[#MangerBouger] Pour prévenir les risques alimentaires, plusieurs bonnes pratiques existent pour bien conserver et stocker ses #aliments.
— SantépubliqueFrance (@SantePubliqueFr) August 2, 2023
➡️ Consultez le petit guide de la conservation des aliments et règles d’hygiène sur : https://t.co/QrD6PWDohC
«L'hygiène, avant la microbiologie, n'est hygiénique que dans ses intentions. C'est la science des apparences qui repose entre des mains d'aveugles : est sain ce qui est beau, bon, et ne sent pas mauvais.» Pierre Darmon, L'homme et les microbes, Fayard, 1999.
jeudi 3 août 2023
Petit guide de la conservation des aliments et des règles d’hygiène, selon Santé publique France
Nouveau numéro de Vigil'Anses de juillet 2023
📰 Le numéro de juillet 2023 du Vigil’Anses est sorti !
— Anses (@Anses_fr) July 31, 2023
Découvrez les sujets de ce trimestre, et rendez-vous sur le site pour lire les articles détaillés 👇 https://t.co/bc9FFonwOC pic.twitter.com/XyRAJOFJe4
L’Anses a analysé de 2017 à 2022 les accidents en lien avec l’utilisation de produits désinfectants biocides chez des jeunes enfants en collectivité suite à plusieurs signalements d’atteintes cutanées sévères. Ces accidents en augmentation durant la pandémie de Covid-19 ont majoritairement eu lieu dans les écoles maternelles lors de la désinfection de toilettes. Lesmodalités d’utilisation variables pour un même produit pouvaient être source d’erreur et l’étiquetage était parfois défaillant. Les conditions d’emploi prévues n’étaient pas toujours respectées. L’Anses émet des recommandations afin de réduire le risque d’accidents liés à l’utilisation de produits biocides désinfectants en collectivités.
Choses lues sur la sécurité des aliments, selon le Seismo Info de juillet 2023
Microbiologie
Le lait maternel - une voie potentielle de transmission du virus de l’encéphalite à tiques (TBEV) : si les piqûres de tiques constituent le principal mode de transmission du TBEV, de nouvelles données suggèrent que le lait maternel pourrait transmettre le virus d’une mère infectée à son nourrisson. Un article de revue publié récemment donne un aperçu des connaissances actuelles sur la transmission du virus par le lait maternel. Cureus, 6 pages. (09.07.2023).
Trouver le juste milieu entre la durabilité et l’hygiène : diverses actions peuvent contribuer à rendre les procédures d’assainissement plus durables. Dans cet article, les auteurs examinent l’efficacité, les difficultés de mise en œuvre et les conséquences pour le produit final d’un certain nombre de ces actions. En substance, les résultats et les principes de ces actions sont universellement applicables à l’ensemble de l’industrie alimentaire. FoodSafetyMag, 8 pages. (12.06.2023).
Rôles des bactéries dans l’initiation, la promotion et la progression des cancers : seuls quelques microorganismes ont été identifiés comme étant directement à l’origine du développement d’une tumeur ou comme étant capable de déjouer la surveillance du système immunitaire et de créer un milieu favorable à la tumeur. Les rôles des bactéries dans les tumeurs malignes et les cancers du tractus gastro-intestinal ont été décrits dans une revue qui présente l’évolution de la compréhension de ces mécanismes. Nat. Rev. Cancer, 10 pages. (03.07.2023).
Le choléra revient-il en Sardaigne ? Un cas de choléra est survenu en Sardaigne. La maladie avait disparu de l’île depuis 50 ans. Le service d’hygiène publique a signalé un cas chez un retraité de 71 ans. Le vecteur possible de l’infection est probablement la consommation de fruits de mer. L’ECDC considère qu’il s’agit d’un cas sporadique de la maladie provoqué par des vibrions non cholériques. Donna, 2 pages. (11.07.2023). Informations complémentaires : Italy 24 News.
Chimie
Des ingrédients protéiques d’origine végétale contaminés par de l’acrylamide : une étude récente menée par des chercheurs de l’Université de Bari Aldo Moro (Italie) a soulevé de l’inquiétude en raison de la présence d’acrylamide dans des ingrédients protéiques d’origine végétale disponibles dans le commerce. L’étude a révélé une variabilité significative de la teneur en acrylamide dans ces ingrédients produits par différentes technologies de transformation. Affidia, 2 pages. (23.06.2023). Publication originale : Foods.
