La
chloroquine contre le Covid-19 : oui, le Pr Raoult nous a
convaincus, Extrait
de l’article
du Figaro du 6 avril 2020.
L’intertitre est de mon fait -aa.
Fabien
Calvo, Jean-Luc Harousseau et Dominique Maraninchi sont
respectivement professeur émérite de pharmacologie à l’université
de Paris-Diderot, ancien professeur d’hématologie à l’université
de Nantes et professeur émérite de cancérologie à Aix-Marseille
Université.
Une
controverse passionnée s’est développée en France et dans le
monde sur l’utilisation
d’un traitement médical précoce du Covid-19, associant
hydroxychloroquine et azithromicyne, suivant les
travaux du Pr Didier Raoult.
L’ancien directeur scientifique de l’Institut national du cancer, l’ancien président de la Haute Autorité de santé et l’ancien directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé recommandent d’appliquer le traitement élaboré par le Pr Didier Raoult dès l’apparition des premiers symptômes du coronavirus.
Scientifiques et médecins s’affrontent à la fois sur la réalité de la diminution précoce de la charge virale qui préviendrait les complications les plus graves mais surtout sur l’absence de démonstration du bénéfice dans un essai «randomisé» (qui applique les règles ayant pour but d’évaluer l’efficacité d’un traitement, notamment le recours au tirage au sort, pour déterminer quels patients feront partie du groupe qui va essayer le traitement, NDLR).
Incroyable mais vrai,
L’ancien directeur scientifique de l’Institut national du cancer, l’ancien président de la Haute Autorité de santé et l’ancien directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé recommandent d’appliquer le traitement élaboré par le Pr Didier Raoult dès l’apparition des premiers symptômes du coronavirus.
Scientifiques et médecins s’affrontent à la fois sur la réalité de la diminution précoce de la charge virale qui préviendrait les complications les plus graves mais surtout sur l’absence de démonstration du bénéfice dans un essai «randomisé» (qui applique les règles ayant pour but d’évaluer l’efficacité d’un traitement, notamment le recours au tirage au sort, pour déterminer quels patients feront partie du groupe qui va essayer le traitement, NDLR).
Incroyable mais vrai,
L’essai européen en cours risque de ne pas répondre au concept de
traitement précoce, puisque les médicaments ne seront utilisables
que dans les cas graves, soit plus de sept jours après les premiers
signes cliniques d’infection. Dans son approche, Didier Raoult
propose de traiter dès les premiers signes d’infection documentée
pour prévenir son évolution.
A suivre ...
A suivre ...
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