vendredi 17 novembre 2023

Les autorités finlandaises percent le mystère d’une intoxication alimentaire massive

«Les autorités finlandaises percent le mystère d’une intoxication alimentaire massive», source article de Joe Whitworth paru le 17 novembre 2023 dans Food Safety News.

Des niveaux élevés d'un additif dans les tortillas ont été identifiés comme la cause probable d'une épidémie importante en Finlande.

L'Autorité alimentaire finlandaise (Ruokavirasto), l'Institut national de la santé et du bien-être social (THL) et les agences locales ont enquêté sur l'épidémie, qui a touché plus de 800 personnes. L'incident s'est produit en août à Mikkeli, et ce sont principalement des enfants qui sont tombés malades.

Des concentrations élevées d’un additif, le propionate de calcium, ont été trouvées dans des échantillons de tortillas. Ruokavirasto a déclaré que c’était la cause probable des symptômes des écoliers. Le propionate de calcium est utilisé dans les produits de boulangerie comme conservateur. L'acide propionique inhibe la croissance des moisissures et de certaines bactéries.

Ruokavirasto a dit que les intoxications causées par le propionate de calcium étaient «extrêmement rares».

Un lot concerné

D'après une enquête de plus de 4 000 réponses réalisée par des responsables de la région de Mikkeli et analysée par THL, les tortillas étaient l'explication la plus probable pour laquelle les enfants sont tombés malades.

Au total, 812 personnes ont été malades lors de l'épidémie dans 18 écoles différentes. Plusieurs élèves ont déclaré que les tortillas sentaient ou avaient le goût du savon ou du détergent.

Les principaux symptômes des patients étaient des douleurs à l’estomac, des nausées et des maux de tête. Ils ont commencé rapidement et ont été de courte durée. Chez la plupart des patients, les symptômes ont commencé moins d’une heure après avoir mangé et la durée moyenne était inférieure à 12 heures.

Lors d'études réalisées en septembre, des changements sensoriels et des variations de l'acidité du produit ont été constatés dans certaines tortillas. Des changements n'ont été observés que dans les éléments effectués à certaines heures d'une journée. Les produits impliqués ont été retirés de la vente en août.

Les concentrations de propionate de calcium dans les tortillas suspectées étaient 10 fois plus élevées que dans les autres tortillas. Ils ont dépassé la limite d'utilisation maximale autorisée de l'additif, qui est de 2 000 mg par kg. Le propionate de calcium n’a aucun effet dangereux prouvé sur le long terme.

Le fabricant polonais et les autorités polonaises enquêtent sur ces concentrations élevées.

jeudi 16 novembre 2023

Découvrez Oreillette, de race Normande, l'égérie du Salon International de l’Agriculture 2024

Du 24 février au 3 mars 2024, ce sera Oreillette, vache de race Normande âgée de 5 ans qui en sera le symbole.

Avec sa robe aux trois couleurs et ses lunettes bien dessinées, Oreillette est une belle ambassadrice de la race Normande.

Âgée de 5 ans et mère de 3 veaux, elle nous vient de Briouze, commune située dans le département de l'Orne en Normandie. C’est au GAEC Foucault, une exploitation familiale de 155 hectares dont 80 en herbe qu’Oreillette vie et pâture parmi un troupeau 100% Normand de 110 vaches laitières et 24 bœufs. Le lait produit est livré en laiterie et transformé en camembert et pont Lévêque AOP, assurance de savoir-faire et de qualité. En moyenne, la production laitière d’Oreillette représente 10,5 camemberts par jour de vie. Elle est une digne descendante de Ramette, son arrière-grand-mère, l’une des plus grandes productrices de lait de la race à ce jour.

Avec son tempérament calme et sa capacité d’adaptation, Oreillette portera fièrement les couleurs de la race Normande lors du Salon International de l’Agriculture 2024

France : Bilan de la surveillance des infections à Campylobacter en 2022. Le nombre de souches isolées augmente ...

