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Voici
un extrait de l'article
paru le 6 mars de Jean-Paul
Pelras
dans l'Agri
« La
peur de manquer ! ».
Un insecte, une maladie, un champignon que ni le soufre, ni la bouillie bordelaise, ni l’épouvantail ne pourront éliminer… Et les récoltes seront perdues. Occurrence qui n’est pourtant pas à exclure et qui nous rendrait immédiatement dépendants de contrées dimensionnées pour usurper, sans délai, nos marchés traditionnels. C’est là que le grain de sable se glisse dans le scénario mitonné aux légumes vapeur et au jus de kiwi par les gentils « coquelicots » du moment et autres environnementalistes qui ne jurent que par le niveau des océans. Car, et le syndrome du coronavirus pourrait suggérer la portée du problème, ce qui sera demain plus important que n’importe quelle gesticulation soit disant vertueuse c’est « la peur de manquer ».
Cette peur que l’on mesure à l’aune des files d’attentes quand les rayons se vident au supermarché. Peu importe alors le modèle de production. Ce qui compte à ce moment-là c’est de pouvoir, osons le verbe qui pour certains est devenu un gros mot : « manger » !
NB : N'hésitez pas à le lire en intégralité.
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