mercredi 22 novembre 2023

Les arômes de fumée peuvent contenir des substances dangereuses pour la santé

Comme je n’ai pas bien compris l’avis de l’EFSA sur les arômes de fumées, qui est devenu désormais, Arômes de fumée : Questions et réponses avec Wim Mennes, président du groupe de travail de l'EFSA sur les substances aromatisantes, je vous livre une version selon le BfR.

«Les arômes de fumée peuvent contenir des substances dangereuses pour la santé. Réévaluation par l'Autorité européenne d'évaluation de la sécurité des aliments (EFSA) avec une nouvelle notation», source BfR.

L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a effectué une nouvelle évaluation de la sécurité sanitaire de huit produits primaires pour la production d'arômes de fumée. Cette évaluation était nécessaire car les fabricants ont demandé une prolongation de dix ans de l'autorisation, qui expire le 1er janvier 2024, dans l'UE. Ce faisant, l'EFSA a pris en compte les dernières découvertes scientifiques et les critères d'évaluation actuels. De leur côté, les fabricants sont tenus de fournir des données d'essais à jour sur ces produits primaires. L'EFSA est désormais parvenue à une nouvelle évaluation de la sécurité sanitaire.

Des substances génotoxiques (capacité d'une substance chimique à endommager le matériel génétique des cellules) ont été détectées dans six de ces produits primaires ; les deux autres produits primaires sont soupçonnés d'avoir des effets génotoxiques, qui doivent encore être clarifiés expérimentalement. L’Institut fédéral allemand pour l’évaluation des risques (BfR) partage les préoccupations de l’EFSA concernant le potentiel génotoxique de ces produits primaires. L'EFSA a conclu que les huit produits primaires évalués ne peuvent plus être considérés comme inoffensifs pour la santé.

La séparation entre l'évaluation des risques et la gestion des risques est inscrite dans le droit européen depuis 2002. Il appartient désormais à la gestion des risques (représentants de la Commission européenne et des États membres de l'UE) de décider, en tenant compte des avis scientifiques actuels de l'EFSA, si et , le cas échéant, dans quelles conditions les autorisations pour les huit produits principaux destinés à la production d'arômes de fumée peuvent être prolongées.

Une occasion ratée : L’utilisation des antibiotiques en médecine de ville est revenue aux niveaux d’avant la pandémie en Europe en 2022

«L’utilisation des antibiotiques en médecine de ville est revenue aux niveaux d’avant la pandémie en Europe en 2022», source article de Chris Dall paru le 21 novembre 2023 dans CIDRAP News.

Une analyse de la consommation communautaire d'antibiotiques en Europe montre un retour aux niveaux d'avant la pandémie de COVID-19, ont rapporté des chercheurs la semaine dernière dans Eurosurveillance.

À l'aide des données du Réseau européen de surveillance de la consommation d'antimicrobiens (ESAC-Net), une équipe dirigée par des chercheurs du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, a analysé la consommation d'antibactériens dans le secteur communautaire à usage systémique dans 29 pays de l'Union européenne/Espace économique européenne (UE/EEE) de 2019 à 2022.

Ils ont constaté une diminution de 18,5% de la consommation communautaire d’antibiotiques, mesurée en doses quotidiennes définies pour 1 000 habitants par jour, en 2020 par rapport à 2019. Comme dans les pays non européens, la réduction de l’utilisation communautaire d’antibiotiques a été attribuée à des facteurs non liés à la pandémie. interventions pharmaceutiques et accès perturbé aux services de santé. Les taux de consommation sont restés similaires en 2021 dans la plupart des pays de l’UE/EEE.

Cependant, en 2022, alors que les pays ont levé les interventions non pharmaceutiques, les données de l’ESAC-Net ont montré que la consommation communautaire moyenne a augmenté de 18,8% par rapport aux niveaux de 2021, puis est revenue aux niveaux d’avant la pandémie. Dans 13 pays, la consommation communautaire d’antibiotiques était plus élevée en 2022 qu’en 2019, avec une augmentation moyenne de 8,4%.

