nous rappellent qu'en France «On marche sur la tête» !

On le savait que parfois, voire souvent, nos élites marchent sur la tête, pour reprendre cette expression très parlante ...

Mais voilà que selon des agriculteurs du Tarn qui manifestent, «On marche sur la tête».

Quelques centaines d’agriculteurs du Tarn ont dénoncé dans les rues d’Albi la taxation du gazole agricole (GNR), les retards de paiement des aides européennes, et plus généralement les normes et contraintes imposées au monde agricole.

«Il y a un mal-être dans les campagnes, un ras-le-bol général. Est-ce qu’on veut encore de nos agriculteurs en France ? Les enfants ne reprennent plus les exploitations, c’est beaucoup de travail et on a du mal à sortir un salaire», explique à l’AFP Lionel Aussenac, 34 ans, à la tête d’une exploitation de 50 vaches laitières à Castres (Tarn). Également secrétaire général du syndicat JA du Tarn, il s’inquiète notamment des effets de la taxation du GNR sur «les trésoreries précaires» des éleveurs, vignerons et céréaliers du département.

«Déjà qu’on ne s’y retrouve pas, si on nous rajoute des taxes et normes, des formations pour appliquer les normes, de la paperasse, on ne va pas y arriver. Et pendant ce temps, on importe des denrées qui ne respectent pas les normes qu’on nous exige en France», dénonce l’éleveur. Source article de La France Agricole


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Un tiers des Américains pensent qu'ils n'ont pas besoin de se faire vacciner contre la grippe et le COVID-19, selon un sondage

Alors que l'activité grippale aux États-Unis augmente dans la plupart des régions, en particulier dans le Sud, «Un sondage montre qu'un tiers des Américains pensent qu'ils n'ont pas besoin de vaccins contre la grippe et le COVID-19», source article de Stéphanie Soucheray paru le 13 novembre 2023 dans CIDRAP News.

Un tiers des Américains interrogés dans le cadre d'un nouveau sondage mené par des chercheurs de l'État de l'Ohio ont déclaré qu'ils ne pensaient pas avoir besoin de vaccins contre la grippe ou le COVID-19 cette saison, car ils ne se considèrent pas à haut risque de complications liées aux virus.

Le sondage a été menée du 20 au 23 octobre de cette année auprès d'un échantillon de 1 007 répondants. Le sondagea été menée via Internet (977) et par téléphone (30).

Quatre-vingt-sept pour cent des personnes interrogées ont déclaré qu'elles faisaient tout ce qu'elles pouvaient pour éviter de transmettre des maladies respiratoires à d'autres, mais les chercheurs affirment qu'un tiers des personnes interrogées ont déclaré que leurs décisions en matière de vaccination n'affectaient pas les autres.

Les vaccins contre la grippe et la COVID peuvent être administrés en même temps

La vaccination contre la grippe, le COVID-19 et le virus respiratoire syncytial (pour les personnes de plus de 60 ans ou celles enceintes de 32 à 36 semaines de septembre à janvier) est recommandée pour presque tous les Américains par le Centers for Disease Control and Prevention. Des études récentes ont montré que les vaccins contre la grippe et contre le COVID-19 peuvent être administrés en même temps sans effets secondaires indésirables.

De plus, une vaccination contre la pneumonie est recommandée pour les adultes âgés de 65 ans ou plus, ceux âgés de 5 à 64 ans qui présentent un risque accru de pneumonie en raison d'une maladie cardiaque ou pulmonaire chronique ou d'un système immunitaire affaibli, ainsi que pour les enfants de moins de 5 ans, ont indiqué les chercheurs.

Les vaccins réduisent la propagation communautaire du virus et peuvent réduire la gravité de la maladie.

«Les virus respiratoires peuvent provoquer des maladies très graves et bouleversantes chez certaines personnes, même chez les jeunes et en très bonne santé», a déclaré Megan Conroy, pneumologue et spécialiste des soins intensifs au Wexner Medical Center de l'Ohio State University, dans un communiqué de presse. sur les résultats du sondage.

Complément

Santé publique France publie «Comment évolue l’adhésion des Français aux mesures de prévention contre les virus de l’hiver ?»

Une intention de vaccination contre la grippe à la hausse et stable pour la COVID-19

Parmi les personnes éligibles à la nouvelle dose de vaccination contre la Covid-19, les intentions de se faire vacciner sont stables (74%) et en augmentation pour la vaccination antigrippale chez les personnes âgées de 65 ans et plus, par rapport à l’année dernière (69% en 2023 versus 61% en 2022).

Les participants à risque de formes graves de grippe en raison de leur âge ou de leurs facteurs de risques sont 49% à déclarer vouloir recevoir la vaccination antigrippale et contre la COVID-19.

Parmi les parents ayant un enfant âgé de 2 à 17 ans, seuls 13% d’entre eux déclarent avoir l’intention de faire vacciner leur enfant et 11% indiquent ne pas être informés que la vaccination était possible pour les enfants.

Une étude de la Food Standards Agency révèle l'ampleur des comportements à risque en matière de sécurité des aliments

«Une étude de la Food Standards Agency révèle l'ampleur des comportements à risque en matière de sécurité des aliments», source article de Joe Whitworth paru le 14 novembre 2023 dans Food Safety News.

