Oui, quelle honte.. https://t.co/d7Wkib6ZmT
— François Momboisse (@fmomboisse) July 24, 2023
Et en plus les Suisses ne sont pas autosuffisants et devront importer de plus en plus d’électricité.. depuis la France. Non mais sérieux ?
«L'hygiène, avant la microbiologie, n'est hygiénique que dans ses intentions. C'est la science des apparences qui repose entre des mains d'aveugles : est sain ce qui est beau, bon, et ne sent pas mauvais.» Pierre Darmon, L'homme et les microbes, Fayard, 1999.
Oui, quelle honte.. https://t.co/d7Wkib6ZmT
— François Momboisse (@fmomboisse) July 24, 2023
Et en plus les Suisses ne sont pas autosuffisants et devront importer de plus en plus d’électricité.. depuis la France. Non mais sérieux ?
Rappel très tardif ou mieux vaut tard que jamais, ai-je écrit dans le titre, voici pourquoi et aussi pourquoi avec ce seul rappel le compte n’y est pas !
Reprenons la chronologie :
Le 18 juillet 2023, l’AESAN (Agencia Española de Seguridad Alimentaria y Nutrición) informe de cas de botulisme liés à la consommation de tortillas.
Le 22 juillet, le blog relaie une information de Carrefour du 21 juillet 2023 avec le rappel en France de tortillas «nature» et «oignons» en raison d’une suspicion de présence de Clostridium botulinum.
Le 24 juillet 2023, il était temps, le RASFF de l’UE informe via une notification d'alerte par l'Espagne de la suspicion de botulisme liée à des tortillas de pommes de terre d'Espagne. Distribution France, Italie, Portugal et Espagne.
Le 24 juillet 2023, RappelConso informe les consommateurs du rappel de tortillas au oignons en raison de suspicion de risque de présence de Clostridium botulinum, mais seulement des tortillas ‘oignons’ vendues chez Intermarché. Exit donc les tortillas ‘nature’ et les tortillas ‘aux oignons’ de chez Carrefour.
Voilà les faits et RappelConso n’a pas été au rendez-vous de ces rappels, et quand il l’a été, c’est avec retard et de façon insuffisante.
Le blog décerne un carton rouge à RappelConso !
Complément
Mise à jour du 4 août 2023
#RP_INRAE🤔Un vaccin contre la maladie de Lyme, transmise par les tiques ? Pas encore non ...
— INRAE (@INRAE_France) July 24, 2023
🔬Mais une piste prometteuse se dessine : protéger la tique pour mieux nous protéger
💉Une technologie innovante au service d'un enjeu de santé publique
📰https://t.co/vvCdgoQRsB pic.twitter.com/OPPxZPSLrD
Bravo pour cette avancée à la recherche française ...
Cela étant, un vaccin contre la maladie de Lyme semble être en préparation ...
L'étude de Phase 3 «Vaccine Against Lyme for Outdoor Recreationists (VALOR)» (NCT05477524), randomisée et contrôlée par placebo, évalue l'efficacité, l’innocuité et l'immunogénicité de VLA15 chez des participants âgés de 5 ans et plus. L'étude est menée sur un maximum de 50 sites situés dans des régions où la maladie de Lyme est fortement endémique, notamment en Finlande, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Pologne, en Suède et aux États-Unis.
VLA15 est une protéine recombinante multivalente ciblant six sérotypes de Borréliose représentant les souches les plus Valneva a développé VLA15, un candidat vaccin contre la communes présentes aux États-Unis et en Europe.
On se demande dans quel monde vivent ces experts : nous avons déjà 11% de SAU en #bio en France, et le marché du bio est en surproduction. Comment peut-on envisager une telle lubie de porter à 25% les surfaces en bio en Europe ?! https://t.co/tn3EXuxlcs
— Gil Rivière-Wekstein (@AEGRW) July 24, 2023
«Un mélange de probiotiques bloque les bactéries qui causent le syndrome du choc toxique», source ASM News du 20 juillet 2023.