«Occasion ratée»

Les auteurs de l'étude disent que le rebond pourrait s'expliquer par une résurgence des infections virales et bactériennes à mesure que les restrictions pandémiques ont été levées, mais «pourrait également refléter une occasion ratée de renforcer et de renforcer l'utilisation prudente des antibiotiques.»

Ils ajoutent que pour atteindre l’objectif de l’UE d’une réduction de 20% de la consommation totale d’antibiotiques (secteurs communautaire et hospitalier combinés) d’ici 2030, la plupart des pays de l’UE devront intensifier leurs efforts pour réduire l’utilisation inutile d’antibiotiques.

«Les activités de gestion des antibiotiques renforçant une consommation communautaire prudente jouent [sic] un rôle essentiel à cet égard, car la consommation communautaire représente environ 90% de la consommation totale d'antibiotiques», ont-ils écrit.

Il était une fois un restaurant heureux

5⭐️, baby! Nous venons d’obtenir la note la plus élevée dans chaque catégorie et nous avons renouvelé notre meilleure note en matière de sécurité des aliments. Merci à tout notre personnel, bénévoles, étudiants, amis et frenchwoodasone (école primaire) pour votre soutien. Nous n’aurions pas pu le faire sans vous ! ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ 

mardi 21 novembre 2023

Hautes-Alpes : Suspicion d’intoxication alimentaire à la cantine de Chorges. 21 enfants ont été pris de maux de ventre

«Chorges : Suspicion d’intoxication alimentaire à la cantine, une dizaine d’enfants malades», source BFMTV

Des échantillons de nourriture ont été prélevés ce mardi matin par les services vétérinaires et sont en cours d'analyse. En tout, 21 enfants ont été pris de maux de ventre.

Une intoxication alimentaire? Ce lundi 20 novembre, 21 enfants, qui ont mangé à la cantine du groupe scolaire de Chorges (Hautes-Alpes), ont présenté des symptômes avec des douleurs intestinales, a appris BMF DICI.

Une dizaine d'élèves pris de vomissements

Ce lundi, ce sont près de 350 repas qui ont été servis au groupe scolaire de Chorges, à la crèche municipale et dans les cantines de Montgardin et Rambaud. Quelques minutes après, plusieurs élèves ont fait part de leurs maux.

«Quand plusieurs élèves ont commencé à se plaindre, la direction de l'école nous a immédiatement prévenus», confirme Aymeric Meiss, l’Inspecteur d’Académie des Hautes-Alpes auprès de BFM DICI.

De son côté, Christian Durand, le maire de Chorges, tient à rassurer la population.

«C’est une petite intoxication et une dizaine d’enfants ont vomi», indique le maire de Chorges à BFM DICI.

Des prélèvements effectués ce mardi matin

Après les plaintes des enfants, les autorités sanitaires ont été prévenues par la direction et la commune.

«Le centre 15 et l’ARS ont été prévenus. Le médecin de l’ARS, les instituteurs et moi avons géré la situation», poursuit l’édile. «Les parents ont été prévenus et ont récupéré les enfants».

À la demande de l’ARS, les services vétérinaires ont effectué, ce mardi 21 novembre, des prélèvements à la cuisine centrale pour prendre des échantillons du repas et des yaourts. Ces échantillons sont en cours d’analyse et les premiers résultats sont attendus dans l'après-midi.

Ce mardi, «la plupart» des enfants «sont de retour» à l'école conclut Christian Durand.

Commentaire

Le terme’intoxication alimentaire’ fait désormais peur. On ne doit le prononcer que s'il est précédé de suspicion ou probable. Le maire de cette commune parle même de ‘petite intoxication’ …
Cela métonnerait que l’on ait des résultats des prélèvements faits le matin dans l’après-midi, habituement on attend une dizaine de jour …
21 enfants ont eu des symptômes et une dizaine ont vomi. On nous dit que «la plupart» des enfants «sont de retour», mais que sait-on des autres ?