Récipients à aliments à emporter en pulpe de canne à sucre et microparticules : une étude a porté sur des simulateurs d’aliments aqueux, acides et gras, afin d’analyser la migration des microparticules provenant du récipient à aliments à emporter en pulpe de canne à sucre. Les résultats ont montré que les aliments acides provoquaient la dégradation des fibres de canne à sucre et constituaient les aliments qui libéraient le plus grand nombre de microparticules. Foods, 10 pages. (27.06.2023).
Des niveaux élevés de PFAS dans les populations du Groenland : l’étude a montré que, bien qu’ils vivent loin des sources de contamination par les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS), 92 % des habitants d’Ittoqqortoormiit ont dans leur organisme une quantité de PFAS bien supérieure à celle recommandée par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) pour éviter les dommages au système immunitaire. EurekAlert!, 5 pages. (12.07.2023). Publication originale : Lancet Planetary Health.
Un nouveau rapport révèle que la plupart des échantillons de chou frisé aux États-Unis contiennent des PFAS : les tests ont porté sur des choux frisés conventionnels et biologiques achetés dans des épiceries à travers le pays, et ont été réalisés après que des analyses de la FDA menées entre 2019 et 2021 ont conclu à l’absence de contamination par les PFAS. Sept des huit échantillons de choux frisés américains récemment analysés contenaient des niveaux élevés de ces composés toxiques. The Guardian, 5 pages. (30.06.2023). Publication originale : ANH.
Suisse - un échantillon d’eau du robinet sur deux est contaminé par des PFAS : une étude menée dans toutes les régions de Suisse montre que près d’un échantillon d’eau potable sur deux contient des PFAS. Le magazine de consommateurs suisse-allemand « K-Tipp » a analysé près de 1000 échantillons d’eau potable provenant de toutes les régions de Suisse. Sur les 872 échantillons analysés, 400 étaient contaminés. 20Min, 2 pages. (21.06.2023). Publication originale : K-Tipp.
La moitié de l’eau du robinet aux États-Unis est contaminée par des PFAS : une étude nationale menée par l’Institut des études géologiques (USGS) a révélé que près de la moitié de l’eau du robinet aux États-Unis est contaminée par des PFAS, également connues sous le nom de produits chimiques éternels. L’exposition alimentaire aux PFAS est une question de plus en plus préoccupante en raison du nombre croissant de preuves concernant la nocivité de ces substances chimiques pour la santé humaine. FoodSafetyMag, 3 pages. (11.07.2023). Publication originale : Environ Int.
La FDA fait le point sur les travaux de réévaluation de la sécurité chimique : suite à l’annonce d’un nouveau cadre pour la réévaluation systématique des produits chimiques utilisés dans l’alimentation après leur mise sur le marché, la FDA a publié un inventaire public de certains ingrédients et additifs alimentaires dont l’utilisation dans les aliments est jugée dangereuse, parce qu’ils ne sont pas autorisés, ainsi que des listes de certains produits chimiques qui font actuellement l’objet d’un examen de la part de l’agence. FoodSafetyMag, 4 pages. (12.07.2023). Publication originale : FDA.
Nutrition
Quand les étiquettes « faible teneur en matières grasses » font plus de mal que de bien : selon une étude réalisée en Allemagne, lorsque les fabricants annoncent que leurs produits sont «allégés en matières grasses», de nombreux consommateurs supposent qu’ils contiennent également moins de sucre, même si la teneur réelle en sucre de nombreux produits allégés diffère peu de celle d’autres produits. Food Navigator, 2 pages. (28.06.2023). Publication originale : Food Qual. Prefer.
