Qu'est-ce qu'on dit à Impossible Foods ? |
Impossible Foods double son budget de recherche, cherchant à améliorer son Impossible Burger introduit en 2016 et le lait végétal.
Il prévoit d'utiliser 700 millions de dollars levés auprès des investisseurs cette année.
Impossible Foods a cinq chercheurs travaillant sur un substitut du lait, travaillant déjà depuis deux ans pour développer un produit qui peut être cuit, chauffé, voire utilisé pour produire du fromage.
Le directeur général Pat Brown considère Impossible Foods comme un salé de l'environnement en réduisant la population de vaches qui émet des gaz à effet de serre qui contribuent au réchauffement climatique.
« Il y a 1,7 milliard de vaches sur la planète, une fraction importante utilisée dans la production laitière. Les vaches sont tellement inefficaces », a-t-il déclaré lors d'une récente conférence de presse.
Selon une étude de Nielsen en juin 2018, la catégorie des produits laitiers d'origine végétale a connu des augmentations constantes à deux chiffres de ses ventes alors même que la consommation de lait de vache a diminué.
Mais, Brown a déclaré: « Les laits à base de plantes sont insuffisants. [Nous voulons] faire quelque chose qui, pour un amateur de lait, soit meilleur que tout ce qui vient d'une vache. »
Parmi les concurrents du lait d'origine végétale sur le marché, il y a ceux à base d'avoine, de riz et de noix.
Alan Bjerga, vice-président principal des communications de la Fédération nationale des producteurs de lait, a déclaré que la tentative d’incursion d’Impossible est plus susceptible d’affecter ces autres producteurs à base de plantes.
Mise à jour du 24 octobre 2020. On lira cette curieuse actualité sur le site FL24.net du 23 octobre 2020 :
Un grand débat au Parlement européen a abouti à un compromis complètement absurde: les produits d’origine végétale sans viande peuvent continuer à être étiquetés “saucisses” ou “burgers”, en revanche les produits laitiers sans lait n’ont pas le droit à l’appellation “yaourt” ou “fromage”.
Les députés européens ont décidé ainsi ce vendredi en rejetant une proposition de l’industrie de la viande visant à interdire ces termes pour les produits végétariens et végans.Le Parlement européen, le même qui classe la carotte dans les fruits, l’escargot dans les poissons et qui légifère sur la courbure de la banane, a déclaré que les “hamburgers” dits végétariens, les “steaks” de soja et les “saucisses” végé peuvent continuer à être commercialisés en tant que tels dans les restaurants et les magasins de l’Union européenne.
La première organisation représentative européenne d’agriculteurs, le Copa-Cogeca, avait demandé une interdiction, arguant que l’étiquetage des substituts végétariens avec des appellations évoquant la viande était trompeur pour les consommateurs.
À l’opposé, un groupe de 13 organisations, gauchistes pour la plupart, dont Greenpeace et le WWF, a sorti l’argumentaire émotionnel et pseudo-écologique, en prétendant que l’interdiction aurait non exposé l’UE au ridicule et porté atteinte à sa “crédibilité environnementale”.
Les écolos veulent imposer la la société leur mode de vie et leurs choix alimentaires, en prétendant qu’un changement vers un régime alimentaire plus végétal est en accord avec l’ambition de la Commission européenne de lutter contre le réchauffement climatique.
L’interdiction des termes comme “steak” ou “saucisse” pourrait, selon eux, rendre ces produits végétaux plus obscurs pour les consommateurs. Il s’agit donc d’une certaine manière de laisser à l’industrie végé tromper les consommateurs, pour qu’ils achètent des fausses “saucisses” et des pseudo-steaks afin d’influencer ses habitudes alimentaires.
Leurs faux-semblent consiste à dire que “les consommateurs ne sont pas trompés par un steak de soja ou une saucisse à base de pois chiches, tant qu’il est clairement étiqueté comme végétarien ou végétalien“.
Pourquoi les écolos veulent donc à tout prix conserver le noms de produits qu’ils détestent? Ces hypocrites prétendent que les noms de style “saucisse” ou “steak” “permettent simplement aux consommateurs de savoir beaucoup plus facilement comment intégrer ces produits dans un repas“, comme si on était des idiots obligés de lire l’étiquette avant de cuisiner.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.