Faits saillants
Le micro-organisme pathogène répandu Staphylococcus aureus peut coloniser la peau et les muqueuses dans tout le corps, en particulier le vagin et le tractus gastro-intestinal. Une souche virulente de la bactérie produit des protéines qui déclenchent le syndrome de choc toxique (SCT), une maladie caractérisée par l'apparition rapide de fièvre, une éruption cutanée révélatrice et, sans traitement, une défaillance multiviscérale. Dans le vagin, le SCT est associé à une réaction potentiellement mortelle du système immunitaire.
Les probiotiques peuvent aider à prévenir la maladie avant que la cascade de cytokines ne commence. Une étude publiée dans la revue Microbiology Spectrum de l'American Society for Microbiology rapporte que des souches de deux bactéries, Lactobacillus acidophilus et Lacticaseibacillus rhamnosus, ont inhibé avec succès la production des superantigènes responsables du SCT, lors d'expériences en laboratoire. L. acidophilus, en outre, a inhibé la croissance des souches de S. aureus qui produisent les protéines problématiques.
Une combinaison des deux pourrait à la fois empêcher la croissance et inhiber la réponse immunitaire. «C'est en quelque sorte un double coup dur contre S. aureus», a dit le microbiologiste Patrick Schlievert de l'Université de l'Iowa, Carver College of Medicine, Iowa City. «Si une toxine est fabriquée, les probiotiques préviennent l'inflammation.»
Il a noté que l'ajout de ces probiotiques aux tampons ou à d'autres produits menstruels pourrait réduire le risque, et l'incidence mondiale, du SCT associé aux menstruations. Une telle mesure préventive a le potentiel de bénéficier à des millions de personnes vulnérables, selon Schlievert. «Nous savons que 20% des personnes de plus de 12 ans ne peuvent pas fabriquer d'anticorps et ne fabriqueront jamais d'anticorps contre le syndrome de choc toxique», a-t-il dit.
Schlievert étudie le SCT et sa prévention depuis des décennies. Au début des années 1980, il a été le premier chercheur à identifier la toxine qui déclenche une réaction excessive du système immunitaire et à montrer comment les tampons à haute capacité d'absorption facilitaient la production de cette toxine en présence de S. aureus.
Le nouveau travail, a-t-il dit, a été motivé par des observations faites lors d'une étude antérieure. Il y a quelques années, lses collègues et lui ont recruté 205 femmes pour tester si un nouveau mélange moléculaire, ajouté aux tampons, inhiberait les bactéries pathogènes. Cette molécule s'est avérée efficace contre E. coli et d'autres agents pathogènes, mais les chercheurs ont remarqué une conséquence inattendue.
«Certaines des femmes du groupe traitement ont eu cette énorme croissance de Lactobacilli, a dit Schlievert.
D'autres études ont révélé que 9 de ces femmes étaient colonisées uniquement par L. crispatus et aucune autre bactérie. Dans une étude en microbiologie, a déclaré Schlievert, la colonisation par une seule bactérie est souvent considérée comme malsaine. Dans ce cas, cependant, il offrait une action efficace contre S. aureus pathogène.
Les bactéries Lactobacillus se sont déjà révélées sûres, a dit Schlievert, et les nouveaux travaux suggèrent que le traitement avec L. crispatus seul, ou L. acidophilus et L. rhamnosus en combinaison, pourrait réduire considérablement le risque de SCT chez les populations vulnérables. Les souches de S. aureus peuvent également provoquer une entérocolite, une réponse immunitaire potentiellement mortelle dans l'intestin. Les probiotiques peuvent également aider à réduire la production de protéines dangereuses pour cette maladie, a dit Schlievert.
Dans les travaux en cours et futurs, Schlievert et son équipe étudient comment utiliser les probiotiques pour prévenir les infections cutanées à staphylocoques. La peau des personnes atteintes de dermatite atopique ou de diabète de type 2 est souvent colonisée par les souches de S. aureus qui produisent des superantigènes, souvent résistants au traitement par des antibiotiques standards. Chez les patients atteints de diabète de type 2, ces superantigènes pourraient entraîner des ulcères du pied qui, s'ils ne sont pas traités avec succès, pourraient entraîner une amputation.
