Décryptage de la campagne anti-pesticides destinée à vous faire peur !

Il s'agit de la suite d'un précédent article Offensive des anti-pesticides pour faire peur ?

5 fruits et légumes par jour peuvent vous tuer ?

Les résidus de pesticide annulent le bénéfice de fruits et légumes frais ?
Cette semaine, d'hallucinantes fake news, mettant en péril la santé publique, ont déferlé dans la presse française.
Pourquoi ? Comment ?
Thread. 👇 pic.twitter.com/xms4e8xanN

— Géraldine Woessner (@GeWoessner) May 25, 2022

D'abord, il convient de vous rassurer, en posant le contexte.
1⃣ : On n'a rien découvert du tout (on va le voir).
2⃣ : Les ventes du bio s'effondrent, sur fond d'inflation et de crise alimentaire : elles ont plongé de 11% en 2021. Et ça continue.
D'où l'offensive orchestrée...

— Géraldine Woessner (@GeWoessner) May 25, 2022

La presse audiovisuelle, pour laquelle elle était formatée, s'est ruée sur cette "étude" : en Europe, les fruits et légumes seraient totalement "contaminés" par des pesticides ultra-dangereux. 😱 Titres alarmistes, chiffres terrifiants : PAN Europe, un petit lobby rassemblant... pic.twitter.com/GUsjKvWJnY

— Géraldine Woessner (@GeWoessner) May 25, 2022

les journalistes un peu niais.
L'"étude" est un modèle de manipulation. Elle se base sur les données très officielles de contrôles réalisés chaque année par les autorités sanitaires indépendantes d'Europe, qui analysent un échantillon représentatif de produits consommés...

— Géraldine Woessner (@GeWoessner) May 25, 2022

N'hésitez pas à lire la suite très démonstrative ici. 

Aux lecteurs du blog

Je suis en conflit depuis plusieurs années avec la revue PROCESS Alimentaire pour une triste question d’argent qui permettrait de récupérer et de diffuser correctement les 10 052 articles initialement publiés gracieusement par mes soins de 2009 à 2017 sur le blog de la revue, alors qu’elle a bénéficié de la manne de la publicité faite lors de la diffusion de ces articles. La revue PROCESS Alimentaire s’est comportée et continue de se comporter en censeur et refuse tout assouplissement pour la modique somme de 500 euros. N’ayant pas les moyens d’aller devant la justice, je leur fait ici de la publicité gratuite. Derrière cette revue, il y a des aimables censeurs, les journalistes complices de la direction !