Allergies
Aliments et compléments alimentaires contenant du soja : de plus en plus de personnes adoptent un régime alimentaire à base de plantes. Celui-ci repose en partie sur des substituts de viande ou de lait à base de soja. Pour le Bundesinstitut für Risikobewertung (BfR) allemand, ce régime alimentaire présente des risques pour la santé pour certains groupes de population en raison de sa teneur en isoflavones et autres substances semblables à des hormones, ainsi que de son potentiel allergénique. BfR, 10 pages. (28.06.2023).
mercredi 2 août 2023
A propos des contrôles renforcés en juillet dans le Pas-de-Calais
ℹ️ Afin d'assurer la protection des consommateurs pendant l'été, la Direction Départementale de Protection des Populations (#DDPP) du #PasDeCalais renforce les contrôles durant la période estivale dans plusieurs secteurs clés.
— Préfet Pas-de-Calais 🇫🇷🇪🇺 (@Prefet62) August 1, 2023
Pour ➕ d'informations : https://t.co/dH4ZI03dja pic.twitter.com/7JSEbdjrBG
La DDPP renforce les contrôles durant la période estivale.
Quelques chiffres :
Commentaire
Dix personnes intoxiquées par des champignons dans la Marne
Alors qu’on déplore chaque année en France environ un millier d’intoxications et des décès dus à la consommation de champignons sauvages, l’Anses, les Centres antipoison et la Direction Générale de la Santé rappellent qu’il faut :
- Au moindre doute sur l’identification d’un des champignons récoltés, ne pas consommer la récolte avant de l’avoir faite contrôler par un spécialiste en la matière : pharmacien ou association de mycologie.
- Ne jamais donner à manger les champignons que vous avez cueillis à de jeunes enfants.
- Ne pas consommer de champignons identifiés au moyen d’une application de reconnaissance de champignons sur smartphone, en raison du risque élevé d’erreur.
France info relaie le 2 août cette information, «Dix personnes intoxiquées par des champignons dans la Marne».
Les pompiers sont intervenus mardi 1ᵉʳ août 2023 vers 23h à Vernancourt, dans l'est du département de la Marne, pour venir au secours de dix personnes qui avaient consommé des champignons et qui étaient victimes d'une intoxication alimentaire collective.
On ne connaît pas pour l'instant le type précis de champignons concerné. Mais l'intoxication a été suffisamment sérieuse pour que ces personnes, considérées comme étant en urgence relative, soient transportées à l'hôpital. Elles ont été réparties dans plusieurs centres hospitaliers : celui de Bar-le-Duc (Meuse), Saint-Dizier (Haute-Marne) et Châlons-en-Champagne (Marne).
L'intervention a mobilisé 11 véhicules de pompiers et un du Service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR). Les centres de secours de Vitry, Vanault, Sermaize, Châlons, La Chaussée, Bar-le-Duc, Saint-Dizier et Revigny-sur-Ornain ont été mobilisés sur cette intervention.
Sur toute l'année 2021, 1 340 intoxications accidentelles par des champignons ont été enregistrées par les centres antipoison, comme l'indique l'Anses dans un rapport publié en juillet 2022. Sur ces 1 340 intoxications, seules 41 ont été qualifiées de cas graves. Quatre décès ont été enregistrés. Le pic d'intoxication intervient habituellement au mois d'octobre, souvent propice aux cueillettes.
Complément
Mise à jour du 7 août 2023
🍄 La météo pluvieuse du mois d’août dans plusieurs régions de France a favorisé la pousse des #champignons.
— Anses (@Anses_fr) August 31, 2023
Plus de 250 cas d’intoxications ont déjà été signalés aux Centres antipoison, soit 2 fois plus qu’en 2022.
Nos conseils pour la cueillette 👇https://t.co/GzlyVcys16
Une étude expérimentale suggère que les punaises de lit pourraient être un vecteur de propagation de Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline
L’agence indique aussi «... si les punaises ne transmettent pas de maladie, leur présence peut avoir des effets psychologiques et impacter le bien-être des personnes victimes d’infestation à leur domicile.»
Les punaises de lit peuvent avoir un autre impact selon une étude récente.
En effet, «Une étude expérimentale suggère que les punaises de lit pourraient être un vecteur de propagation de Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline», source article de Chris Dall paru le 1er août 2023 dans CIDRAP News.
Les résultats d'une étude expérimentale suggèrent que les punaises de lit pourraient acquérir et transmettre Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM), ont rapporté des chercheurs dans le Journal of Infectious Diseases.