Schlievert considère les probiotiques comme un moyen prometteur de prévenir ces complications. «Si nous pouvons améliorer leur vie en utilisant cette approche, ce serait merveilleux.»
Complément
Une vingtaine de cas de syndrome du choc toxique (SCT) menstruel sont enregistrés chaque année en France. Le SCT menstruel est lié aux conditions d’utilisation des protections intimes internes.
Cela étant, ce qui a retenu mon attention de la part de l’Anses, c’est cette information du 28 juillet 2021, «Désinfectants pour piscines et spas : respecter les précautions d’emploi».
Pour profiter en toute sécurité des piscines et spas, il est important de maintenir la bonne qualité de l’eau avec des produits de désinfection. Toutefois, ces produits quelle que soit leur forme, comprimés, galets, pastilles, poudre, liquide, contiennent le plus souvent du chlore et leur utilisation sans précautions n’est pas dénuée de risques. Tous nos conseils pour éviter tout accident.
Toutes les recommandations en un coup d’œil …
La France compte plus de 2,95 millions de piscines privées à fin 2020. Le parc est composé à part quasi égale de piscines enterrées (1,47 million de bassins) et de piscines hors sol (1,48 million).
Deux séances de la conférence de l'International Association for Food Protection (IAFP) ont traité de la complexité de Listeria et de la performance des normes.
Sanjay Gummalla, de l'American Frozen Food Institute (AFFI), a dit que l'hypothèse selon laquelle une seule cellule de Listeria monocytogenes peut provoquer une maladie n'a pas de fondement scientifique.
Gummalla a précédemment co-écrit un article d'opinion sur la réglementation à propos de Listeria aux États-Unis et au Canada. Comme les aliments surgelés ne favorisent pas la croissance de Listeria, ils sont considérés comme à faible risque, mais la population âgée est un groupe à risque en expansion et l'agent pathogène peut se développer à des températures de réfrigération.
Les États-Unis prévoient de mettre à jour le projet de lignes directrices cette année, tandis que Santé Canada a récemment publié une réglementation révisée pour Listeria monocytogenes dans les aliments prêts à consommer (PAC).
Sortir de la tolérance zéro
Les participants ont appris que des rappels de Listeria se produisent en raison de résultats positifs, mais il n'y a pas de dénombrement, donc les niveaux de contamination ne sont pas clairs et les données manquent. La tolérance zéro ne s'attaque pas aux causes profondes, elle traite tous les aliments PAC comme présentant le même risque et limite la mise en œuvre de mesures robustes de recherche et détruit les mesures de vérification, a-t-il dit.
Gummalla a expliqué comment Listeria pourrait pénétrer dans les installations de production, sa persistance et les programmes de surveillance environnementale.
Il a dit que c'était une fausse idée qu'un bon programme de nettoyage-désinfection soit un programme sans aucun positif. Il s'est également demandé si chercher et détruire était la bonne approche. Quels étaient les taux positifs acceptables dans l'environnement et était-il nécessaire d'imposer des tests sur les surfaces en contact avec les aliments ?
Les tests sur les produits finis ne sont pas une alternative à une surveillance environnementale robuste et de routine, et les prélèvements doivent être effectués bien avant le processus de production et non juste après le cycle de nettoyage-désinfection, a ajouté Gummalla.
Les producteurs d'aliments PAC doivent s'assurer que les produits soient formulés, transformés, conditionnés et entreposés correctement, car ils sont destinés à être consommés sans étapes ou processus de cuisson supplémentaires pour éliminer ou réduire les agents pathogènes. Ces aliments ont été associés à des maladies et à des épidémies résultant d'un mauvais nettoyage-désinfection, d'une transformation inadéquate, de températures abusives pendant le stockage ou d'une exposition modifiée avant la consommation qui peuvent favoriser la croissance d'agents pathogènes à des niveaux suffisamment élevés pour rendre les personnes malades.
Les aliments non-PAC nécessitent des instructions de préparation validées sur l'étiquetage pour aider les consommateurs à préparer afin de s'assurer que l'aliment soit sûr. Les réglementations et les clients exercent une pression croissante pour renforcer les exigences microbiologiques sur les produits non-PAC en raison des inquiétudes concernant les écarts par rapport aux instructions de préparation.