Qu’en est-il en 2022 ?

Voici que Santé publique France publie le Bilan de la surveillance des infections à Campylobacter en France en 2022.

Points clés

En 2022, la surveillance des infections à Campylobacter en France a confirmé les tendances épidémiologiques et biologiques déjà observées ces dernières années :

- une prédominance de l’espèce C. jejuni ;
- un nombre de cas et une incidence plus élevés chez les enfants ;
- une prédominance des infections chez les hommes ;
- un pic saisonnier pendant la période estivale sauf pour C. fetus;
- une résistance élevée aux fluoroquinolones et aux tétracyclines, restée stable ces dernières années ;
- une absence d’augmentation significative des taux de résistances des six antibiotiques testés en routine.

Pour en savoir plus, il vous faut aller dans un autre document.

Caractéristiques des patients infectés par Campylobacter rapportés par le CNR

En 2022, l’âge à l’infection variait entre 0 et 102 ans, avec une moyenne à 34 ans et une médiane à 27 ans. L’incidence était maximale pour la classe d’âge 0-9 ans (27 cas/100 000 habitants).

Globalement, l’incidence était plus élevée chez les hommes (15 cas/100 000 habitants) que chez les femmes (12 cas/100 000 habitants). Cette tendance était observée dans toutes les classes d’âge, sauf chez les 20-29 ans.

Les infections par C. fetus ont été principalement rapportées chez des personnes de 60 ans et plus (91% des infections), tandis que les infections par C. jejuni ont été majoritairement rapportées chez des enfants et jeunes adultes de moins de 30 ans (55% des infections).

Autant en 2021, le bilan s’était cantonné aux caractéristiques des souches de Campylobacter isolées en 2022 répertoriées par le CNR, cette fois-ci, et pour la premère fois, il est fait d’un nombre de patients en 2022.

Le CNR a répertorié 9 160 souches de Campylobacter spp. isolées en 2022 (versus 8 875 en 2021 et 7 920 en 2020), correspondant à 10 498 patients infectés (dont 60 avec plusieurs souches isolées).

Conclusion de la surveillance 2022
Le nombre de souches de Campylobacter répertoriées par le CNR est en augmentation depuis 2013, année de la mise en place de la saisie des données en ligne par les laboratoires du réseau. L’augmentation observée en France pourrait être un reflet d’une réelle augmentation des infections à Campylobacter.

Commentaire

Si le nombre de souches augment, cela peut vouloir signifier que le nombre de cas augmente …
Le reste des constats et des recomandations de ce bilan est assez proche de celui de 2021.
Ce bilan cite en référence une étude de 2018,

 En France, le nombre annuel moyen de cas symptomatiques d’infections à Campylobacter a été estimé à 493 000 (intervalle de crédibilité (IC) 90% : 273 000-1 080 000), dont 392 000 cas auraient été infectés par transmission alimentaire. Campylobacter serait responsable de 26% du nombre total estimé des infections d’origine alimentaire et de 31% des hospitalisations associées à ces infections.

Peut-être faudrait-il actualiser cette étude qui a désormais 5 ans ...

La Commission européenne renouvelle l’autorisation du glyphosate pour 10 ans. Le chantage n'a pas fonctionné. Une victoire pour la Science !

Complément
Complément bis
Les lecteurs du Figaro du 17 novembre semblent ne pas d'accord avec l'autorisation du glyphosate. Y'a du boulot pour la science ...

A l'approche du black friday, l'AFSCA de Belgique met en garde contre les compléments alimentaires dangereux qui sont en vente en ligne

On ne compte plus les les mises en garde de l’Anses à propos des compléments alimentaires, en voici une sélection,

L’AFSCA de Belgique aussi met en garde en rapportant, «A l'approche du Black Friday, l'AFSCA met en garde contre les compléments alimentaires dangereux qui sont en vente en ligne»

Après analyse, 1 complément alimentaire sur 2 envoyé par la poste, s'avère non conforme. Grâce à ces 7 conseils de l'AFSCA, vous vous assurez d'effectuer un achat en toute sécurité !