A suivre ...

Mise à jour du 24 novembre 2023

Chorges: la mairie indique que l'intoxication d'élèves «n'est pas due aux aliments» de la cantine, source BFMTV.
Rappelons que selon Santé publique France, «Pour 19% des TIAC déclarées, aucun agent n'a pu être mis en évidence ni suspecté sur la base des informations épidémiologiques et cliniques (18% en 2020).»

Il paraît que les Français aiment le nucléaire qui est reconnue comme une énergie verte !

Toulouse : Plusieurs enfants hospitalisés dans une crèche après une contamination à E. coli

Source France 3 régions du 21 novembre 2023. La mairie de Toulouse a fermé une crèche suite à la découverte de plusieurs cas d'enfants atteints par la bactérie E. coli. Si les nouvelles des enfants se veulent rassurantes, l'origine de la contamination reste inconnue.

Que s'est-il passé à la crèche des Minimes de Toulouse ? C'est sur cette question que planchent les experts de l'ARS Occitanie après la découverte de plusieurs enfants atteints par la bactérie Escherichia coli.

Les premiers symptômes se sont déclarés, vendredi 10 novembre 2023, chez plusieurs enfants. Rapidement prévenus, les services de la mairie de Toulouse et du CCAS décident la fermeture de la crèche et alertent les parents des 54 enfants accueillis dans l'établissement.

Réanimation

«Nous avons mis en place un dispositif d'astreinte dès le week-end afin d'informer en temps réel les familles ainsi que le personnel de la crèche», explique Laurence Katzenmayer, adjointe en charge de la petite enfance et des crèches à la mairie de Toulouse.

La crainte est alors réelle de devoir affronter une contamination massive parmi ce public d'enfants vulnérables. D'autant plus que cette crèche s'intègre dans un projet intergénérationnel avec un EHPAD voisin au cours duquel seniors et enfants sont quasi quotidiennement en contact.

Dans les heures qui suivent, certains enfants malades voient leur état s'aggraver et sont hospitalisés, certains au service de réanimation de Purpan, selon une source proche des faits. Ils y resteront plusieurs jours avant d'être remis sur pieds. Aucun autre cas de contamination n'est alors à déplorer.

Origine de la contamination encore inconnue

Pendant ce temps, des équipes spécialisées procèdent à des prélèvements dans la crèche avant de les mettre en culture. «Une fois les prélèvements effectués, nous avons procédé à un nettoyage de fond et rigoureux», précise l'élue.

À l'heure de la publication de cet article, les investigations se poursuivent afin de trouver l'origine de la contamination. Seule certitude, la bactérie ne vient pas de l'alimentation. Les enfants touchés n'avaient en effet pas mangé les mêmes choses et les analyses sont restées vierges.

La crèche devrait rouvrir ces portes ce mercredi. «Aucun dysfonctionnement n'a été relevé», déclare Laurence Katzenmayer avant de poursuivre : «nous avons également procédé au dépistage de tous les enfants et de leurs familles ainsi que du personnel de l'établissement. Tout le monde est négatif, ce qui nous a conduits à prendre la décision de réouverture

Un soulagement pour le personnel, selon l'élue, qui souligne l'investissement des équipes d'accueil de la petite enfance et l'état de choc dans lequel cette contamination les a plongés. Un accompagnement psychologique a d'ailleurs été mis en place afin d'aider ces agents à traverser ces moments.

Commentaire

On ne connaît pas avec avec précision le nombre d’enfants touchés, étonnant, non ?
Escherichia coli signifie-t-il ici Escherichia coli producteurs de shigatoxines ? Personne n’en parle …
Pas d’information sur le site de l’ARS Occitanie.
Le fait que l’on ne trouve rien dans les aliments ne signifie pas qu’il n’y pas de E. coli dans l’environnement.

