jeudi 10 février 2022

Corée du Sud: La cour d'appel confirme la condamnation de trois responsables dans l'affaire des galettes de viande bovine contaminée

«La cour d'appel confirme la condamnation de trois responsables dans l'affaire des galette de viande bovine contaminée», source The Korean Times du 10 février 2022.  

Une cour d'appel a confirmé jeudi la condamnation de trois responsables d'un ancien fournisseur de galettes de burgers pour McDonald's Corée pour avoir fourni des galettes contaminées, mais a légèrement réduit leurs peines.

Les trois responsables du fournisseur, dont le nom n'a pas été divulgué, ont été inculpés sans détention en 2018 pour avoir distribué des galettes de viande bovine contaminées par E. coli et d'autres toxines chez McDonald's Corée.

Il y a environ un an, le tribunal du district central de Séoul les a condamnés pour avoir enfreint la loi sur le contrôle sanitaire des produits d'élevage et a prononcé des peines de prison avec sursis allant de deux à trois ans.

La chambre d'appel de la même cour a confirmé leurs condamnations mais a réduit la durée de leurs peines de prison avec sursis de quatre mois chacune en les acquittant de certaines de leurs charges faute de preuves.

Cependant, la cour d'appel a augmenté le montant de l'amende infligée au fournisseur de galettes de 40 millions de wons (36 200 dollars) à 100 millions de wons.

Leurs inculpations sont intervenues après qu'un groupe de consommateurs locaux a déposé des plaintes auprès du parquet affirmant qu'eux-mêmes ou leurs familles souffraient du syndrome hémolytique et urémique, connu simplement sous le nom de SHU, après avoir consommé des hamburgers McDonald's servis avec des galettes insuffisamment cuites. (source Yonhap).

Merci à Joe Whitworth de m'acvoir signalé l'information.

Aux lecteurs du blog
Comme le montre cette notice de la BNF, le blog Albert Amgar a été indexé sur le site de la revue PROCESS Alimentaire. 10 052 articles initialement publiés par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue sont aujourd’hui inacessibles. Disons le franchement, la revue ne veut pas payer 500 euros pour remettre le site à flots, alors qu’elle a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles.

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