Les jours sont de plus en plus froids et sombres et nombreux sont ceux qui pensent que leur système immunitaire a besoin d'un coup de pouce. A l'approche du Black Friday - le jour où les acheteurs en ligne peuvent faire de bonnes affaires - l'AFSCA met en garde et rappelle que les compléments alimentaires qui peuvent être achetés en ligne ne sont pas tous sûrs. Dès le moment où vous naviguez sur le web en tant que consommateur, il est important d'être sur vos gardes.

En Belgique, l'Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire (AFSCA) veille à ce que les vendeurs en ligne de denrées et de compléments alimentaires respectent les règles du jeu.

- D’une part, une cellule spécialisée écume le web et examine les différents sites et boutiques en ligne qui proposent des denrées alimentaires et des compléments alimentaires aux consommateurs belges. En 2022, la cellule-commerce a contrôlé 262 boutiques en ligne, dont 86 dans le secteur des compléments alimentaires.

- D’autre part, l'AFSCA, en collaboration avec la Douane, effectue des contrôles sur l'importation de colis postaux, et notamment de compléments alimentaires achetés sur internet. En 2022, 14.945 petits envois ont été contrôlés, dont 2.195 (14%) étaient non conformes. 58 analyses ont été faites sur des compléments alimentaires et 32 d’entre elles ont donné un résultat non conforme. Les substances médicamenteuses les plus fréquemment trouvées sont le sildénafil et la sibutramine. Pourtant, la loi est claire à ce sujet : aucune substance médicamenteuse ne peut faire partie de la composition d’un complément alimentaire.

Que pouvez-vous faire en tant que consommateur ?

Les contrôleurs de l'AFSCA mettent tout en oeuvre pour assurer la sécurité du marché en ligne, mais il est évidemment impossible de fouiller internet de fond en comble. C’est pourquoi, en tant que consommateur, il est également important de ne pas faire une confiance aveugle à tous les vendeurs en ligne. Les conseils ci-dessous vous aideront à reconnaître une entreprise fiable.

Conseil n°1. Vérifiez si les produits sont connus en Belgique

Conseil n°2. Méfiez-vous des remèdes miracles
Conseil n°3. Faites confiance à l’avis de votre médecin ou pharmacien
Conseil n°4 : Vous devez également pouvoir trouver des informations sur les produits sur le site web.
Conseil n°5 : Lisez attentivement les avis
Conseil n°6 : Recherchez des informations sur l’entreprise
Conseil n°7 : Méfiez-vous si un vendeur ne veut communiquer que par des canaux privés

ImportantUne notification au RASFF de l’UE par la France le 16 novembre 2023 rapporte des effets secondaires importants chez quatre personnes en France liés au sibultramine en gélules. Les symptômes sont palpitations, brûlures d’estomac, nausées/

Sécurité des aliments : Une enquête révèle les inquiétudes des petites entreprises en Irlande

«Une enquête révèle les inquiétudes des petites entreprises en Irlande», source article paru dans Food safety News du 16 novembre 2023.

Selon une enquête, près des deux tiers des entreprises sont très préoccupées par l'impact d'un audit ou d'une mauvaise application de la sécurité alimentaire sur leur activité.

L’étude a révélé qu'un peu moins de la moitié des entreprises alimentaires affirment que la sécurité des aliments et le respect des réglementations sont leurs principales priorités.

Alors que près des trois quarts des propriétaires et dirigeants d’entreprises alimentaires estiment être très bien informés en matière de sécurité des aliments, seuls 52% estiment que leur personnel possède ce niveau de connaissances sur le sujet.

Safefood a interrogé 400 propriétaires et dirigeants d'entreprises alimentaires en Irlande en juillet et août. Les entreprises concernées comptaient entre un et 49 salariés. Le groupe promeut la sécurité des aliments et la nutrition en Irlande du Nord et en République d'Irlande.