Seine-Saint-Denis : Fermeture administrative d'un restaurant du centre commercial O'Parinor (Aulnay-sous-Bois) pour raison d'hygiène

Le match à distance entre le préfet 95 (Vald'Oise) versus préfet 93 (Seine-Sait-Denis) se poursuit ...

Ont été constatées notamment :
❌ l'absence de lutte contre les nuisibles (cadavres de souris et de cafards)
❌la saleté des locaux et des équipements
❌la méconnaissance des mesures d'hygiène par le personnel 

Commentaires d’internautes
- Cet homme est en mission depuis que son mentor a subit d’innombrables indigestions dans le 95, c’est remarquable.
- 36 dégrés a l’air libre, les bactéries …
- Les préfets du 93 et du 95 font des travaux colossaux, ils permettent d’éviter des chiasses du futurs et d’économiser des litres d’eaux de chasse d’eau.
- ils m’on foiré 2 commandes à emporter j’ai arrêter de graille chez eux depuis avril 2022 , le préfet nous a sauvé.
- mais comment on peut être "restaurateur" et servir de la nourriture qui a été cuite à l'endroit où toute une bande de rats a dormi.
- Mais comment on peut en arriver là.... Bande de crasseux!!!!
- Le pressing du préfet il est incroyable
- Les rats sont morts c'est déjà pas mal
- Les restaurants en France c’est un délire le niveau de crasserie
- Prison direct !
- J’vais me flinguer j’ai déjà mangé là-bas

Présence de pathogènes dans des fromages de France selon trois notifications au RASFF de l’UE

Il y a donc deux notifications au RASFF de l’UE,

- notification du 17 novembre 2023, mise à jour le 21 novembre par la France sur la présence de Listeria monocytogenes (80 ufc/g) dans des fromages au lait cru de chèvre de France, suite à un autocontrôle du fabricant.

Selon la notification, le produit a été distribué en Belgique, France et Luxembourg.
Pour l’instant, seul le Luxembourg a rappelé les produits le 21 novembre 2023 : rappel de Biquette du Ch’ti (Fromage de chèvre), suite à une suspicion de présence de Listeria monocytogenes. La DDM est du 19 novembre 2023.
Signalons aussi un rappel en Suisse le 16 novembre 2023.

- notification du 20 novembre 2023, mise à jour le 21 novembre par la Suède de la présence possible de Escherichia coli (STEC) dans des fromages de France.

Le produit n’a pas été distribué en Suède et a été bloqué en Allemagne. La notification indique qu’il s’agit de Brique de chèvre Sakura No-Ha.

Complément du 23 novembre 2023

notification du 23 novembre 2023 par l'Italie de la présence de Escherichia coli producteurs de shigatoxines(STEC) dans des fromages de chèvre France. Il s’agit selon la notification, d’un fromage à pâte molle au lait cru de chèvre dans une feuille de cerisier (Sakura).

Le journal scientifique ‘Nature’ se déshonore à propos de la situation au Moyen-Orient

Un article de Nature a pour objet «Le conflit Israël-Hamas : la voix des scientifiques en première ligne».

Les habitants d'Israël, de Gaza et de Cisjordanie sont sous le choc des répercussions des attaques du 7 octobre contre Israël perpétrées par l'organisation militante Hamas. Les membres du Hamas ont tué environ 1 200 personnes, dont au moins 28 enfants. Quelque 240 personnes ont été capturées, dont au moins 33 enfants.

L'article ne revient pas sur les fausses accusations de l’ONU, de l’Unicef et de l’OMS, c’est dire …
L’article est biaisé, incorrect et factuellement erroné.
Le Hamas n’est pas qualifié par les rédacteurs de l'article de Nature d’organisation terroriste, mais d'organisation militante, honte à Nature !

Un jour viendra, où comme avec la BBC News et l'hôpital al-Sifa, il y aura des excuses, mais le mal aura été fait ...