Dans l'étude, des chercheurs de l'Université du Dakota du Sud ont développé une conception expérimentale qui utilisait une membrane de collagène contaminée par le SARM pour imiter le processus d'alimentation du sang d'une punaise de lit à travers la peau d'un hôte colonisé par le SARM. Ils ont ensuite mené trois essais au cours desquels des groupes de 30 punaises de lit ont été autorisés à se nourrir de sang stérile à travers la membrane contaminée jusqu'à ce qu'ils soient complètement engorgés et ont été analysés pour déterminer la quantité de SARM viable présente sur leur corps et en interne pendant 7 jours.
L'analyse de 12 punaises de lit aux jours 0, 3 et 7 après l'exposition a révélé que toutes avaient contracté le SARM sur leur corps et à l'intérieur, avec des preuves provenant d'échantillons de sang indiquant une prolifération de SARM dans les punaises de lit après ingestion. Le SARM est resté viable sur la surface de la punaise de lit jusqu'à 3 jours après l'exposition dans deux des trois essais et jusqu'à 7 jours dans l'un des trois essais, et dans le sang jusqu'à 3 jours après l'exposition dans les trois essais et 7 jours dans l'un des trois essais.
Preuve de transmission
Les auteurs de l'étude notent que si des études antérieures ont décrit l'isolement du SARM des punaises de lit, les preuves de leur rôle potentiel dans la transmission font défaut.
«Ces résultats ne prouvent pas que les punaises de lit sont des vecteurs pertinents du SARM dans la nature», ont écrit les auteurs de l'étude. «Cependant, lorsqu'ils sont considérés conjointement [avec] la détection de SARM dans les punaises de lit collectées sur le terrain et les rapports cliniques associant les punaises de lit à des infections à Staphylococcus, ils étayent l'hypothèse selon laquelle les punaises de lit peuvent contribuer à la transmission du SARM dans certains contextes.»
NB : Image du Center for Invasive Species Research / Flickr cc.
Débordement de stations d’épuration et plages fermées sur la côte normande, norovirus inside ?
Deauville, Trouville, Houlgate... baignade interdite sur les plages après le débordement d’une station d’épuration ... et c'est comme ça depuis des dizaines d'années mais vu les risques sanitaires ENORMES les préfectures ne peuvent plus le cacher 😡😡😡https://t.co/IFjV32grVw
— DENISE Laurent (@DENISELaurent18) August 2, 2023
Un bypass est un circuit d'évitement pour contourner un appareil, une installation ou tout autre dispositif, et donc capable de bypasser. Voir ci-dessous.
Avec les fortes pluies de cette nuit, la station d’epuration de Caen a dû bypasser 2.000 m3 d’eaux usées, dans l’Orne. Dans l’attente de nouvelles analyses et jusqu’à nouvel ordre, baignades, activités nautiques et pêche à pieds sont interdites sur le littoral de @MervilleFrPlage pic.twitter.com/h6uHitEQ6h
— Merville-Franceville (@MervilleFrPlage) August 1, 2023
A propos d'une intoxication alimentaire suivie d'une inspection sanitaire en Inde
Des non-conformités flagrantes ont été constatées dans un restaurant populaire de chettinad à Thyagaraya Nagar, Chennai. Après que six personnes se soient plaintes d'une intoxication alimentaire, la police locale a alerté les autorités de sécurité des aliments, qui ont effectué une inspection au restaurant.
Au cours de l'inspection, les responsables ont découvert un couvercle en plastique à l'intérieur d'un récipient de sambar ainsi que 10 kg de viande rassis à l'intérieur d'une boîte de congélation. Les autorités ont annulé la licence du restaurant et un avis d'arrêt de vente a également été émis.
During the inspection, officials discovered a plastic cover inside a sambar vessel and also 10 kg of stale meat inside a freezer box. The authorities have cancelled the restaurant's license, and a stop-sale notice has also been issued. (2/2) #Chennai #Foodsafety pic.twitter.com/MAj1AMCDix
— Janardhan Koushik (@koushiktweets) July 31, 2023
Royaume-Uni : Un type rare de E. coli à l'origine d'une épidémie mortelle, 24 personnes malades
Une personne est décédée dans une épidémie à E. coli faisant l'objet d'une investigation par les autorités sanitaires du Royaume-Uni.