Trish Twohig, directrice de la sécurité des aliments chez Safefood, a dit : «Nous savons que diriger une entreprise alimentaire s'accompagne d'une longue liste de choses à faire et que la formation peut souvent rester en veilleuse en raison de demandes concurrentes ; plus de la moitié des entreprises ayant participé à notre enquête ont déclaré que trouver du temps était pour elles le plus grand défi en matière de formation du personnel. Le coût de la formation était le deuxième plus grand défi pour plus d’une entreprise alimentaire sur trois.

Module de formation pour les entreprises

Safefood a créé un outil de formation en ligne gratuit sur la sécurité des aliments pour les petites entreprises.

L'analyse des personnes ayant accès à la formation a révélé que 67% sont des apprenants du secteur de la vente au détail de produits alimentaires ou de la restauration, suivis de 17% dans l'enseignement et 14% travaillent dans la transformation et la production de denrées alimentaires ou d'aliments pour animaux.

«Avec déjà plus de 3 000 utilisateurs uniques, cela reflète la demande réelle parmi les propriétaires et les gestionnaires d'entreprises alimentaires de fournir une formation adaptée aux exigences de leur personnel», a dit Twohig.

La plateforme utilise des modules de formation multimédias et interactifs avec des mises en situation réelles. Les gestionnaires et les propriétaires de petites entreprises peuvent suivre les progrès du personnel pendant la formation, afin de pouvoir l'utiliser pour les nouveaux employés dans le cadre du processus d'intégration, comme recyclage pour ceux qui reviennent dans l'industrie ou comme formation de recyclage.

Les sujets abordés sont l'importance de la sécurité des aliments, de la microbiologie alimentaire, du contrôle de la température, de l'hygiène personnelle, du nettoyage, du contrôle des allergènes, de la lutte contre les nuisibles et HACCP.

Seany McCleary, un utilisateur de formation de Blasta Street Kitchen à Monaghan, a dit: «Nous sommes en affaires depuis 2017, et trouver du temps pour suivre une formation sur la sécurité des aliments peut être difficile. Je peux également vérifier en ligne comment cela marche. En tant que propriétaire d’une petite entreprise, cela me donne beaucoup de confiance.

France : Un journal rapporte la fable des animaux «gavés d'antibiotiques pour la rentabilité»

mercredi 15 novembre 2023

Intoxication alimentaire mortelle dans un Ehpad d'Ille-et-Vilaine : des «seuils anormaux» de bactéries détectés dans les plats servis

Dans la série, ce n’est pas une probable intoxication alimentaire, voire une suspicion d’intoxication alimentaire, voici «Quatre morts dans un EHPAD breton: des «seuils anormaux» de bactéries détectés dans les plats servis», source La Charente Libre du 15 novembre 2023.

Des «seuils anormaux» de deux bactéries ont été retrouvés dans des plats servis dans un Ehpad de Pleine-Fougères (Ille-et-Vilaine) où quatre résidents sont morts vraisemblablement des suites d’une intoxication alimentaire intervenue fin octobre, a annoncé ce mercredi le parquet de Saint-Malo.

«[…] Saisie par voie de réquisition par le procureur de la République dans le cadre de l’enquête préliminaire en cours, la Direction départementale de la protection des populations a communiqué son rapport suite à l’inspection qu’elle a réalisée», a indiqué le procureur de la République de Saint-Malo Fabrice Tremel dans un communiqué. «Ce rapport conclut à des non-conformités et notamment à la contamination de plusieurs plats en raison de la présence de seuils anormaux de deux bactéries. Ces résultats ont été obtenus suite à des analyses effectuées sur des prélèvements réalisés sur des plats témoins au sein de l’Ehpad», a ajouté le magistrat, précisant que les investigations se poursuivaient.