Normes dans différents secteurs
Elles peuvent être établies sur la base de la littérature scientifique, d'études réalisées par des entreprises, d'exigences réglementaires ou en utilisant une modélisation des agents pathogènes basée sur les risques. Pour de nombreux produits, des directives spécifiques pour la performance d’une norme ne sont pas disponibles en raison d'un manque de données adéquates pour établir la réduction logarithmique nécessaire pour protéger la santé publique. Dans de tels cas, un concept d'obstacles multiples est nécessaire.
Stéphanie Nguyen, ConAgra Brands, a parlé de la performance des normes pour la viande et les protéines végétales prêtes à consommer, les aliments en conserve et les légumes surgelés. Nguyen a dit qu'il était difficile de s'assurer que toutes les données utilisées s'appliquent également à la viande à base de cellules et aux protéines végétales ou alternatives. Elle a ajouté qu'il est important de tenir compte de la façon dont les consommateurs manipulent les produits, du désir d'aliments peu transformés et des nouvelles technologies comme le traitement non thermique.
Rico Suhalim, PepsiCo, a couvert des jus et des collations, y compris des aliments à faible activité de l’eau. Suhalim a dit que les personnes doivent connaître le risque et comment maîtriser le danger, le travail pouvant s'étendre aux fournisseurs et a souligné le rôle des études de validation et de challenge-tests.
Aaron Uesugi de Mondelez International a dit que, contrairement aux autres domaines, il n'y avait pas vraiment de consensus sur la performance d’une norme pour les produits de boulangerie ou le chocolat et la réduction logarithmique ciblée. Uesugi a dit qu'il était important de déterminer si les matières premières sont crues ou traitées, les destinations d'approvisionnement et la contamination potentielle après transformation.
Commentaire
Nous pourrions être au bord d'un changement de paradigme du phage dans l'Union européenne. C'est l'avis de divers experts lors d'un webinaire en ligne organisé le 11 juillet par PhageEU, une coalition d'acteurs représentant les phages dans l'industrie, la communauté scientifique et la société civile.
Un additif alimentaire basé sur la technologie des phages pourrait être autorisé par la Commission européenne dans un proche avenir, ont-ils convenu, ajoutant qu'il s'agirait d'un modèle pour le développement de produits révolutionnaires de phages chez la volaille et d'autres animaux producteurs denrées alimentaires.
Le webinaire a été l'occasion de discuter des défis techniques liés à la conception de produits bactériophages, des obstacles réglementaires en Europe pour cette nouvelle catégorie de produits ainsi que d'analyser le récent débat politique au sein des institutions européennes et les perspectives d'avenir.
Résistance antimicrobienne
Barrières à la conception d'un cocktail de phages
Un cocktail de bactériophages ciblant Salmonella dans la volaille
À la suite d'un examen minutieux de l'EFSA et des États membres de l'UE, début 2023, l'EFSA a émis un avis confirmant l'efficacité du Bafasal contre les sérotypes de Salmonella. Bien que quelques questions demeurent, selon McCartney, «une fois que le Bafasal sera approuvé dans l'UE, il y aura un modèle pour le développement de produits phages révolutionnaires chez la volaille et d'autres animaux producteurs de denrées alimentaires, ainsi que de nombreux autres pathogènes bactériens graves chez les animaux de compagnie et les humains.»
Des phages dans le débat politique
Accroître la sensibilisation
NB : L’image est issue du compte Twitter de PhageEU.
Francine L. Shawn est contributrice invitée, spécialiste de la sécurité des aliments, podcasteuse et cofondatrice de My Food Source.
La sécurité des aliments est une préoccupation importante tant pour les consommateurs que pour l'industrie de la restauration. S'assurer que les aliments que nous consommons soient sûrs à manger est de la plus haute importance, et l'application de l'intelligence artificielle (IA) dans l'industrie alimentaire a été largement reconnue comme une solution prometteuse pour résoudre ce problème.