Un projet commandé par la Food Standards Agency (FSA) a révélé de multiples exemples de pratiques à risque en matière de sécurité alimentaire dans les cuisines.

Avoir des informations sur ces comportements et les facteurs qui les influencent éclairera la prise de décision politique, les orientations et le travail d'évaluation des risques, a dit la FSA.

Kitchen Life 2 a utilisé des caméras pour observer les comportements en matière de sécurité alimentaire dans 70 ménages et 31 cuisines d'exploitants du secteur alimentaire en Angleterre, au Pays de Galles et en Irlande du Nord. Il a également collecté des données à l’aide d’enquêtes, d’entretiens et de thermomètres pour réfrigérateurs et congélateurs. Les résultats ont été répartis en sept rapports portant sur des domaines tels que le fait de ne pas se laver les mains avec du savon après avoir touché de la viande, la réutilisation d'une planche à découper après avoir préparé la viande, le stockage des aliments réfrigérés, le réchauffage des restes et les dates limites de consommation.

L'analyse a montré que le comportement est influencé par de nombreux facteurs, à la fois internes, tels que les croyances, les connaissances, les compétences et la motivation, et externes, comme les normes sociales, l'espace physique pour préparer un repas et le temps disponible.

Le comportement était souvent le résultat d’habitudes et de routines. Dans les ménages, il existait des lacunes dans les connaissances concernant l'utilisation d'aliments au-delà de leur date limite de consommation, leur réchauffage incorrect et leur conservation à des températures incorrectes. Même les participants qui savaient que les aliments ne devaient pas être consommés au-delà de la date limite de consommation le faisaient souvent. La facilité était souvent privilégiée par rapport aux bons comportements en matière d’hygiène alimentaire, principalement lorsque les bonnes pratiques prenaient plus de temps.

Constatations sur la viande et le poisson

Dans un échantillon de 70 ménages, 308 repas impliquaient la préparation de viande, de poisson ou de volaille crus et cuits. Quatre-vingts occasions impliquaient une personne ne se lavant pas les mains pendant au moins 45 secondes pendant la préparation du repas, et 136 occasions où une personne se lavait les mains sans savon. Dans les ménages, il était courant de toucher d’autres articles de cuisine lors de la préparation de viande, de poisson ou de volaille crus.

La fatigue et la distraction étaient des obstacles au lavage des mains avec du savon, tout comme les croyances quant aux conséquences limitées de ne pas le faire. Le lavage des mains durait généralement moins de 20 secondes.

Dans les entreprises, le fait de se laver les mains avec du savon après avoir touché de la viande, du poisson ou de la volaille crus était influencé par l'aménagement de la cuisine et l'accès à un évier, avec des barrières telles que l'occupation et le temps. D'autres habitudes incluaient l'essuyage des mains avec un torchon plutôt que le lavage des mains.

Dans la section sur les planches à découper, il y avait souvent un long intervalle de temps entre les ménages préparant la viande, le poisson ou la volaille et le lavage de la planche. Placer des objets tels que des ustensiles et des assiettes sur la planche sans qu'elle soit nettoyée était plus courant que de réutiliser la même planche pour des aliments comme les salades. Cela présente un risque de contamination croisée.

La réutilisation d'une planche à découper impropre utilisée pour préparer de la viande, du poisson ou de la volaille puis hacher d'autres aliments a été observée à 25 reprises dans des entreprises alimentaires et à 25 fois dans des maisons.

De nombreuses entreprises ont signalé que les planches à découper étaient lavées à haute température dans des lave-vaisselle, de sorte que le personnel n'avait pas besoin de les laver à la main. Le code couleur était familier, le rouge pour la viande et la volaille et le bleu pour le poisson. Il y avait des lacunes dans les connaissances sur la nécessité de nettoyer et de désinfecter les planches avant utilisation.

Dates limite de consommation et températures du réfrigérateur

Soixante-cinq ménages avaient installé un thermomètre pour réfrigérateur/congélateur au cours de l'étude, et chez 34 d'entre eux, la température moyenne du réfrigérateur mesurée était supérieure au maximum recommandé de 5°C. Huit avaient une température moyenne supérieure à 8°C.

Vingt-neuf entreprises alimentaires avaient installé un thermomètre pour réfrigérateur, et chez huit d'entre elles, la température moyenne était supérieure à la température maximale conseillée de 5+C. Sur un site, la température moyenne était supérieure au maximum légal de 8°C.

Lorsqu'on laisse la porte d'un réfrigérateur ouverte, le temps moyen dans les ménages était de 48 secondes, avec un maximum de 8 minutes et 26 secondes. Pour les entreprises, la moyenne était de 43 secondes et un maximum de 4 minutes et 50 secondes. Il s’agissait d’un comportement inconscient et habituel dont les participants n’étaient pas conscients. Interrogés lors des entretiens, les personnes interrogées ne pensaient pas avoir laissé les portes du réfrigérateur ouvertes pendant plus de 30 secondes.