Dans un autre communiqué, le magistrat avait évoqué une probable «intoxication alimentaire», ayant atteint quarante résidents et un personnel de l’établissement dans la nuit du 30 au 31 octobre. Dans un communiqué datant du 10 novembre, la direction de l’Ehpad Les Marais disait vivre «dans la tourmente du deuil et des cellules de crise». «Depuis mai 2020, la Résidence Les Marais fait appel au prestataire Medirest - Compass pour les repas. En date du 31 octobre 2023, plusieurs résidents ont été victimes de symptômes digestifs très violents», a indiqué l’Ehpad.

mardi 14 novembre 2023

Encore un rappel 'oublié par RappelConso ?

Le site Internet de Carrefour rapporte le rappel suivant :

La société Choucrouterie Meyer Wagner procède à un retrait de la vente et à un rappel de «La Choucroute cuisinée» barquette 600g de marque Les saveurs d’Alsace, suite à la mise en évidence de corps étranger en plastique mou bleu.

Il est donc recommandé aux personnes qui détiendraient ces produits appartenant au lot décrit ci-dessus de ne pas les consommer et de les détruire, ou de demander le remboursement auprès du point de vente.
DLC : 02/12/2023 N° lot : WA18 0809

Le courrier reçu par Carrefour est daté du 13 novembre 2023.

Inquiétude, car on est sans nouvelle de RappelConso au 14 novembre 2023

Dans un précédent article, je vous narrais le retard de RappelConso qui a diffusé l’information le 14 novembre 2023 concernant des steaks hachés surgelés halal 15% MG 10X80g Carrefour Sensation, initialement rappelés le 11 novembre 2023.

Voici pourquoi il peut y avoir un oubli momentané jusqu’à un retard important. Selon un article de Que Choisir, le fonctionnement de RappelConso serait le suivant :

«les professionnels doivent déclarer le rappel d’un produit dès sa mise en œuvre. Ensuite la demande de publication est validée par le service déconcentré en charge du rappel dès sa mise en œuvre. Ensuite la demande de publication est validée par le service déconcentrée en charge du rappel et le délai de publication est censé être très rapide, de quelques heures à quelques jours.»

Ce qui peut vouloir signifier que l'on aura une réponse de RappelConso peut-être demain ou alors après-demain ...

Complément

Pas de nouvelles du rappel le 14, ni le 15 novembre 2023, peut-être le 16, qui sait ?
Complément bis
Le 16 novembre 2023, pas d'information de RappelConso. On attendra donc un jour de plus, le 17 peut-être ...
Le 17 novembre semble être finalement le bon jour pour ce rappel ... il a simplement fallu attendre quatre jours !

Les agriculteurs du Tarn nous rappellent qu'en France «On marche sur la tête» !

On le savait que parfois, voire souvent, nos élites marchent sur la tête, pour reprendre cette expression très parlante ...

Mais voilà que selon des agriculteurs du Tarn qui manifestent, «On marche sur la tête».

Quelques centaines d’agriculteurs du Tarn ont dénoncé dans les rues d’Albi la taxation du gazole agricole (GNR), les retards de paiement des aides européennes, et plus généralement les normes et contraintes imposées au monde agricole.

«Il y a un mal-être dans les campagnes, un ras-le-bol général. Est-ce qu’on veut encore de nos agriculteurs en France ? Les enfants ne reprennent plus les exploitations, c’est beaucoup de travail et on a du mal à sortir un salaire», explique à l’AFP Lionel Aussenac, 34 ans, à la tête d’une exploitation de 50 vaches laitières à Castres (Tarn). Également secrétaire général du syndicat JA du Tarn, il s’inquiète notamment des effets de la taxation du GNR sur «les trésoreries précaires» des éleveurs, vignerons et céréaliers du département.

«Déjà qu’on ne s’y retrouve pas, si on nous rajoute des taxes et normes, des formations pour appliquer les normes, de la paperasse, on ne va pas y arriver. Et pendant ce temps, on importe des denrées qui ne respectent pas les normes qu’on nous exige en France», dénonce l’éleveur. Source article de La France Agricole


Complément
Complément bis