La Food Standards Agency (FSA) et la UK Health Security Agency (UK HSA) tentent de trouver la source de l'épidémie en cours à E. coli producteurs de shigatoxines (STEC) O183 avec l'aide d'autres agences de santé publique.
Il y a 24 cas au Royaume-Uni, dont 19 en Angleterre, deux en Irlande du Nord et en Écosse, et un au Pays de Galles depuis mai. Pour les patients dont les informations sont disponibles, les dates d'apparition vont du 23 mai au 2 juillet.
La recherche de la source est en cours.
Une douzaine de patients sont des hommes et 12 sont des femmes. Les âges vont de moins de 1 à 74 ans ; le groupe d'âge le plus touché est celui des enfants de neuf ans et moins.
Des investigations épidémiologiques sont en cours, mais sur la base des travaux initiaux, il n'existe aucun véhicule alimentaire d'infection qui ressort. D'après des entretiens avec des patients, six personnes malades ont déclaré avoir consommé du fromage à pâte dure dans un format râpé. Des fraises, des concombres, des poivrons et de la pastèque ont également été mentionnés.
Amy Douglas, directrice des incidents de l'UKHSA, a déclaré : «L'UKHSA a identifié une épidémie d'une forme rare de STEC, la plupart des cas étant observés chez des enfants. La source de l'épidémie n'a pas encore été identifiée, mais nous travaillons avec des partenaires, y compris la Food Standards Agency, pour enquêter.»
«Se laver soigneusement les mains avec de l'eau et du savon et s'assurer d'aider les jeunes enfants à se laver les mains est le meilleur moyen d'empêcher la propagation du microbe. Les enfants de moins de cinq ans ne doivent pas fréquenter l'école, la crèche, la garderie collective tant qu'ils sont malades ou qu’ils ont de la diarrhée pendant deux jours. Les visites dans les hôpitaux ou les centres de santé doivent être évitées si vous ne vous sentez pas bien.»
Une personne a développé le syndrome hémolytique et urémique (SHU) et un décès est lié à l'épidémie, bien qu'il ne soit pas clair si la personne est décédée à cause ou en raison du STEC. Le SHU est une complication grave associée aux infections à E. coli qui provoque une insuffisance rénale.
E. coli O183 est un sérotype extrêmement rare, avec seulement 15 cas au Royaume-Uni depuis 2016. La transmission peut se produire par contact direct ou indirect avec des animaux ou leur environnement, par la consommation d'aliments ou d'eau contaminés et par la propagation de personne à personne.
E. coli lié à un lieu d'attraction
Hobbledown à Epsom, dans le Surrey, a temporairement fermé après des cas d’infection à E. coli chez des personnes qui avaient récemment visité le parc, qui compte également un certain nombre d'animaux.
Nick de Candole, le propriétaire de l'entreprise, a déclaré: «Nous sommes en contact étroit avec l'équipe de santé environnementale du conseil de district d'Epsom et d'Ewell et la UK HSA et nous coopérons pleinement avec les deux dans leurs investigations respectives. J'ai écrit à tous ceux qui se sont rendus entre le 11 et le 27 juillet pour les informer de la situation et j'ai inclus une lettre de la UK HSA avec des informations et des conseils supplémentaires. Je peux assurer à tout le monde que le bien-être des visiteurs de Hobbledown est notre priorité absolue, et nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour assurer la sécurité sanitaire des clients.»
Principes d'un programme de surveillance environnementale pour la gestion de Listeria monocytogenes
Ces lignes directrces définissent une gestion efficace de l'hygiène environnementale à l'aide de la surveillance et des actions préventives et correctives et expliquent comment interpréter ces données et les relier à d'autres résultats provenant des matières premières, des composants et du produit. Cela donne des détails indispensables pour soutenir les bonnes pratiques d'hygiène, en particulier pour les PME et pour l'application non seulement par les autorités compétentes mais aussi commercialement, par les opérateurs du secteur alimentaire qui achètent des ingrédients prêts à consommer auprès de fournisseurs et pour les clients du produit fini en distribution.