Dans une enquête, 53 des 70 ménages participants ont déclaré avoir consommé des aliments après la date limite de consommation. De nombreuses personnes ne comprenaient pas la différence entre la date limite de consommation et la date de durabilité minimale.

Les principales raisons pour lesquelles les aliments ne sont pas vérifiés et consommés après leur date limite de consommation concernent un faible niveau de compréhension et de croyance quant à leur importance dans la pratique. Des indices sensoriels, tels que l’apparence, l’odeur et le goût, étaient couramment utilisés pour vérifier si les aliments pouvaient être consommés sans danger.

À certaines occasions, dans les entreprises, les chefs s'appuyaient sur l'apparence, l'odeur et le goût des aliments pour déterminer s'ils étaient sûrs pour servir les clients. Il y avait également une confusion entre la date limite de consommation et la date de durabilité minimale.

Le réchauffage des restes d’aliments a été observé dans 144 repas pour les ménages. Les facteurs déterminant si les ménages réchauffaient les restes de nourriture jusqu'à ce qu'ils soient chauds bouillants avaient différents niveaux de compréhension du fait que les restes contenaient des bactéries et les croyances sur les conséquences de la consommation d'aliments partiellement réchauffés.

Vérifier si le milieu était chaud était le comportement le plus revendiqué et était considéré comme une méthode efficace pour juger quand les aliments réchauffés étaient prêts à être consommés. Vérifier si de la chaleur en sortait a été signalé par moins de la moitié des ménages de l'échantillon.

Un domaine de confusion concernait la sécurité sanitaire de la consommation d'aliments froids par rapport à la nécessité de réchauffer les aliments jusqu'à ce qu'ils soient chauds bouillants ou bien cuits à cœur. Les restes peuvent être consommés froids s'ils ont été cuits et refroidis correctement, mais s'ils sont réchauffés, ils doivent être très chauds bouillants avant d'être consommés et pas seulement réchauffés, selon la FSA.

Et si l'on parlait des bassines ...

Hauts-de-France, agriculture sinistrée

Val d'Oise : Opération de contrôle sur le marché de Sarcelles

Nouvelle action du préfet 95 le 10 novembre 2023,
Sur 78 contrôles effectués :
- 300 kg de produits alimentaires détruits pour conservation inappropriée
- + de 1 500 produits, dont des produits biocides, saisis pour contrefaçons
- 500 produits cosmétiques et 100 jouets non conformes détruits
- 1 fermeture administrative
- 13 avertissements
- 7 procès verbaux
- 2 personnes en situation irrégulière 

Commentaires de quelques internautes

- Y a rien qui va dans ce département
- Le prefet, il lache pas le pressing
- Enfin un préfet qui est au service de sa population et pèse de tout son poids pour arrêter les criminels qui empoisonnent les gens avec leurs restaurants pas aux normes d'hygiène ! Continuez cette bataille M. Préfet 95 contre ces bandits. Bravo pour ce travail
- Ça va commencer à mieux vivre. Bonne initiative...
- Bonjour... je ne doute pas une seule minute de votre bonne volonté et vous félicite pour les opérations de contrôles effectuées ce matin sur les marchés... mais pouvez-vous également faire quelque chose concernant les différents "marchés" 2.0 svp ? merci 

Deux restaurants du centre-ville de Nice fermés après un contrôle d'hygiène

«Deux restaurants du centre-ville de Nice fermés après un contrôle d'hygiène», source Nice-Matin du 14 novembre 2023.

Deux établissements du centre-ville de Nice ont dû fermer vendredi après un contrôle d’hygiène.

Les 28°C relevés dans la sauce pour kebab ont conduit les agents municipaux du service de l’hygiène de réaliser d’autres relevés et prélèvements.

Ainsi, vendredi dernier, la cellule d’intervention mutualisée de la police municipale de Nice a opéré des contrôles en fin de journée. Deux établissements ont dû fermer leurs portes sur-le-champ, le Village Bleu, rue Lépante et la Rose des Sables, rue de Belgique. La décision leur a été notifiée lundi.

Problèmes de malpropreté, risques de contamination

Parmi les anomalies relevées, des problèmes de malpropreté, de conditions de stockage non conformes, de risque de contaminations croisées, etc.

Il faut savoir que lorsque des manquements liés à l’hygiène sont constatés, la durée de fermeture n’est pas imposée de facto. Le restaurant doit prouver qu’il a pris les mesures nécessaires. La réouverture peut donc être rapide.

En principe, ils doivent apposer sur la vitrine un document transmis par les services de la Ville sur lequel est simplement indiqué que «par arrêté (...), Monsieur le maire de la Ville de Nice a décidé la fermeture administrative de l’établissement (...) à compter du 10 novembre 2023 jusqu’à mise en conformité».

Commentaires

Sur la photo proposée par Nice-Matin, on voit un policier en survêtement faire une mesure de la température, mais il a des gants. Je pensais qu’une tenue plus adaptée était nécessaire ainsi que le port d’une coiffe, les inspections ont bien changé ...
Le terme de malpropreté a été inventé pour minimiser la saleté de certains lieux, il faut tout de même appeler les choses par leur nom, c'est plus clair !