Gagner la confiance des consommateurs est un effort essentiel. Le CDC estime que 48 millions de personnes tombent malades, 128 000 sont hospitalisées et 3 000 meurent de maladies d'origine alimentaire aux États-Unis, chaque année.
Alors que les consommateurs continuent de lire des manchettes effrayantes sur les rappels d'aliments, les incidents liés aux maladies d'origine alimentaire et d'autres infractions à la sécurité des aliments, ils exigent plus que jamais la transparence. L'industrie alimentaire devrait donc continuer à explorer les applications potentielles de l'IA dans la sécurité des aliments pour s'assurer que les consommateurs peuvent avoir une plus grande confiance dans la sécurité des aliments qu'ils consomment.
À mesure que l'IA devient plus abordable et accessible pour les organisations de toutes tailles et de tous budgets, elle deviendra un outil de plus en plus essentiel pour renforcer la transparence, la vérification, la validation, la traçabilité, la communication et la sécurité tout au long de la chaîne d'approvisionnement.
La modélisation prédictive et le contrôle de la qualité
Une autre façon dont l'IA peut accroître la sécurité des aliments est la maîtrise de la qualité des aliments. Les algorithmes d'IA peuvent analyser des images d'aliments et d'emballages en temps réel pour détecter des anomalies, telles que des étiquettes manquantes ou des emballages déchirés. Cela permet d'identifier les produits contaminés avant qu'ils n'atteignent les rayons des magasins (ou les consommateurs).
La sécurité des aliments peut également être améliorée grâce à des systèmes automatisés de transformation des aliments alimentés par l'IA. En utilisant des capteurs et des caméras, ces systèmes peuvent détecter et corriger des problèmes tels que les températures, les niveaux de liquide, le débit de gaz, l'humidité et même l'hygiène alimentaire qui pourraient entraîner une contamination des aliments pendant la fabrication et la transformation.
De plus, l'IA peut être utilisée pour tracer l'origine des produits alimentaires. Grâce à la technologie et aux algorithmes d'IA, les producteurs alimentaires peuvent suivre les produits alimentaires de la ferme à la table, offrant aux consommateurs une plus grande transparence et une plus grande responsabilité dans la chaîne d'approvisionnement alimentaire.
Comment l'IA améliorera la sécurité des aliments ?
L'IA améliorera la sécurité des aliments tout au long de la chaîne d'approvisionnement en :
Facteurs de fiabilité et de coût
De plus, le coût de la mise en œuvre de l'IA dans l'industrie alimentaire et le potentiel de perte d'emplois en raison de l'automatisation suscitent des inquiétudes. Bien que l'utilisation de l'IA dans la sécurité des aliments ne doive pas remplacer entièrement le travail humain. Par exemple, les inspections de salubrité des aliments et les tests de qualité continueront de nécessiter une intervention humaine pour s'assurer que les aliments respectent les normes et les réglementations en matière de salubrité. L'IA devrait également créer des opportunités d'emploi dans divers domaines, tels que le génie logiciel, la science des données et le contrôle qualité.
Cependant, il est important de noter que biodégradabilité et l'accessibilité de l'IA peuvent dépendre de divers facteurs, tels que le type de technologie, la disponibilité de l'infrastructure et le coût de mise en œuvre. Les investissements technologiques peuvent également avoir un énorme retour sur investissement, car l'IA peut augmenter l'efficacité et réduire les coûts, et il existe même actuellement des options abordables pour les petites entreprises.
Malgré ces défis, les avantages potentiels de l'utilisation de l'IA pour améliorer la sécurité des aliments sont importants. En fournissant une surveillance, une détection et une prédiction en temps réel, l'IA peut aider à prévenir les épidémies de maladies d'origine alimentaire, à réduire le gaspillage alimentaire, à améliorer la durabilité et à renforcer la responsabilité dans la chaîne d'approvisionnement alimentaire.
Commentaire
Ça alors, faire pousser des légumes sur le toit des immeubles parisiens c’est pas rentable. Mais qui aurait pu le prévoir?.:) https://t.co/7dTmL9roNH
— François Momboisse (@fmomboisse) July 23, 2023