Lait infantile contaminé par Salmonella : Lactalis réclame un milliard d’euros au laboratoire Eurofins

Lactalis versus Eurofins en relation avec l'incident à Salmonella des préparations pour nourrissons en 2017.

«Lactalis réclame 1 milliard d'euros à Eurofins dans l'affaire du lait contaminé», source Les Echos Investir.

Le groupe agroalimentaire Lactalis réclame 1 milliard d'euros à Eurofins dans le cadre de l'affaire du lait infantile contaminé aux salmonelles, qui a touché des dizaines de bébés à la fin 2017, selon des informations rapportées lundi par l'Informé.

«Une assignation a été déposée au tribunal de commerce de Paris le 31 mars 2023», a indiqué le site d'investigation, en précisant qu'elle visait «deux filiales d'Eurofins (Eurofins laboratoire de microbiologie Ouest et Eurofins NDSC Food France) et leurs assureurs, XL Insurance et HDI Global».

Lactalis accuse le groupe d'analyses de ne pas avoir détecté les bactéries dans ses produits, a ajouté l'Informé.

«Lactalis n'apporte aucun commentaire sur les pièces figurant au dossier judiciaire», a déclaré une porte-parole du groupe agroalimentaire contactée par l'agence Agefi-Dow Jones. De son côté, Eurofins n'était pas disponible dans l'immédiat pour réagir. 

Mise à jour du 24 novembre 2023

Lait contaminé : le laboratoire Eurofins rejette toute responsabilité, Lactalis s'en remet à la justice, source La Tribune.

Le géant des laboratoires d'analyses Eurofins a rejeté toute responsabilité dans l'affaire de la contamination aux salmonelles de laits infantiles de Lactalis. Il estime que la demande d'indemnisation du groupe laitier d'un milliard d'euros est «infondée».

Cette demande est infondée au regard de nombreux éléments factuels et notamment des détections de salmonelles par ELMO dont a été informé Lactalis depuis 2009 et de nouveau en 2017 : en dépit de nombreuses alertes, Lactalis ne semble pas avoir pris les mesures requises», réagit Eurofins dans un communiqué publié le 21 novembre 2023 (en anglais).

Or, «une réaction adaptée aurait permis d'éviter la crise de 2017»,estime le spécialiste des tests d'analyses biologiques, alimentaires, environnementaux et pharmaceutiques.

«La qualité des analyses de ELMO ne saurait être mise en cause», selon le laboratoire, qui rappelle que «Lactalis a fait appel à un autre laboratoire dès novembre 2017, dont les résultats confirment la qualité du travail de ELMO». Voir le communiqué de presse d’Eurofins Laboratoire de Microbiologie de l’Ouest du 21/11/23.

Ignorant les résultats des analyses de ELMO ayant notamment révélé à plusieurs reprises depuis 2009 et à nouveau des août 2017 la présence dans l’usine de Craon du pathogène ayant contaminé les bébés, LACTALIS ne semble pas avoir mis en œuvre de façon appropriée les procédures de contrôle et de retrait prévues dans de tels cas. Une réaction adaptée aurait permis d’éviter la crise de 2017. Face à ses propres carences, et pour éviter de faire face à sa responsabilité, LACTALIS formule une demande d’indemnisation sans fondement et ne fournit aucune information sérieuse quant au préjudice subi.

En avançant un montant aberrant d’une telle importance, LACTALIS cherche à donner de la crédibilité à ses demandes.

La démarche de LACTALIS est d’autant plus infondée que le Groupe LACTALIS n’a cessé de 2017 à aujourd’hui de confier des analyses à ELMO, témoignant de sa confiance en le travail réalisé.

Commentaire
A la justice de trancher mais c’est très loin d’être simple ...

Mise à jour du 25 novembre 2023
Comme l’a dit Joe Whitworth sur X, «De temps en temps, une affaire judiciaire en arrière-plan attire l'attention du public.»